Les fessées

Mardi 18 septembre 2 18 /09 /Sep 08:24
auparavant


Suite au contact téléphonique du jeudi 30 août avec ma future et très sévère Maîtresse d’éducation anglaise, je me suis mis à rédiger une lettre de présentation et de limites que je compte lui donner avant les réjouissances.

J’ai terminé ce document ce matin, l’ai imprimé et mis dans une enveloppe. Je l’ai fermée et y ai inscrit la date d’aujourd’hui sur le collage. Sur cette missive, j’y écrirai « Pour ma sévère Maîtresse Xyxz » et la donnerai en arrivant chez ma Domina.

Le fait d’avoir finalisé la lettre de sévérité plusieurs semaines avant la séance de châtiment corporel et de ne plus lire son contenu, me semble plus correspondre à une situation réaliste.

Après le coup de fil (1 à 2 jours avant) pour fixer le rendez-vous "Punition", ce sera un peu comme si suite à un comportement inacceptable et malgré plusieurs avertissements, je dois être puni très sévèrement. Il m’a alors été dit que cette fois je n’échapperai pas à la fessée et qu’un RV a été pris chez une personne qui sait mater les garçons difficiles comme moi. Après cette (mauvaise) nouvelle, je ne suis pas fier et mon impertinence a disparu. Malgré mes excuses et promesses de mieux me comporter à l’avenir, je devrai quand même dans très peu de temps baisser ma culotte et bien présenter mes fesses nues pour être fouetté.

A l’heure prévue, et sans être supposé connaitre de détails, je devrai donc me présenter à une certaine adresse et donner une enveloppe. Ce n’est qu’à ce moment que je devrais comprendre que je suis chez une très sévère Maîtresse d’éducation anglaise et qu’elle va utiliser la cane avec moi. Il sera bien évidemment trop tard pour regretter mes mauvais comportements et éviter ainsi une séance de châtiments corporels des plus sévères.

Que pensez-vous fidèles lectrices et lecteurs de ce semblant de réalisme ?


Je vous donne donc quelques éléments qui me semblent importants dans la lettre de sévérité:

Je lui avoue que pendant qu’elle lit, j’ai peur d’avoir trop mal. Car je suis tout à fait conscient qu’elle est sévère selon son site et des commentaires dans un forum.
Je suis tout de même venu chez elle pour sentir à nouveau l’effet de solides fessées.

Je lui parle des limites qu’il ne faut pas dépasser (uniquement frapper les fesses, types d’instruments, moyens, marques visibles), de la possibilité de quelques gifles, pincement des tétons, baguette sur la plante des pieds.
Je lui parle aussi de la limite que j’aimerais qu’elle dépasse. Ayant reçu déjà de nombreuses fessées, j’ai souvent été déçu en pensant que la cible des verges pouvait supporter une sévérité bien plus grande. J’aimerais qu’elle commence fort, qu’elle dépasse ma limite du supportable et ainsi je ne saurai comment supporter la suite de la séance.

Certains de mes lecteurs ou lectrices doivent sûrement connaitre des moments aussi intenses. Merci déjà de nous faire partager vos sévères expériences.

Je reviens à la lettre.
Ce genre de traitement n’est plus du genre agréable et je lui dis que si je me plains trop ou même demande de stopper (comme je me connais cela devrait arriver), qu’elle se réfère à mon message demandant une punition exemplaire.

bien que sexy certaines Maîtresses savent très bien punir à la cane

Dans la missive, je lui propose aussi un scénario :

Quelques ajustements (elle m’explique ses règles de bonne conduite, me fesse un peu pour déterminer ce que je supporte et pouvoir ensuite dépasser ce seuil). Je peux encore lui donner mon avis sur sa sévérité et son savoir faire.

Du dressage et de l’interrogation sur mon mauvais comportement (j’utilise trop de temps à consulter des sites de fessée et le fait de voir des femmes se plaindre ou des hommes supplier une sévère Maîtresse, m’excite).

Une partie jugement et condamnation. Pour ce faire, auparavant, elle m’attache sur un support idoine ou m’immobilise dans un carcan.

Quelques explications et directives sur la grande fessée à venir (la sévérité prévue, l’effet douloureux à prévoir, compter ou décompter les coups en remerciant).
Qu’arrive-t-il si je me trompe, etc..

Enfin LA grande fessée (moment le plus attendu mais aussi le plus craint).

Puis, après ce que j’ose à peine imaginer et n’ai certainement jamais connu, vient le soulagement d’avoir surmonté une solide épreuve.

Je lui demande aussi dans la lettre si elle peut porter une tenue stricte, des talons hauts et des gants en cuir noir (une petite chose excitante dans le contexte très pénible d’un châtiment corporel à la cane).

Et pour terminer le message écrit, je la remercie humblement pour la correction qu’elle va m’infliger dans quelques secondes.


Pour la date précise, je ne peux encore me prononcer. Mais comme il ne faut plus d’autre préparation qu’un simple coup de fil quelques jours avant, le moment de la très sévère punition peut arriver très vite.
A vue de nez, mes fesses blanches devraient se colorer, chauffer, se tortiller, se strier, se tordre de douleur dans les quelques semaines. J'ai des moments de libre un peu avant la mi octobre ou au tout début novembre (octobre conviendrait le mieux).
Mais au plus tard à la mi novembre 2007
(je respecte ainsi le délai imposé par Princesse Christine de la BAF;-)), mon derrière sera sévèrement marqué réellement et pas virtuellement cette fois.
Comme cela doit être suite à des fessées punitives en condition réalistes!


Pour rajouter un peu de piment et chercher à me faire peur, j’ai donc déjà mis dans ma lettre la demande de grande sévérité et rigueur et le fait de ne pas tenir compte de mes plaintes mais se référer aux recommandations écrites. Actuellement je n’ai aucune crainte, appréhension. Et ceci malgré la lecture de témoignages de réelles et sévères fouettées ou le visionnement de vidéos où de véritables fessées sont appliquées avec plaintes, ouie, aie, ahhh et parfois des pleurs.

C’est un peu comme si la séance se passera dans le virtuel ou concernera un autre garçon désobéissant.
Ensuite, pendant la dernière discussion téléphonique, je redirai à ma Maîtresse que je n’ai jamais reçu fortement une fessée à la cane mais que je veux quand même qu’elle soit très sévère avec moi car je suis souvent déçu par de trop gentilles séances animées par des Dominas de théâtre (ouf je reprend mon souffle).
Je lui parlerai aussi de la lettre que je ne devrai pas oublier de lui donner en arrivant.

J'espère ainsi avoir pris assez de précautions pour ne plus pouvoir échapper à une réelle et solide séance d'éducation anglaise.

Chez elle, je le sais, je n’oserai plus demander de la sévérité, surtout si je suis tout nu avec mes fesses à portée de la cane que tiendra dans sa main gantée de cuir la dominatrice expérimentée en dressage anglais.


Je me connais assez bien. Dans les jours précédents la Punition, je serai de plus en plus tendu, plein d’appréhension. Je commencerai à ce moment à avoir peur qu’elle me fasse trop mal, que je n’arriverai pas à supporter des coups d’une telle sévérité, que je ne pourrai abréger la rigueur de la séance (et pourtant c'est ce que j'aimerais éprouver).
Chez la Domina je n’aurai qu’envie, et le ferai certainement, de lui demander de ne pas être trop méchante avec moi, que c’est un peu de la folie une telle fessée. Mais cela sera déjà trop tard pour de tels détails.

Dans les quelques heures qu’il me restera avant de rencontrer la Maîtresse, il sera donc bien d’avoir déjà réglé quelques semaines auparavant le « détail » de la sévérité écrit dans une lettre mise dans une enveloppe fermée. Car je me poserai plein de questions sur la grande douleur que mes fesses vont connaitre, si elle me pincera trop fort les tétons, si elle fouettera souvent la plante des pieds. Je serai certainement tenté plusieurs fois de corriger à la baisse la sévérité demandée dans le document que je devrai lui donner.

Et un peu avant l'heure H, le jour J, je chercherai aussi les ressources nécessaires dans ma fierté pour ne plus modifier la lettre, me rendre sagement vers ma Fesseuse à l’adresse donnée, appuyer sur le bouton de l’appartement où je vais sentir ce qu’est une correction à la cane et ainsi honorer le rendez-vous pris avec la Dominatrice.
Bref, de petits soucis qui ne me tourmentent pas encore !


Quand même un peu bizarre cette envie d’avoir très mal aux fesses comme sur les vidéos qui excitent et font bander. Cette envie d’avoir peur, de ressentir la trouille. Cette envie d’être un peu paniqué après les premiers coups, après avoir compris que la Maîtresse est vraiment très sévère et qu’elle ne plaisante pas en utilisant la cane. Cette envie de ne pas savoir comment je supporterai les méchants coups sachant que la Fesseuse ne va pas cesser le traitement avant la fin prévue par elle et rien que par elle.

Il y a aussi l'envie d'entendre à nouveau depuis "l'intérieur" les sons caractéristiques d'une bonne séance fessée. Les baguettes (la canne n'est-elle pas la reine des baguettes?) qui sifflent en fendant rapidement l'air. Le bruit fait par l'instrument quand il alunit brusquement et sévèrement en creusant un sillon temporaire dans les chairs rougissante des fesses avant de laisser, quelques secondes après, la marque colorée de son passage.
Il y a aussi souvent le son de talons aiguille sur le sol du local de châtiment.

Dans une telle séance, ne pas oublier les ordres stricts, fermes, sans discussions possibles. Les remontrances, engueulades, promesses de fessées très pénibles, de derrière qui va se tortiller.
Il y aura aussi la tête qui sonne après une paire de gifles ou la plainte de douleur si elle tape sur la plante des pieds ou si elle me pince, tord, tire les tétons.

C'est toute cette ambiance, ce contexte que j'aimerais à nouveau connaitre. Il faut vraiment avoir déjà passé par ces moments pour bien les imaginer et comprendre cette envie !


Et pourtant, habituellement, je n’aime pas avoir mal. Je suis même assez douillet.
C’est contre le bon sens mais ce doit être cela, être un peu maso, .. , passionnément parfois !
Les personnes qui le ressentent aussi ainsi sont certainement d’accord avec moi ! ;-)


Actuellement je sais que j’ai très envie d’un Fessestival comme j’en vois régulièrement dans les vidéos spécialisées pour adultes.
Je ne devrais pas oublier non plus que c’est Princesse Christine qui me l’avait virtuellement ordonné et que lui résister est risqué;-)

comment vais-je supporter la cane (plaintes, cris, pleurs) ?


Vous commencez à me connaitre.
Dès que j’aurai du nouveau sur le rendez-vous avec Maîtresse Xyxz (si elle me donnera son accord, je vous fournirai son nom), je vous mettrai évidemment au parfum. Et il ne vous restera plus qu’à me souhaiter bon courage pour cette terrible épreuve ou me foutre la trouille en m’expliquant la souffrance ressentie lors d’un fouettée à la canne donnée par une Maîtresse très expérimentée.

Comme toujours vos commentaires ou vos volées verbales de bois vert sont les biens venus !

A bientôt
JeanBer

Par JeanBer - Publié dans : Les fessées
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Vendredi 14 septembre 5 14 /09 /Sep 08:25
auparavant


Remarque : j’ai pondu cet article avant le premier contact avec ma future et bien réelle Maîtresse d’éducation anglaise.


Vous vous souvenez certainement de l’ordre imaginaire que m’avait donné la Princesse Christine lors de l’email virtuel à la fin de cet article.;-)
Elle peut maintenant facilement consulter mon blog, suite à l’amélioration de la liaison Internet que je lui avais faite lors de mon week-end chez elle en Verginie. Et ainsi elle n’avait pas apprécié, mais pas du tout, le ton peu respectueux utilisé pour rapporter dans mon blog l’interview – fiction d’août. Ne pouvant venir me corriger elle-même, elle avait exigé que je subisse une très sévère et réelle séance fessée jusqu'à fin novembre 2007.

Je n’ose pas lui désobéir et ai donc commencé à imaginer ma future fessée punitive en condition réaliste (comme devrait être corrigé réellement, et certainement l’est parfois, un élève difficile, impertinent, qui a de très mauvais comportements).

peut-être une telle verge m'échauffera et sensibilisera les fesses

Vous le pensez certainement aussi. Une vraie correction avec des fessées punitives peut être excitante dans sa préparation, peut aussi bien faire bander ou exciter en y pensant par après.
 
Mais pendant une séance punitive, cela ne doit être ni excitant ni bandant.
La correction doit obligatoirement être un très mauvais et sévère moment à passer. Elle doit être plus douloureuse que le supportable. Elle doit, dès les premiers coups, donner fortement envie de demander moins de sévérité, même de tout stopper. Elle doit, dès le début, faire craindre la Maîtresse, donner de l’appréhension et de la trouille pour la suite. Elle doit, dès le commencement, créer un peu de panique chez le fustigé (ou la fustigée) car il ne sait pas comment il va arriver à supporter l’insupportable.
Evidemment la Fesseuse ne doit pas être interrompue dans son travail (sauf cas de force majeure) et doit donc tourmenter les fesses nues qui connaitront différentes phases (rougissement, marques des coups de baguettes ou cane, chaleur, grande douleur).
L’avis de la personne punie ne doit pas compter. Seule la Maîtresse est compétente pour décider de la sévérité et de la fin du fessestival.

Bien sûr, la sévérité ressentie d’une séance fessée dépend de ce que la personne fustigée supporte. Pour ma part, je trouve que mes dernières punitions sur les fesses auraient pu être bien plus cinglantes. J’ai l’impression que je suis prêt pour un feu d’artifice bien plus intense.


Pour en revenir au titre de cet article, j’image cette séance, imposée virtuellement par la Princesse Christine et prévue pour se passer réellement dans les 3 mois, comme une étape supplémentaire dans ma recherche de véritables et sévères fessées.

Comme j’écrirai une lettre (et aussi parlerai avec la Maîtresse prévue) pour demander de la sévérité et en révélant aussi ma déception des fouettées précédentes (reçues chez d’autres Dominas), je peux supposer être obligé de passer cette fois par des fouettées plus insupportables.
Et si la Maîtresse, qui ne me connait pas, ne commence pas de manière stricte (comme je l’aurais imaginé), il me reste à le lui faire comprendre. Une manière qui a souvent fonctionné est de tirer la langue en refusant d’obéir à la Fesseuse. La première fois que je l’avais fait, elle avait l’air très fâchée et m’avais appliqué une bonne correction avec les méchantes verges que je lui avais apporté. Mes fesses avaient bien chauffé et je la vois encore maintenant m’appliquer consciencieusement et fortement la verge flexible (composée de fines tiges et brindilles de noisetier) qui se courbait avant d’alunir à toute vitesse sur mon derrière dénudé.

cette fois, je ne devrai pas échapper à LA cane appliquée très sévèrement


Dans cet article je ne vous parle pas de la préparation mais de comment j’imagine ma future fouettée.

Il y a bien sûr l’excitation d’avant (appel téléphonique, RV, lettre de présentation). L’arrivée chez la Maîtresse (l’appréhension plus grande que d’habitude, la vue du bâtiment, de la porte de l’endroit où je serai mal traité, l’hésitation au moment d’appuyer sur la sonnette, le point de non retour quand la Maîtresse ouvre la porte).
Pouvoir enfin dire « Bonjour Maîtresse » avant d’entrer et me laisser aller aux ordres et aux traitements de faveur de la Domina.
Et à la fin, le soulagement d’en avoir terminé avec les terribles corrections.

La partie des fouettées, je la vois comme un très mauvais moment, comme un incendie au cul qui ne veut pas s’éteindre. Seule la Maîtresse-pompière décidera du moment de l’extinction des feux.

Je l’imagine comme quelque chose de très désagréable, pénible, que je ne peux pas influencer, où je ne dois pas réfléchir, où je dois simplement obéir aux injonctions de la Maîtresse, à commencer par me dénuder complètement et présenter mes fesses sans défenses. Un moment où je dois supporter de terribles coups de baguettes ou cane sans rien dire (sauf peut-être remercier).

Il y aurait une phase de présentation, ajustement de sévérité. Puis une partie où je suis dressé et où je dois avouer un comportement réel que je dois améliorer (je consulte trop de sites érotiques et de fessées mais elle ne devrait pas arriver à me faire changer ce comportement;-)).
Je me vois ensuite immobilisé, engueulé et condamné (à un certain nombre de coups avec tels instruments) pour mes mauvaises habitudes et pour d’autres choses qui ne lui auront peut-être pas plu chez moi.
Elle m’explique alors qu’elle doit punir de manière exemplaire et que ce sera très pénible, me montre les moyens qu’elle va utiliser. Puis elle me laisse méditer et appréhender un moment sur ce qui va m’arriver.

Et enfin l’exécution de la sentence, la sévère cannée. Je ne pense pas arriver à imaginer ce que cela sera car je ne l’ai certainement jamais ressenti. Un moment interminable de douleur insupportable infligé par une Domina décidée et habituée à faire souffrir ses visiteurs. Et le fait de me voir me tortiller, grimacer, chercher à éviter la cane, m’entendre me plaindre, peut-être crier, pleurer, lui confirmera que la correction se déroule comme prévu.


Quand même un peu drôle l’occupation d’une Domina d'éducation anglaise!
Des personnes (un tout petit peu masos, bien sûr) s’adressent à elle pour qu’elle les fasse souffrir en appliquant de sévères coups de cane sur leurs fesses. Souvent elle les attache, les immobilise avec un support idoine et des lanières. Les personnes sont ainsi complètement à sa merci et ne peuvent échapper ou influencer la suite du traitement de faveur. La Maîtresse peut ressentir un sentiment de puissance, de domination (les soumis sont quand même là pour cela).
Et quand elle voit que les fustigés ont très mal, au lieu de les ménager, elle utilise son savoir faire et ses instruments pour continue à les torturer et à leur faire passer un très mauvais et pénible moment.

Habituellement quand on voit une personne qui souffre, on cherche à l’aider, à la réconforter. Si on est la cause des souffrances, on est désolé, on s’excuse parfois, on cherche à réparer l’offense.
 
Eh bien une Maîtresse d’éducation anglaise fait juste le contraire. Elle la gifle, lui pince les tétons, la fesse. Si la personne qu’elle éduque ne supporte pas le traitement, cela signifie que la séance se passe bien. Si la personne en punition se plaint un peu trop, elle mérite un supplément de baguette et de dressage. 
Et pourtant la personne soumise ne lui a rien fait. C'est de la violence, du châtiment corporel gratuit (ehh! Pas tout à fait ;-).

auparavant l'usage des verges était plus courant


Cela me rappelle, il y a plusieurs dizaines d’années, les mères ou maîtresses d’école qui utilisaient des baguettes ou une verge fraiche pour fesser les garçons désobéissants.
Que pouvaient-elles penser, quel était leur état d’esprit quand elles fustigeaient ?

Peut-être un peu la même chose qu’une Domina fesseuse, le sentiment du devoir accompli, de bien faire ce que l’on estime nécessaire. Je pense aussi qu’il peut y avoir parfois un petit plaisir sadique d’infliger des souffrances à un subordonné.

Tiens cela pourrait être la matière d’un article : le point de vue de véritables et sévères Maîtresses (qui ne sont pas des actrices de théâtre). Que pensent-elles au moment de fustiger véritablement et ainsi faire souffrir grandement une personne à leur merci ?

Les vraies Maîtresses, vous pouvez insérer sans hésitation votre grain de sel.


Il faut de tout pour faire un monde !
Qu’en pensez-vous, mes visiteuses et visiteurs ?


Par JeanBer - Publié dans : Les fessées
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Vendredi 7 septembre 5 07 /09 /Sep 08:10
Voici de nouveau une expérience réelle que je voulais partager avec vous.


Au printemps de la dernière année du siècle passé (faites-vous-même le calcul), j'avais pris rendez-vous avec une Maîtresse à Bex en Suisse romande. J'avais trouvé son adresse dans les annonces coquines du Matin (journal de la région). Comme presque à chaque fois, j'avais choisi de belles baguettes et verges pour les proposer à ma Domina.

Pour faire une surprise, je m'étais arrêté auparavant dans un endroit où se trouvaient des orties. Avec des gants, j'en ai mis une grande touffe dans mon slip. Je suis étonné à chaque fois par la douleur des orties. Marcher, puis s'asseoir dans la voiture avec ce coussinet piquant est assez spécial. La sensation que la correction prévue a déjà commencée.

Avec cet arrêt pour cueillir les feuilles urticantes, l'heure avait avancé. Je me suis donc arrêté à une cabine téléphonique pour avertir la Maîtresse d'un petit retard. Elle avait l'air contrariée et m'a menacé d'une punition supplémentaire. Comme j'aime les punitions chez les Dominas, tout allait bien.
Heureusement que les cabines téléphoniques existent encore car pour la discrétion c'est important. Mais malheureusement elles ont bien diminué depuis quelques années. J'espère qu'il y en aura encore pour mes prochaines séances fessée!


La Maîtresse m'avait assez bien expliqué l'endroit où elle corrigeait. J'ai trouvé facilement et ai été un peu plus loin car je n'aime pas laisser la voiture à la vue de mes correctrices et de ses voisins. Il faut une certaine séparation entre ma vie normale et mes rôles occasionnels de soumis.

Je gare la voiture, prends les instruments de punition et me dirige vers le bâtiment à la sortie de Bex en direction d'Aigle. Les orties sont toujours présentes et actives entre mes cuisses et autour de mon sexe. Je vois la porte d'entrée du locatif, mon appréhension augmente. Je ne connais pas cette fouetteuse. Est-elle très sévère? Arriverai-je à supporter les méchantes baguettes prévues pour me fustiger les fesses nues? Mieux vaut ne pas trop y penser et y aller. Elle doit m’attendre et j’ai déjà dépassé un peu l’heure du rendez-vous. Je ne dois pas traîner même avec une petite boule au ventre.

Dans ces moments, très proches de la rencontre avec une Maîtresse inconnue, j'ai assez peur. Quelque part, j'espère qu'elle ne me fera pas trop mal, qu'elle ne sera pas trop dure et intransigeante avec moi. D'un autre côté, une Domina trop molle, qui ne fesse pas très sévèrement, me décevrait. C'est des drôles de sentiments. Je pense qu'il faut les avoir vécus soi-même pour bien comprendre.

comment sera la vraie fouetteuse par rapport à celle imaginée?

J'arrive enfin devant la porte de ma future fouetteuse et hésite un petit moment. Je peux encore me retourner et repartir rapidement. Il y a deux femmes qui discutent sur le palier de l’appartement à côté de celui où un simple prénom est inscrit près du bouton de la sonnette. Elles me regardent ainsi que mon drôle de sac allongé. Elles parlent un peu moins fort, je n’arrive pas à saisir leur conversation mais ai l’impression qu’elles parlent de moi. Ces deux, probablement curieuses, doivent savoir ce qui se pratique dans l’appartement où je vais entrer. Peut-être même qu’elles peuvent entendre des bruits de corrections (fessées, plaintes, engueulades). Je me sens gêné mais rassemble mon courage et approche du point de non retour.


appuyer sur ce bouton me fait franchir le point de non retour

J’appuie sur le bouton, entends la sonnette et regarde le judas au milieu de la porte. Des pas s’approchent et le judas change légèrement de teinte, quelqu’un m’observe puis la porte s'entrouvre. La Maîtresse, imaginée, est bien réelle. Je lui dis "Bonjour Maîtresse", elle me fait entrer. Le point de non retour est franchi. Avec ce que je lui ai demandé par téléphone, avec la lettre qu’elle va me réclamer, demandant une grande sévérité, avec les baguettes fraiches dans mon sac, je suis pris au piège et ne peux plus y échapper. Je suis à quelques minutes des premiers coups de baguettes et de fesses rougissantes et toujours plus douloureuses.
Je m'excuse du petit retard, lui donne la lettre et les verges pour me battre. Cette Domina est Autrichienne mais parle très bien le français avec un petit accent. Elle semble bien connaître comment discipliner les garçons difficiles.

Après une toute petite discussion, elle m'ordonne d'aller dans la salle des corrections et m'indique la porte. Je devrai me déshabiller complètement, bien plier les habits et l'attendre.

La pièce est sombre, comme d'habitude dans ces lieux, et comporte différents moyens pour punir et mater les garçons pas sages. Une cage, un système de crochets et poulies au plafond pour suspendre, une table assez étroite mais longue. Mais aussi tout un ensemble de moyens pour fesser: des fouets, martinets, cravaches, canes. Il y a aussi des accessoires tels que corde, lanières, bougies. Bref, l'équipement de la parfaite dominatrice. C'est impressionnant! Et une partie sera pour ma pomme.

A propos de mes fesses, il faudrait que je les dénude. Je me déshabille complètement, pose les orties sur la table sans me faire piquer les mains et la longue attente commence.

Je trouve à chaque fois ce moment pénible. J'aimerais que la Maîtresse arrive vite. Qu'elle s'occupe de moi. J’ai envie d’aller lui dire que je suis prêt, qu’elle peut me fesser, que j’ai un peu peur qu’elle soit trop sévère, qu’elle fustige trop fort, que j’aurais peut-être de la peine à supporter.

Mais la suite et son arrivée seront dans le prochain article…..

Par JeanBer - Publié dans : Les fessées
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Vendredi 31 août 5 31 /08 /Août 09:44
Pour une réelle séance fessée on ne peut pas uniquement imaginer, il faut aussi la préparer même si elle est ordonnée par une Maîtresse virtuelle.

Suite à son exigence et aux réflexions que je me suis faites dans son imagination (que je partagerai dans un prochain article), j’ai utilisé Internet (un de mes défauts ;-) et en consultant un forum, j’ai trouvé une Maîtresse Xyxz qualifiée de sévère et équipée pour de la véritable et sérieuse éducation anglaise avec la cane.

Dans le but de me rendre chez elle, j’ai donc noté différents points à m’intéresser (possibilité de lui rendre une visite « châtiment », dates et heures possibles, où laisser la voiture, etc..).

J'ai déjà commencé à écrire une lettre de présentation pour expliquer mes limites, le comportement à corriger sévèrement, mes expériences fessières.

Après ces quelques points éclaircis, il ne me restait plus qu’à la contacter. Ce que j’ai fait hier jeudi 30 août vers 16 heures.

Au téléphone Maîtresse Xyxz m'a paru ferme, stricte, une personne qui sait ce qu'elle veut. Elle m'a laissé expliquer ce que je voulais et m'a semblé vraiment clean.
C'est vraiment la Domina que je veux rencontrer pour une sévère éducation anglaise à la cane.
Je lui téléphonerai quelques jours avant pour fixer le rendez-vous et elle me donnera l'adresse précise située dans une rue d'une ville Romande.

Evidemment vous en serez les premiers informés.


Par JeanBer - Publié dans : Les fessées
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Vendredi 31 août 5 31 /08 /Août 04:08
A la fin de l’interview fiction, j’avais promis à cette Maîtresse de tenter d’améliorer sa connexion Internet. J’ai donc fait un long week-end à Drague qui, comme tout le monde le sait est la capitale de la Verginie, et maintenant le débit est passé du goute à goutte du modem téléphonique à des valeurs que nos amis français peuvent apprécier et que nous en Suisse ne pouvons encore qu’en rêver. Je pensais à tort que la Verginie vivait comme au Moyen Age.

Il y a aussi d’autres bonnes choses dans cette petite république. Par exemple son climat se prête très bien pour faire pousser d’excellentes baguettes à verges. Ce bois à fessées, qui commence à être connu dans les milieux spécialisés, est caractérisé par des tiges bien droites et très flexibles.
Dans ce magnifique pays il y aussi des écoles de Dominas de haute qualité et bien sûr les Maîtresses diplômées savent exactement comment faire mal sans blesser, comment fouetter très sévèrement tout en garantissant que les marques disparaîtront complètement après quelques semaines. Curieusement il n’y a pas d’entreprises qui fabriquent des verges. C’est dans les écoles de Dominas que les futures fouetteuses apprennent à les confectionner. Chaque maîtresse se fait ensuite sa propre clientèle et expédie des baguettes ou verges dans le monde entier.
Parmi les entreprises utiles, il y a DSK bien connu et de nombreux salons de massages (comme ils les appellent là-bas). Ce sont bien sûr des endroits à forniquer, souvent pourvus de donjons pour utiliser les fameuses baguettes vergères.
Oh j’allais oublier, les Vergères sont super belles (par exemple Jana) et s’habillent souvent de manière très provocante et sexy. Un vrai régal pour les yeux.

Mais pendant ce week-end je n’ai pas fait que me rincer l’œil, j’ai aussi accompagné Maîtresse Christine dans sa forêt privée où elle a une plantation de baguettes à fessées. Elle m’a montré la fabrication d’une verge vergère toute fraiche. Puis elle m’a mis des menottes en cuir, enlevé mon short, mon slip et les a enfilé sur ma tête. Ensuite avec l’aide d’une longue baguette souple et flexible elle m’a dirigé vers une cabane en bois située quelques 100 mètres plus loin.
Comme il n’y avait pas de chemin, nous avons passés entre des arbustes, à côté de ronces, de mûriers. Nous avons longé un étang où des moustiques se sont donné le mot pour m’attaquer les cuisses et les fesses et pour terminer, nous avons traversé sa plantation personnelle d’orties. Impossible d’éviter ces tiges urticantes.
La Princesse Christine avait prémédité cette promenade car elle portait des bottes campagnardes et de solides pantalons en cuir. Tandis que moi avec le short sur la tête et pieds nus dans mes sandales….

Sa  petite cabane personnelle est très bien équipée pour les châtiments corporels. Il y a un plancher en bois, plusieurs supports de punition pour pouvoir fesser avec différentes positions, et à chaque place un écran relié à des webcams de très bonne qualité permettant de voir l’arrière des supports. Il y a aussi une grande armoire à habits qui ne sert pas du tout aux personnes à fesser mais à la Dominatrice qui peut ainsi se changer selon son humeur.

Curieusement on ne voit pas les habituels instruments que l’on peut s’attendre à trouver dans un local de punition. Pas de cannes anglaises, de cravaches, fouets ou autres martinets. Dans cet endroit on utilise seulement des baguettes fraiches uniques ou en verges et des orties. On y punit de manière écologique avec des moyens trouvés dans le bois environnant.

Maîtresse Christine me dit qu’elle invite parfois dans sa cabane des collègues accompagnées de leur esclave pour des jeux de forêt.

La charmante femme m’a ensuite enlevé les menottes, ordonné de me déshabiller complètement et de poser mes vêtements bien pliés sur une petite table.

J’ai dû alors m’appuyer à plat ventre sur un support rembourré en demi pente, légèrement en creux sur la longueur et courbé vers le milieu. Il est très confortable avec un renflement (pour surélever les fesses) et un trou à l’endroit du sexe. La partie supérieure est horizontale et l’autre en légère pente.

La belle Princesse m’a ordonné de mettre les mains sur la tête. Elle m’a ensuite mis une barre d’écartement en bois au niveau des chevilles. Mes cuisses étaient ainsi légèrement écartées. Puis elle s’est baissée, a attrapé mon sexe à travers le trou et l’a immobilisé à l’aide d’un mini carcan à couilles fermé avec une combinaison à chiffre.
Difficile de beaucoup bouger avec ce point d’encrage. Si je n'essaye pas de me soulever, la position est encore confortable.
Elle a alors posé les verges en équilibre sur mes fesses avec consigne de ne pas les faire tomber.

Pendant que j’appréhendais la suite, la maîtresse de cabane a été se changer derrière un paravent. Elle est pudique la Princesse. Tandis que moi je suis exposé dans mon plus simple appareil avec la raie des fesses légèrement entrouverte. Ma pudeur doit être le dernier de ses soucis.

même son habillement très sexy est ressemblant

Quand elle revient devant moi, elle est magnifique. Elle a troqué sa tenue forestière pour un ensemble des plus excitants. Elle est tout en cuir. Une combi assez brillante en mauve foncé bien ajustée à son magnifique corps. Une ceinture dorée souligne encore plus ses fesses parfaitement rebondies déjà mise en valeur par le cuir fin mauve. Elle porte aussi des bottes noires à très hauts talons fins. Et évidemment des gants noirs aussi en cuir. Un si magnifique corps dans un ensemble aussi sexy me fait oublier que je suis à quelques secondes d’une très sévère vergée.

Elle s'est emparé de la verge, que j'ai réussi à garder sur mon derrière, s'est positionnée sur le côté des parties à fustiger, a levé l'instrument bien en arrière et avec beaucoup de force à ...
Et bien je ne vous en dis pas plus car c'est une affaire perso entre la Maîtresse et moi ;-)


Voilà, cela fait 2 semaines que je suis revenu de Verginie. Les traces de la correction sont encore un peu visibles. Tout ce que je peux vous en dire c'est que c'était un excellent week-end.

Une Maîtresse vergère avec des baguettes de Verginie c'est une combinaison parfaite. Si vous avez l'occasion de tester, n'hésitez pas ;-)


Ah, j'allais oublier. L’interview - fiction a très bien passé dans le magazine « L’écho des Fessées ». Maîtresse Christine a joué le rôle de journaliste à la perfection et a retranscrit fidèlement mes propos. Ce n’est pas toujours le cas et l’interviewé ne se reconnait parfois plus du tout dans l’article. La recherche du sensationnel dépasse souvent la pensée de la personne interrogée.

Encore une dernière chose. Je viens de recevoir un email de la Princesse Christine. Elle est enchantée de sa nouvelle liaison Internet et me remercie encore. Mais grâce à ce débit, elle n'hésite plus à consulter mon blog et la manière dont j’ai relaté l'interview fiction ne lui a pas plu, mais alors pas du tout. La docteure en fesséologie, même en blonde, ne s’était pas doutée pendant l’interview que je me moquais assez souvent d’elle.
Elle a particulièrement été fâchée par des expressions comme « Encore une qui pète plus haut que son cul », « la salope, ce qu'elle fouette fort », « Elles sont complètement cassées ces bonnes femmes ».

Un autre point qui l’a beaucoup chagriné est que j’ai révélé qu’elle trompait son amante Erika avec une femme beaucoup plus belle qu’elle. Mlle Erika qui lit aussi mon blog a rompu avec Christine après une correction fessière qui a duré plus d’une heure.
C’est lors d’une visite de son amante en Verginie que Christine a proposé de recevoir une petite fessée dans sa cabane personnelle. Elle a donc accepté de se laisser immobilisée sur un support pour quelques coups de baguettes. Erika a tout de suite frappé avec la baguette beaucoup plus fort que d’habitude. Christine ne comprenant pas, Erika lui a parlé de ce qu’elle avait lu dans l’article « Interview – fiction ». Christine a commencé à la supplier de ne pas rompre, de lui pardonner et de la libérer. Mais Erika, bien décidée, lui a administré 100 coups avec une verge de Verginie. Maîtresse Christine n’a plus pu s’asseoir sur ses fesses princières pendant trois jours.

Pour la peine que je lui ai fait, Princesse Christine a exigé que jusqu’à la fin novembre 2007, je reçoive une très sévère correction, sur les fesses nues évidemment. Comme elle ne peut actuellement se déplacer, je devrai me débrouiller moi-même et lui rapporter les préparatifs et le déroulement de ce châtiment.
Elle a bien précisé qu’elle ordonnait des fessées réelles et pas virtuelles comme elle m’en avait déjà donné quelques fois. Elle ne veut pas non plus une self-fessée mais une séance chez une véritable et sévère Maîtresse habituée à s’occuper des personnages comme moi.
Elle pense à des corrections similaires à celle-ci ou à celle-là mais avec une différence de taille.

 Elle veut une réelle séance d'éducation anglaise avec une cane qualifiée de sévère.

Pour celles ou ceux qui ne connaissent pas trop, faîtes un saut chez Dailymotion ou encore mieux chez OWK et vous comprendrez que la cane appliquée correctement n'est pas un jouet.

l'éducation anglaise chez OWK, ils connaissent

Je ne m’attendais pas du tout à devoir organiser une séance encore dans les 3 mois et de cette intensité mais je commence à y penser sérieusement et à m’habituer à l’idée de connaître bientôt à nouveau la sensation de baguettes appliquées très sévèrement sur mes fesses.

Pour des raisons de discrétion et de disponibilité professionnelle, il m’est toujours délicat d’organiser ces séances de manière réelle. Le virtuel est plus facile mais ne procure pas de sensations aussi intenses.

Comme dab, je vous tiendrai évidemment au courant.

A bientôt



PS: Comme je n'ai jamais reçu de sévères coups de cane, celles et ceux qui l'ont pratiqué peuvent sans autres partager avec nous leurs expériences punitives.

Les récits des Maîtresses ou Maîtres ainsi que des soumis, à propos de la cane, sont les bienvenus (douleur ressentie, plaisir d'infliger, etc...)

Merci d'avance!
JeanBer
Par JeanBer - Publié dans : Les fessées
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