Lundi 3 novembre 1 03 /11 /Nov 08:22
PS (pré-scriptum): Avant de vous entretenir du sujet de cet article, je voudrais vous faire suivre un lien reçu de Christophe, un lecteur de ce blog que je remercie. http://www.roomantic.fr/article-27-fessee.html  est un article sympa posté sur Roomantic (que je ne connaissais pas). La mise en page est superbe, les illustrations très suggestives.
Bref, allez y faire un tour!


Après ce pré-scriptum, j'aimerais vous parler maintenant d'une association comportant des millions de membres mais en même temps très peu connue. Il s'agit de la PAF. Chaque Pratiquant Adulte de la Fessée en fait automatiquement partie s'il est consentant à recevoir ou donner des fessées.

Les Dames, Demoiselles et lecteurs m'excuseront mais pour ne pas alourdir le texte j'utiliserai uniquement la forme masculine ou féminine aux grés des circonstances. Ceci malgré le fait que ce qui est écrit au masculin s'applique automatiquement aussi au féminin et l'inverse. Donc une Maîtresse signifiera aussi un Maître et un soumis, une soumise.

Donc dans la PAF, vous pouvez tous l'imaginer, il doit bien y avoir des millions de membres. Il n'a jamais été possible de faire des statistiques précises mais on peut certainement imaginer que les soumis mâles et Maîtresses féminines dominent.

Dans la PAF il y beaucoup de sous-groupes avec des tendances (dominatrice ou soumise ou parfois les 2). Dans ces groupes il y a les adeptes de fessées érotiques ou de fessées punitives, ils forment à nouveau des sous-groupes. On peut continuer avec les instruments choisis ou les positions préférées (par la Maîtresse évidemment). Des désagréments divers peuvent s'inviter dans les séances. Je peux imaginer, le bondage, pincement des tétons ou gifles. Un groupe un peu à part mais qui fait aussi partie intégrale de la PAF est celui où les adeptes se fessent ou se flagellent eux-mêmes (puni-ortie-tion par exemple).
Enfin, il y a assez de cas pour être donnés en exemple dans les explications de la théorie des ensembles.

  dans quel groupe mettriez-vous ces 2 jeunes femmes jouant avec des canes?

Pour ma part, je pense que de classifier les membres de la PAF, on n'en a rien à cirer et que tous les adeptes n'ont qu'à se fesser et fustiger comme ils en ont envie.


Je crois maintenant qu'il est temps de revenir à la fin de cet article. Le gland de mon sexe en accord avec le reste de cet organe avait porté plainte sous prétexte que j'avais pratiqué une puni-orties-tion sexuelle. Quelque feuilles vertes appliquées entre mes jambes et me voilà incommodé par une plainte provenant du bureau des rouspétances de la PAF.

A tout hasard, je vous laisse l'adresses email de ce service:
patricia.martinet(at)paf(dot)sex.
Si cette adresse ne fonctionne pas c'est soit que vous êtes trop nombreux en même temps et ça sature, soit que l'adresse est fictive.
De toute façon, ne l'utilisez qu'en cas d'absolue nécessité car Maîtresse Tricia, connue ici et aussi auparavant sous son vrai nom par , est la seule employée de ce service et encore de manière bénévole.
C'est bien bénévolement que Madame Martinet a ouvert ce bureau et y travaille à plein temps. Son manège pour adultes marche très bien et a de plus en plus de succès. Même des passionnés d'outre manche, pourtant le pays de l'éducation anglaise, viennent se muscler le popotin dans les fitspanking.

Comme Pat, pour les intimes, n'a pas de problème pécuniaires, quoi de mieux pour occuper ses loisirs que d'écouter les petits soucis des gens. Ceci dans le seul domaine qui l'intéresse vraiment, les fessées punitives. En lisant les différentes plaintes, elle pouvait à loisir satisfaire sa curiosité, son petit côté sadique. Et si une réclamation l'excitait plus qu'une autre, elle pouvait encore demander des détails croustillants supplémentaires.
Autant le savoir tout de suite, dès qu'elle en avait extrait la partie excitante, les plaintes des membres de la PAF s'accumulaient sur une pile sans fin.

Comme ancienne connaissance, Maîtresse Tricia a assez vite pu me rassurer que la plainte de mon joystick rouspéteur était déjà surmontée d'autres réclamations. Quand je travaillais encore virtuellement dans son entreprise fictive, décrite dans ma fiction précédente, j'étais particulièrement fâché contre elle. Madame la directrice m'avait, avec un plaisir sadique, envoyé chez Maîtresse X pour une très sévère correction fessière.

Elle m'avait même avoué par la suite avoir fait un montage de la fessée que j'avais infligée avec une baguette à la très sexy Mlle Rosa. Ce petit clip vidéo, elle l'avait ensuite associé à un montage de mes tourments chez Maîtresse X. L'ensemble représentait son principe principal : Les grandes bêtises doivent être très sévèrement punies par châtiments corporels.

Concernant une suite pénalisante de la plainte initiée par mon gland, j'étais tranquille et pourrai aller sans soucis à mon rendez-vous, bien réel celui-là, avec une sévère Maîtresse en éducation anglaise. Je vous l'avais bien dit, je ne vais pas me laisser marcher dessus par un gland même prétentieusement gonflé.

un travail comme un autre qui permet de rincer l'œil des obsédés comme moi et donner des idées de punitions ;-) Cette très sévère Maîtresse n'a-t-elle pas aussi un fessier à fessées?

Il y juste une petite chose à laquelle je ne m'attendais pas mais m'est connue car je suis le rédacteur de ce blog. Le ptit-grand rusé n'était intéressé pratiquement que par des incitations à se redresser parvenant de mon cerveau à travers sa carte réseau mais il ne voulait plus subir par surprise une punition urticante. Il a configuré sa carte réseau dans un mode permettant de sniffer tout le trafic passant à proximité. Et avec son caractère de fouineur dans l'intimité des autres, il fouinait maintenant dans les communications qui arrivaient dessous ma ceinture.

Il a ainsi appris ma prochaine sévère escapade fessière et les détails associés. Ensuite, les couilles ont averti leurs voisines les cuisses et les fesses. Ces dernières ont transmis l'info au trou du cul. Le barreau tendu désirait aussi informer les tétons et les joues car j'autorise ma Maîtresse à me gifler et me pincer et tordre les tétons avec ses doigts. Mais il n'avait pas encore la solution pour communiquer avec eux.

Une petite explication s'impose. L'empressement de mon sexe à tenir au courant tous ces endroits potentiellement en danger lors des séances punitives, était officiellement de la solidarité entre parties sensibles. Mais la vraie raison c'est qu'il était légèrement sadique et le fait de voir de la crainte ou même de la panique l'excitait beaucoup.

Un jour en recevant un intense ordre de redressement depuis mon cerveau pendant que je visionnais une vidéo où 2 très belles et sexy jeunes femmes étaient copieusement fessées avec les verges, le gland a eu un déclic. J'avais eu envie de fourrer mon nez dans les affaires intimes de la femme attachée, avec les jambes légèrement écartées, sur un support adapté aux fessées vergères. Cette envie n'avait pas échappé au sniffage du glandeur et il pensa que mes joues pourraient communiquer comme voisines avec des fesses lors d'un prochain contact par méthode 69. 

La méthode 69 plaisait bien à mon sexe car il y recevait toujours beaucoup de stimulations directes en plus de celles du cerveau. Et si des messages pouvaient s'échanger entre les joues et les cuisses ou fesses le but était atteint. Mais c'était un moyen indirect de transmission d'information avec toujours un délai entre les news importantes et leur réception par le destinataire. En plus, pour la discrétion, passer des messages par une autre personne pouvait ne pas être très sécure.

Le gland devait trouver une autre solution pour faire communiquer mes joues (toujours sous menace de gifles prochaines) et les autres parties sensibles de mon corps.
Un jour que je me rinçais l'œil par une scène avec deux gouines qui se caressaient les seins et les fentes, le gland eut deux idées qui allaient par la suite permettre de faire communiquer toutes les parties sensibles sans difficulté.

La tête pensante de mon bout s'était simplement souvenue de ses études de science corporelle à l'université. Il existait un mini-réseau entre zones érogènes. Il pouvait faire passer par ce canal des messages aux lèvres qui le relaieraient en voisines aux joues. Celles-ci pouvaient par chemin inverse informer les autres parties sensibles si une Maîtresse était en train de me gifler. Même le trou du cul, pas toujours en odeur de sainteté avec les fesses et les couilles, pouvait recevoir des infos et avertir si un godage était en cours ou une laisse anale installée.
  les gifles font aussi partie des punitions possibles

L'autre idée de génie était simplement d'utiliser mes mains baladeuses comme canal de communication redondant. Cela fonctionnait un peu comme une poste restante, les mains ne s'intéressaient pas du tout aux contenus des messages mais se baladaient régulièrement un peu partout même inconsciemment. Par rapport au fonctionnement de la poste restante, celle-ci ne restait pas en place mais c'était les clients qui attendaient son passage.


Dans la correction très sévère, dont j'ai organisé le rendez-vous, mon sexe n'a rien à craindre mais sera aux toutes premières loges pendant la séance. Il verra le fouet passer très rapidement et dans un sifflement effrayant à quelques centimètres et percuter sans gène mes fesses. Les canes aluniront aussi douloureusement tout près. Et les verges lui foutront sûrement la trouille avec leurs fines tiges qui laboureront mon postérieur et le haut arrière de mes cuisses.

En plus de détecter les signaux de très grande douleur, de désespoir, voire de panique provenant des chairs fustigées, mon petit bâton sera aussi pas mal secoué. Je ne pourrai en effet pas éviter de tortiller mon arrière train. Dans ce moment de tourmente, mes bourses ne devront pas paniquer. D'ailleurs, à ce moment, mon hypocrite de sexe, se mettra en crève par solidarité et se fera donc tout petit.

Voilà, curieuses et coquins visiteurs de ce blog, vous en savez à peu près autant que moi sur le système mis en place par mon joystick pour être informé des ressentiments des autres parties sensibles et en retour les renseigner sur la préparation de la séance maso-fessière puis ensuite commenter en direct la punition sévère.

Dans un prochain article, je vous raconterai comment je me sens par rapport à ma visite très prochaine chez la sévère Maîtresse. Le compte à rebours est bien avancé et vous en saurez bientôt plus.
Par JeanBer - Publié dans : Les fessées
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Dimanche 26 octobre 7 26 /10 /Oct 02:46
Il y a une semaine, j'avais à nouveau une grande envie de sensations piquantes et pour la satisfaire, j'ai joué une fois de plus avec des orties. Comme la dernière fois, décrite dans cet article, je me suis rendu une fin d'après-midi au même endroit où je savais que des orties m'attendaient. Juste avant de partir je voulais aussi essayer un harnais "spécial sexe masculin" et l'ai donc installé. En route cela me faisait quand même un peu la trouille de re-connaître les effets des plantes urticantes.

quelques minutes avant l'attaque des orties

Un petit mot quand même sur le harnais pour tube télescopique de sexe masculin. C'est une remarque de Nono dans un commentaire associé à l'article "Une puni-ortie-tion" qui m'a fait reconsidérer la couronne de trombones et la transformer en petit manchon harnais. Ce système ne comporte que 3 grands trombones mais avec 2 élastiques pliés en double et placés aux extrémités des trombones. Un peu difficile à expliquer mais comme je vous ai prévu des photos, ne vous plaignez pas!
Ce harnachement s'enfile avec un élastique dans la rainure du gland et l'autre le plus bas possible en direction de la base du joystick.
Et effectivement cet assemblage garde le gland bien dégagé et donc sans protection si un esprit un peu tordu comme le mien veut le punir.

  les orties encore simples plantes en terre

Donc après la présentation du décalotteur, je reviens à mon approche du champ d'orties. L'excitation et la trouille ont un peu augmenté à la vue des feuilles piquantes. Les plantes étaient très vertes, sans fleurs et ne semblaient pas aussi méchantes que la dernières fois. Mais je n'ai pas trop pris de temps à me faire peur et avec des gants de protection, j'ai assez vite récolté un beau bouquet.

ont-elles l'air méchantes ces feuilles vertes?

et ce bouquet, vous ne l'offririez pas à votre chéri ou coquine?

Dans un endroit plus discret que les abords du champ d'urticaires, j'ai baissé mon froc puis ma culotte comme je le ferais pour une fessée ordinaire.

dernier moment de calme pour le gland qui ne se doute de rien

Mon sexe avec son gland bien à découvert ne bronchait pas à la vue de la verge urticante. Il ne voulait pas se dresser et semblait résigné.

la menace se précise. Plus que quelques secondes et surtout plus que quelques millimètres avant les piqures

Puis après un décompte depuis 10 (c'est assez prenant ces instants car je sais que les orties peuvent brûler assez fort et que cela risquera de faire mal), j'ai appliqué avec application et force mon bouquet tout frais sur toutes les parties atteignable de mon sexe. Le gland bien nu, le tuyau, les couilles jumelles recevaient leur dose de venin urticant.

Celles ou ceux qui connaissent la sensation des orties appliquées consciencieusement et de manière punitive ne vont pas être surpris par la suite.

Les effets de la vergette de feuilles vertes ne se sont pas fait attendre. Il n'y a pas eu de retard. Une douleur extrêmement intense a envahi mon corps juste sous la ceinture.
Ouh la la ce que ça faisait mal!
Une douzaine de fois les tiges feuillues et piquantes ont torturé mon sexe et comme la surface de ces verges n'était pas trop étroite, les chairs autour de mon joystick ont aussi été touchées. L'intérieur des cuisses a donc eu droit aux petites seringues naturelles et vénéneuses des orties.


Mes jambes en tremblaient et je ne pouvais contrôler ces agitations. Comment ces plantes vertes peuvent-elles faire si mal (je ne crois pas avoir déjà senti des orties de manière si douloureuse)? Mon joystick sans chapeau s'était transformé, par quelques coups de brindilles magiques, en un painstick. Ahhh ce que ça faisait mal!

Mais, les habitués de ce blog me connaissent, je ne fais pas les choses à moitié. Et comme j'avais prévu de fustiger aussi le devant des cuisses, une cuissée a continué sur ces chairs très sensibles. Il me semblait que le pouvoir urticant avait diminué mais était encore sévère. Après ce fouettage, j'avais encore prévu de me frotter l'intérieur de la fente entre mes fesses. Ce qui fut fait mais là, la touffe d'orties avait vraiment perdu la grande partie de sa méchanceté et donc de son efficacité.

  le sexe et les cuisses après le châtiment. On commence à voir de petites poussées

les orties n'ont pas ménagé le devant des cuisses

Une autre fois je devrais prévoir 2 ou même 3 verges urticantes pour bien honorer toutes les parties sensibles que je désire punir. Mais pour aujourd'hui, aucune envie d'assembler à nouveau de fraiches feuilles et de les utiliser sur d'autres chairs méritantes.

C'est l'avantage des self-punitions par rapport aux châtiments infligés par une Maîtresse sévère et déterminée. Eh oui, j'en profite si je peux décider de la fin d'une correction!

mon joystick, sans aucune envie de se redresser, retourne se protéger dans le slip

Ensuite j'ai marché un peu pour essayer d'oublier le mal qui m'irradiait entre les jambes. J'avais un peu de peine à me déplacer car mes gibaules étaient encore  tremblantes. J'en était tout retourné, tant le traitement aux orties m'avait ébranlé.

Le soir, le bout du sexe était tout anesthésié et le devant des cuisses très brûlant. Cela faisait encore bien mal et n'était pas du tout excitant mais c'est aussi comme cela après une sévère fessée où les fesses sont douloureuses. Le mal que je n'arrivais pas à oublier m'a fait croire que je ne recommencerai plus jamais ce genre de punition aux orties.

Le lendemain le gland était toujours un peu endormi et le devant des cuisses restait le seul endroit encore douloureux quand le pantalon frottait même légèrement dessus.
Je pensais alors qu'il me viendra certainement à nouveau l'envie de jouer avec des orties. Le joystick retrouvait peu à peu la sensation du toucher à son extrémité.

Et 3 jours après il ne me restait plus que quelques points rouges associés à des démangeaisons sur le devant des cuisses. Avec bien sûr une intention, encore un peu éloignée, de tâter de nouveau des fameuses plantes.

Il me faut aussi avouer que j'ai à nouveau installé à plusieurs reprises le fameux harnachement élastique à trombones. Et que cet assemblage est assez débandant ou plutôt freine beaucoup le bandage. Dès que le sexe reçoit un ordre de se durcir, les élastiques se tendent et les trombones se montrent désagréable envers le gland ce qui gêne pas mal la mise au garde à vous.
Même après plusieurs essais de stimulation, le harnais n'incite pas beaucoup mon ptit-grand futé (comme il aime à s'appeler) à obéir aux ordres de redressement de mon cerveau. Mais je persévère.

avec beaucoup de persévérance, mon cerveau a réussi à dominer le gland qui ne voulait pas se redresser avec le harnais élastique


Il y a maintenant une nouvelle chose qui me gêne vraiment. Mon sexe n'a pas apprécié, mais pas du tout, la terrible self punition aux orties. Sa tête pensante, le gland qui était cette fois aussi aux premières loges, a décidé de porter plainte pour violence en dessous de ma ceinture ;-)
Vous êtes maintenant tous au courant, depuis cet article, que je me suis concocté un rendez-vous avec une très sévère maîtresse pour une méchante séance de fessées punitives. Et où devrait se passer ces fouettées? Vous l'avez tous deviné, sous ma ceinture évidemment.
Et en honorant ce rendez-vous, il y aura à nouveau violence dans la région en dessous de ma ceinture. Vous me suivez toujours? Et ces fessées, qui sont prévues très corsées, constitueront une récidive.
Mais ne vous inquiétez pas je ne vous laisse pas tomber. Vous aurez en temps voulu le récit des terribles fessées que je me suis organisées et qui ne seront pas annulées à cause d'un simple coup de tête de mon gland.
Il me reste encore un peu de temps pour faire face à sa mauvaise humeur. Et je crois même avoir une idée qui permettra de me présenter sans ennui et au moment prévu chez la sévère Dominatrice.

Je ne vais quand même pas me laisser marcher dessus par un simple gland!


Encore une dernière petite chose. Le choix du titre "Comme un roman photo" vient du fait qu'il y a un peu plus d'illustrations que d'habitude et qu'elles se suivent dans le temps.
Et roman dérive aussi en romantique comme le contenu de cet article ;-)
N'est-ce pas vrai Mesdemoiselles?

A la prochaine pour d'autres informations.
Par JeanBer - Publié dans : Au jour le jour
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Jeudi 16 octobre 4 16 /10 /Oct 09:32
Comme la préparation de ma prochaine séance fessée est bien avancée (revoir ici), mes idées peuvent se laisser aller à ce que je vais ressentir prochainement et aussi par quelques détails.

Vous vous souvenez certainement de la fiction "Le système Martinet". Il y était question d'une sévère directrice, Madame Martinet, qui, pour se faire respecter, imposait des visites punitives à son personnel. Je vous avais raconté comment plusieurs personnes avaient dû se présenter chez Maîtresse X pour y être très sévèrement fessées.
Même moi, supposé travaillé dans l'entreprise de cette femme très autoritaire, avait reçu une injonction pour me rendre à un rendez-vous avec la fameuse Dominatrice.

Eh bien, je peux vous l'avouer, cette fiction avait démarré dans mon imagination en pensant à ma prochaine séance de corrections fessières. Donc les sévères châtiments corporels que je vais recevoir dans peu de temps se passeront un peu comme dans la fiction. Mais avec une réelle mais aussi très sévère Maîtresse qui ne s'appelle pas Maîtresse X. Les baguettes, canes, verges et autres instruments seront aussi réels et ne manqueront pas de me chauffer, marquer, rendre mes fesses et le haut des cuisses très douloureux.

C'est excitant d'y penser. Ce sera pénible, voire insupportable quand je me retrouverai, tout nu avec mes fesses sans défenses, à portée immédiate de la sévère Dominatrice. Mais ne vous en faites pas, même si j'aurais beaucoup de difficulté à traverser ce moment de pure douleur par fessées, je l'aurai bien cherché et mérité. Comme dans la fiction, je suis supposé être envoyé chez cette réelle Maîtresse pour grave faute professionnelle. Et sur place, comme dans la fiction, elle ne devrait pas me ménager ou me prendre en pitié.

c'est un genre de situation qui pourrait me tomber dessus dans pas longtemps

Je ne serai pas chez elle pour faire de la figuration. Vous pouvez me croire. La sévérité prévue n'a pas grand-chose à voir avec les fessées érotiques, qui m'ont aussi excitées il y a bien longtemps, mais ne correspondent pas à la sensation recherchée. Comment pourrais-je déjà ressentir une vrai appréhension et une certaine trouille d'avoir trop mal si la correction prévue ne sert qu'à bien dresser et durcir mon joystick?
Soyons sérieux, une vraie séance fessée rejoint le but initial de la fessée: punir, corriger en faisant mal. La Maîtresse sait par son expérience comment faire vraiment mal en fouettant et elle le fera sans état d'âme. Donc pour moi cette séance d'éducation anglaise  ne devra pas aisément être supportable.


Comme déjà testé quelques autres fois, je prévois de m'installer, avant le rendez-vous, une laisse anale. Ainsi la Maîtresse n'aura aucune difficulté pour avoir mon derrière à disposition.
Mais vous voulez certainement en savoir un peu plus, petites curieuses et grands voyeurs, sur ce moyen de prise en main. Et bien c'est simplement un bouchon avec une longue ficelle solide attachée autour, à égale distance des extrémités et dans une petite rainure pour que le système ne se défasse point. Au moment venu, il ne me restera qu'à bien l'enfoncer dans le trou du cul puis mettre en place cet arrêt en tirant sur la ficelle-laisse.

C'est une sensation un peu bizarre, parfois un peu désagréable mais c'est tout à fait adapté à une séance de domination où le porte-bouchon est le soumis. Si la Maîtresse tire sur la laisse c'est tout le postérieur et par conséquent la personne en punition qui doit se déplacer car le bouchon joue bien son rôle de point d'attache. Cela fait de très nombreuses années que j'utilise parfois ce moyen pour montrer à la Dominatrice ma soumission. Mais…

…les plus futés l'auront peut-être remarqué. Et je m'en étais aussi aperçu dès sa première mise en service. Il y a un inconvénient certain à ce système. Il n'est pas facile de le retirer au moment qu'on n'en veut plus car le bouchon fonctionne parfaitement comme anti re-cul. Après quelques utilisations de cette laisse anale, j'ai pensé à un système amélioré qui n'a depuis lors jamais été mis en défaut. Il suffit de percer un trou dans l'axe du bouchon et y insérer une petite ficelle. Un bon nœud à une extrémité et laisser juste assez de longueur de l'autre côté pour pouvoir retirer sans problème, après le fessestival, le bouchon-fixation du trou du cul concerné.

la laisse anale, un petit accessoire qui sera bien fixé à l'intérieur de mes fesses. J'espère que la Maîtresse appréciera ce moyen de domination.

le détail de ce moyen tout simple pour une bonne prise en main

Il est vrai que ce système de laisse ne permet pas des punitions anales par gode, lavement (peut-être?) ou autres. Il ne fonctionne peut-être pas bien pour les ouvertures postérieures habituées à l'élargissement.
Pour ma part, la cylindrée du trou du cul est de dimension d'origine et ce système à bouchon me permet de varier la manière avec laquelle la Maîtresse peut me dominer.

Evidemment je n'imagine pas tirer trop brusquement et trop fortement sur cette laisse ni l'utiliser pour suspendre un postérieur avec sa détentrice ou son possesseur.
Je déclinerai toutes réclamations en cas de problèmes avec l'utilisation de cette laisse anale ;-)
Mais pour inciter un derrière à ne pas s'éloigner des fouets de la Maîtresse ou même à se rapprocher de sa Tourmenteuse, cette amarre est assez efficace.


Avant de vous laisser vaquer à vos occupations ou surfer sur d'autres sites pour adultes, j'aimerais encore vous toucher deux mots sur certaines pensées qui me viennent à propos de cette séance de sévères fessées qui m'attend.
Comme j'autorise à la Maîtresse d'être sévère et donc de me fesser plus que mon supportable, je peux déjà imaginer le moment juste après un coup justement insupportable. Cet instant devrait même arriver assez vite au début de la séance.
Donc comment arriverai-je à tenir le coup avec cette sévérité jusqu'à la fin des châtiments?

La sévère Dominatrice ne devrait pas accepter mes plaintes ni mes demandes de clémence. Elle va probablement même m'interdire les manifestations provoquées par réflexe à la douleur, par réaction à son pénible traitement. Si je me manifeste trop elle ne pourra pas bien faire son travail et devra certainement me repunir ou même me punir davantage. Et elle me contraindra, par sa grande autorité naturelle ou des attaches, à respecter son  travail de me corriger.
Je n'aurai aucun moyen d'éviter une suite de séance aussi pénible sinon plus corsée.
Cette situation est bien celle d'une vraie punition. Dans un tel genre de punition, ce n'est en tous cas pas la personne punie qui devrait pouvoir influencer la détermination de la personne qui punit. Et une vraie punition de type corporelle doit forcément être très douloureuse et très difficilement supportable pour remplir son but.

Je n'aurai pas d'autres choix que de lui obéir au doigt, à l'œil et surtout à la baguette. Vu de l'extérieur (ou pour moi avant la séance), ce n'est qu'un mauvais moment à passer. Mais pendant cet instant, la très sévère Correctrice spécialisée en châtiments corporels ira me faire regretter 100 fois de lui avoir demandé un rendez-vous punitif.

Tout cela fait le charme et le côté poétique d'une séance d'éducation anglaise!

Voilà un peu le genre de préoccupations qui occupe mon processeur et qui durcit mon joystick. Y penser auparavant c'est excitant. Y revenir en pensée par après c'est aussi stimulant. Mais sur le moment même c'est une sensation très éprouvante mais parfaite pour un amateur de fessées punitives recherchant des conditions réalistes.
Comme je l'ai déjà dit une fois, il me semble parfois que le seul inconvénient (provisoire) de telles expériences fessières c'est  bien de subir réellement de telles expériences.


La Maîtresse m'a dit qu'elle utilisera des fouets. J'ai un très vague et craintif souvenir de cet instrument, utilisé une seule fois sur mon postérieur et encore très modérément. Ce qui m'en reste de ce seul coup modéré, c'est une douleur assez aiguë. A l'époque je trouvais le fouet trop sévère pour moi et en avais très peur.
Mais très prochainement, les fouets feront partie intégrante de la sévère punition même si je les crains. A voir dans certaine vidéo ce doit être un instrument extrêmement efficace pour corriger les garçons difficiles.
Comment vais-je le supporter? Vais-je pleurer? Je n'en sais rien. Mais la question ne se pose pas car la Fouetteuse utilisera aussi ces instruments que cela me plaira ou pas. Et je pense que la Maîtresse ne demandera pas mon avis.
De toute façon, vous me connaissez, je vous raconterai en détail la sensation ressentie quand la fine lanière du fouet alunira rapidement sur mon fessier.

mes fesses devront-elles se tortiller sous les caresses d'un méchant fouet court comme celui-ci?

ou un long fouet comme montré ici me fera-t-il crier de douleur?

ou encore ce modèle pour fessée très sévères qui fait pleurer les garçons en punition?

ou bien ma Maîtresse me fera peur (et ensuite extrêmemement mal) comme le fait une de ses sévères collègues sur cette photo?

En plus des fouets, il y aura des canes et aussi de la verge, que je connais mais que j'ai toujours plaisir à recevoir sévèrement sur mon postérieur dénudé.


Voilà et maintenant, c'est comme les autres fois, les amatrices et amateurs de telles punitions sévères ne manqueront pas de partager leur ressenti quand ils reçoivent ou donnent des fessées. Pour m'encourager à traverser le mauvais moment que je me suis organisé ou simplement pour me donner de la trouille et de l'appréhension en décrivant combien cela peut être douloureux, n'hésitez pas à clicker sur les commentaires et y laisser votre empreinte.

A bientôt
JeanBer
Par JeanBer - Publié dans : Les fessées
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Vendredi 26 septembre 5 26 /09 /Sep 08:36
A la fin de cette article de mi septembre, je vous parlais de mon intention de jouer à nouveau un rôle actif dans une expédition punitive. Celle-ci, pour ne pas changer les bonnes habitudes, devrait m'amener à sonner chez une très sévère Maîtresse pour y subir une séance de solides fessées.

Après un échange de mails avec la Maîtresse prévue, je peux vous annoncer que les choses se précisent. En effet nous avons convenu d'une date précise. Le moment précis vous sera communiqué quand vous, les curieux, aurez été bien sages. Tout ce que je peux vous donner de lourd pour l'instant c'est que mes fesses chaufferont dans 20 à 50 jours.

un gentil arbuste qui peut servir à confectionner une méchante verge

Comme j'ai toujours eu une attirance pour les baguettes et leur assemblage sous forme de verges, je prévois d'apporter à ma Fouetteuse une verge fraiche confectionnée avec soin.
Dans une réponse qu'elle m'avait faite elle écrivait: " J'ai des cannes et des verges, ainsi que des nouveaux fouets que je me ferai un plaisir de vous administrer. La douleur sera sévère et le cocktail cane-verge-fouet sera insupportable...". Une verge fraiche, apportée à ma Dominatrice, pourra très bien s'insérer dans le cocktail.

Il y a quelques années, j'avais déjà repéré un endroit où poussent des baguettes de noisetier droites, assez longues, qui me semblent convenir parfaitement pour confectionner un instrument de châtiments fessiers. Un jour avant le fessestival, je prendrai une demi-douzaine de ces tiges et les laisserai tremper 24h dans de l'eau salée. Sur plusieurs sites Internet, j'avais lu que ce traitement les rendait plus flexibles et efficaces pour l'usage auquel je les destine. Si je prends la peine de préparer des verges autant que je les bichonne pour qu'elles soient le plus pénibles à supporter. Elles seront ainsi parfaites pour infliger des fessées très sévères.

quelques une de ces belle tiges vont participer au fessestival

Ainsi le matin, avant de partir pour mon rendez.vous, appréhendant et inquiet (savez-vous comme ce genre de fessées peuvent faire mal?), il me restera à confectionner la verge.
Un peu de papier de verre sur les irrégularités des baguettes et je peux les assembler en un magnifique instrument de châtiment corporel. Cette verge me labourera les fesses, l'arrière en haut des cuisses (un endroit très réceptif et sensible) et probablement aussi les flancs si les extrémités sont assez souples.
Parfois je n'aimerais pas être à ma place tant la sévérité de la Maîtresse pourra être grande.

J'ai aussi prévu un moyen discret pour le transport. Et voilà mon bouquet "écolo" prêt à être présenté à ma Maîtresse. J'espère qu'elle appréciera ce présent.

Il ne me restera plus qu'à y aller (dans la peau des fesses du mauvais garçon méritant une grande punition) et laisser faire le talent de la Domina.


Une séance fessées ce n'est pas plus compliqué que cela!

Qu'en pensez-vous?

A la prochaine!
JeanBer
Par JeanBer - Publié dans : Au jour le jour
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Mardi 16 septembre 2 16 /09 /Sep 08:14
Depuis assez jeune, je suis impressionné par LES FESSEES. Cela a commencé par des maîtresses d'école qui punissaient des camarades avec des baguettes, des mères qui appliquaient les verges à des copains. Et cette curiosité transformée en attirance ne s'est pas atténuée avec les années. Au contraire, l'envie de voir et subir de sévères fessées est bien présente.


LA Fessée, pour moi, c'est une combinaison de 3 éléments plus un contexte.

Il y a différents instruments de correction fessière comme les baguettes fines, souples et flexible, seules ou en verges, des canes, cravaches, martinets, fouets, sans oublier parfois des orties. Ce n'est pas des moyens à appliquer à des mauviettes!

Il faut aussi un derrière à présenter aux instruments. Pour me rincer l'œil, les fesses féminines me conviennent logiquement le mieux. Des fesses bien innocentes, au début vierges de marques puis au gré des applications des instruments, des ahh, ohh, ouhh, aies et éventuellement des pleurs, une coloration de plus en plus foncée et des marques, lignes, stries de plus en plus visibles attestant de la sévérité et de l'avancement de la correction, des globes marqués qui s'entrouvrent de temps en temps et laissent mieux apparaître une chatte plus ou moins excitée.
Et les postérieurs masculins c'est pour me donner des idées de ce que je pourrais ressentir et proposer à une Maîtresse.
Evidemment ce derrière devra subir les châtiments complètement dénudé et sans possibilité d'influencer le déroulement de la punition. Ce n'est qu'un cul qui doit subir passivement. Même si c'est insupportable, la personne qui le possède devait mieux réfléchir auparavant et ne pas s'aventurer dans cette expérience connue comme douloureuse.

Ces deux ingrédients ne seraient rien sans la maîtrise, l'expérience, le désir de bien faire, une dose de sadisme de la Maîtresse ou du Maître. Je parle de sadisme car je conçois les fessées de genre punitif entre adultes consentants, donc une personne qui doit être plus ou moins maso et pour la satisfaire, une personne qui arrive à être plus ou moins sadique.
Cette personne va imposer, par son autorité naturelle et ses autres moyens de contrainte, à supporter de grandes douleurs insupportables sans pouvoir y échapper. Et pour une séance réussie, je pense qu'il faut une dose de plaisir à dominer, à faire mal, même de sadisme. Appliquer avec grande sévérité une cane ou une baguette flexible sur des fesses dénudées, savoir que cela va être douloureux et voir ensuite la soumise ou le soumis avoir très mal et les fesses très marquées, ce n'est pas donné à tout le monde. J'en ai connu beaucoup de maîtresses qui n'osaient pas fouetter réellement et sévèrement mais préféraient la douceur. Et pour moi cela ne convenait pas, je ne recherchais pas une maîtresse de théâtre.
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Et puis dans le contexte il y a l'imagination, l'envie, la préparation (contact, rendez-vous, où, quand, comment), l'appréhension, la peur raisonnable d'avoir mal (car cela peut faire très très mal et comme douillet je peux le confirmer), puis le bâtiment, l'étage, la porte d'entrée, la sonnette, le point de non retour (limite entre le volontaire et la soumission pénible, très douloureuse) où je dis habituellement "Bonjour Maîtresse", la salle de correction, l'épouvantable mauvais moment à passer, le soulagement, les souvenirs du châtiment et l'envie de recommencer.

il n'y a pas que le blog pour le dire!

Il est vrai que ce goût pour les fessées pourrait s'arrêter au visionnement d'images ou de clips sur le sujet.
Mais alors je ne connaitrais pas tout le contexte, le plaisir de voir une véritable Maîtresse tenant avec sa main gantée de cuir de sévères instruments et déterminée à les utiliser sans discussion.
Et mes fesses ne pourraient connaître les affreuses morsures de baguettes, verges, canes?
Non cela n'irait pas. Ma logique de réalisme me pousse inexorablement à connaître à nouveau une très sévère séance fessée.

Donc malgré le grand souci que cela fasse trop mal et que je n'arrive à le supporter, mon plaisir ne serait pas complet sans un passage très pénible et très désagréable chez une véritable Maîtresse de châtiment corporel et éducation anglaise. Et comme je me connais, je demanderai une séance encore plus douloureuse et insupportable que la précédente.
Et pourtant si vous saviez comme je suis relativement douillet et que le premier coup sévère va me faire regretter d'avoir présenté mes fesses sans défenses à une si sévère Maîtresse?
Mais comme les autres fois, je passerai à nouveau cette épreuve avec des craintes, appréhensions, peurs, émotions très intenses et aurai envie ensuite (peut-être pas tout de suite) de recontacter une véritable Maîtresse.

Quelque part, le seul gros inconvénient de ma passion des fessées c'est justement le fait de recevoir de temps en temps une réelle correction fessière très désagréable car faisant insupportablement mal.



Donc pourquoi des fessées?
Parce que je trouve ce sujet sexy, bandant, excitant. Les Maîtresses qui se respectent sont souvent en cuir ou similaire, talons hauts, gants en cuir, air sévère avec une autorité naturelle. Les jeunes femmes qui dénudent leur derrière pour le laisser se colorer et se strier, c'est esthétique. La plupart ont des "spankable bottoms" tout à fait punissables. Il y a aussi les baguettes fines et souples, les cravaches, fouets, canes qui sifflent avant d'alunir.

Et pour mon postérieur, une séance de haute tenue, cela me calme, me soulage, me donne envie de retenter une autre fois.


Le moment est donc venu de cesser d'uniquement rêver mais d'organiser ma prochaine expédition punitive. Dans les 2 mois je pourrai certainement vous raconter à nouveau du vécu.


En attendant n'hésitez pas, comme parfois, à partager vos expériences sur le sujet. Le click sur "ajouter un commentaire" est prévu pour.
Merci déjà pour vos contributions à ce blog.
Par JeanBer - Publié dans : Au jour le jour
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