Les fessées

Mardi 24 octobre 2 24 /10 /Oct 05:38
auparavant

Je reprends ici le récit quand la Domina revient vers moi, avec une baguette, dans la chambre où elle m'avait laissé pendant qu'elle lisait ma lettre. Elle me regardait d'un air très sévère et m'a ordonné de me déshabiller complètement. Je commençais à avoir un peu peur. Dans moins d'une minute le premier coup de baguette sur mon derrière dénudé pouvait me surprendre. La Maîtresse s'est assise sur la chaise et me regardait, la baguette à la main.
Dès que mon pantalon et mon slip étaient baissés, je lui ai confié les 2 laisses. Elle a tout de suite trouvé cet ensemble intéressant. Puis nu comme un ver, avec une forte appréhension, j'ai obéi à son ordre de me mettre à quatre pattes devant elle, mon derrière sans défense à sa disposition.


Je n'avais qu'à me laisser guider. Elle m'a interrogé sur ce que je regardais sur Internet comme sites tout en me fessant encore gentiment. Je lui disais ce que je voyais: des images de fessées, avec des personnes qui recevaient la cane anglaise. Je lui ai aussi dit que parfois des femmes pleuraient car corrigées avec des baguettes. La Maîtresse m'a répondu qu'elles ne devaient pas avoir été sages et qu'alors c'est normal.
Elle continuait à m'interroger sur mon comportement à l'école (je m'étais présenté à elle comme un élève difficile). La baguette continuait à me taper. Puis elle s'est levée et m'a dirigé avec les laisses dans une autre pièce.

Cette salle devait servir à de sévères punitions. Elle comportait un support en T avec des possibilités d'attacher un soumis (ou une soumise?), différents instruments de correction dont une cane anglaise, des cravaches. Dans la salle, il y avait parterre les verges et baguettes apportées. J'ai du me mettre à quatre pattes devant ces instruments et bien les regarder. Elle m'a laissé un moment dans cette position.


Combien de soumis pour de sévères corrections ont été amenés dans cet endroit de supplice? Quels seraient mes tourments? Dans quel état mes fesses vont repartir de ce lieu?
Mais plus le temps de me poser des questions car j'entends à nouveau la Maîtresse qui revient.

A son retour elle m'ordonne de me mettre debout contre le support en T. Elle me gifle. Cela sonne un peu.
Puis elle me fixe des menottes en cuir aux poignets et les attache à des anneaux aux extrémités des deux branches du support. Elle essaye un peu de tous les instruments apportés ainsi qu'une cane anglaise pas trop épaisse. Certains étaient plus sévères que d'autres. En particulier 2 baguettes longues et bien souples. Elle me présentait les baguettes et verges comme associées à une matière scolaire. Celle-là pour la géographie, celle-là pour l'histoire etc… Avec cette méthode, j'aurais peut-être appris plus facilement l'histoire.

Les fessées n'étaient pas trop douloureuses et je me risque à lui tirer la langue. C'était ce qu'il ne fallait pas faire (ou faire?). Empoignant mes deux tétons, elle les sert avec ses doigts pour provoquer une douleur aigue.
Comme j'avais osé être impoli, elle en profite pour fouetter plus fort et me demande si je sors encore la langue. La sévérité étant encore supportable, je me montre à nouveau impertinent. Ouh! Les coups commençaient à faire mal. J'ose encore une fois lui montrer ma langue. Cette fois le terme de sévère correction est approprié. Mes fesses ne peuvent s'empêcher de se tortiller, ce qui dérange la Dominatrice.

Elle arrête de fustiger et m'explique qu'elle ne peut pas bien fouetter quand mon derrière bouge trop. Elle s'approche de moi, tend la laisse fixée au sexe et la fixe à un anneau du support de torture. Mes fesses sont immobilisées. La Maîtresse me demande plusieurs fois en fessant vraiment fort si je dois encore sortir la langue. A chaque fois je lui dis que non. Mon derrière devait déjà être bien marqué car il chauffait et était douloureux.


Après un moment de cette punition, elle me détache du support et me commande de me mettre à plat ventre, la tête tournée vers la base du support. La Maîtresse me fixe les poignets à des anneaux et je sens qu'elle m'emprisonne une cheville en utilisant sa botte à haut talon comme une bride. Je n'ai pas compris tout de suite que c'était pour s'occuper de la plante des pieds. Cette partie n'a pas tardé à déguster aussi les solides coups de baguettes de ma sévère Maîtresse.
Ces coups font vraiment mal et ne sont pas très excitants. C'est une réelle punition. J'ai hâte que cela cesse. Après 30 à 40 coups qui me semblaient interminables, elle libère mon pied pour aussitôt s'occuper de l'autre. Il n'y a donc pas eu de jaloux. Ce traitement est vraiment douloureux mais efficace pour mater les élèves difficiles.


Voilà, la correction devrait arriver au bout. Les fesses ont bien dégusté, elle sont bien striées et rougies. Avec les baguettes, la Maîtresse a visé sur la partie inférieure des fesses jusqu'au tiers supérieur de mes cuisses.
Mais elle me fait encore mettre les mains sur la tête et, je ne m'y attendais pas, me promet encore 100 coups à recevoir avec la plus sévère des baguettes. Je devrai compter tous les coups. Pourvu que ce ne soit pas sous mes pieds. Je n'ai pas le temps de comprendre ce qui va arriver qu'elle commence tout de suite à fesser vraiment fort. C'est après mes fesses qu'elle en a. Un, deux, trois,….
Vers 50 j'en ai vraiment mare mais continue à compter car elle ne s'interrompt pas. Elle vise maintenant plus à la jonction entre les cuisses et les fesses. Et applique la baguette plusieurs fois au même endroit. Ce que ça fait mal! 70, 71, encore une trentaine de prévus.
J'ai hâte d'arriver à 100. 99, cent. Ouf! Quelle volée de bois vert. Ca c'est de la fessée!
Jamais je n'avais été corrigé de la sorte. Mon arrière train est chaud et de très nombreuses lignes lui donnent du relief.


Elle m'ordonne de me rhabiller, je ne vais pas lui désobéir. Je lui demande la permission d'enlever le bouchon anal, ce qu'elle permet. En regardant les marques rouges, même rouges foncé, je constate qu'elles ne sont pas trop apparentes sur les cotés des cuisses. La Domina avait vraiment très bien visé car elle a l'expérience. Il ne me reste plus qu'à m'habiller.
Pendant ce temps elle a tout rangé, et enlevé les petites brindilles cassées de la verge de bouleau.

C'est après la tempête. Elle me propose un rafraichissement, deviens très sympa, agréable. Nous parlons un moment du plaisir de recevoir une solide fessée. La Maîtresse le comprend car elle a aussi d'autres amateurs de méthode anglaise. Elle y prend aussi du plaisir à éduquer ainsi.
Je lui dis être content qu'elle n'ait pas utilisé trop fort la verge de boulot car celle-ci, malgré sa sensation très stimulante, blesse trop vite les fesses. Je pensais aussi qu'elle pouvait frapper encore plus fort avec les autres baguettes mais qu'elle ne pouvait pas me blesser. Les marques doivent disparaître après quelques semaines.
Elle trouvait que j'avais subi une éducation anglaise déjà hard. J'ai eu plaisir du compliment.


Voilà, je prends mon sac et quitte cette magnifique Maîtresse, les fesses douloureuses avec une bonne sensation de chaud. Je me promets et ai déjà envie de revenir.
Ce qu'elle écrit sur son site web est vraiment juste.
Elle respecte le soumis, ne bâcle pas le travail, prend le temps nécessaire pour corriger consciencieusement un garçon difficile. Cela n'est pas le plus courant. Chapeau!

Une sévère fessée ce n'est pas insurmontable, c'est possible!
Et avec Maîtresse Aida on peut y aller les yeux fermés.


La prochaine fois je reprendrai des récits d'autres séances qui ont marquées mes fesses avec d'autres moments croustillants.
Par JeanBer - Publié dans : Les fessées
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Mardi 3 octobre 2 03 /10 /Oct 04:39
auparavant

Vers l'âge de 25 ans, j'ai commencé à aller régulièrement à Paris. Je me promenais rue Saint-Denis et en d'autres endroits similaires. Certaines Demoiselles et Maîtresses étaient très excitantes. J'en avais repérées plusieurs avec un martinet ou autre moyen de correction. Je commençais à demander des renseignements (éducation anglaise, prix, sévérité).

Il y avait aussi des sex shops avec beaucoup d'accessoires et des vidéos. Assez vite, j'ai ramené une vidéo de fessées. C'était anglais avec de jeunes femmes qui recevaient le tawse (claquoir en cuir à plusieurs branches), la verge en rotin ou la cane en bambou ou en rotin.
Que c'était excitant!
Pourquoi pas moi?


J'étais prêt à tenter l'expérience. La prochaine virée à Paris serait la bonne.
C'était une Maîtresse pas très grande mais mince, habillée sexy (hauts talons, bas foncés, jupe de cuir). Elle avait aussi un beau visage et semblait sévère.
Après discussions, elle m'a dit de la suivre et nous sommes montés plusieurs étages par un escalier en colimaçon.
J'avais vraiment la trouille et lui ai expliqué que c'était la première fois et qu'elle ne devait pas me massacrer. Ce que j'avais vu dans les vidéos me semblait très sévère. Elle m'a un peu rassuré.
Arrivé devant un petit studio, elle m'a fait rentrer et m'a tout de suite ordonné de me déshabiller et de mettre un préservatif.
Je me suis dévêtu, étais tremblant, elle m'a engueulé car je n'arrivais pas à mettre assez vite la capote. J'avais peur d'avoir mal. Ca commençait bien!

Elle m'a ensuite parlé sèchement, fessé gentiment avec une baguette sèche en me faisant marcher à quatre pattes comme un chien. Je devais aussi me prosterner à ses pieds, lui lécher ses chaussures. Que c'était bon et excitant!


Elle portait des gants en cuir noir comme j'aime, des chaussures à talon, donnait des ordres sévèrement. Par contre la fessée était très légère.
Vers la fin elle m'a ordonné d'éjaculer.
Je me suis rhabillé et en partant elle m'a encore dit que je pouvais revenir pour un peu plus de douceur, qu'elle le faisait aussi.

Cette première expérience fessée était excitante, tant avant que pendant. Mais au niveau punition sévère ce n'était pas ça.






D'autres expériences m'ont apporté plus de satisfaction dans mon envie d'être puni sévèrement avec des baguettes et verges.

Par JeanBer - Publié dans : Les fessées
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Jeudi 21 septembre 4 21 /09 /Sep 05:44

auparavant


L'expérience de fessée avec mon camarade, même douloureuse, avait renforcé cette envie de baguettes fines sur mes fesses.

Je ne rêvais que d'une Maîtresse qui m'ordonnerait de baisser ma culotte et lui présenter mon derrière pour y être fouetté sévèrement avec les verges.

A cet âge, 15 - 16 ans, il n'est pas évident de se présenter chez une fesseuse inconnue. Je n'osais pas non plus demander aux adultes de mon entourage "Si je fais une grosse bêtise, je serai puni avec une verge?". J'ai donc commencé à me fesser moi-même.

Ma mère avait une paire de gants en cuir noir qui me faisait penser à ceux que portait la première maîtresse d'école quand je la croisais à l'extérieur. Je les ai essayés et ils m'allaient comme un gant. L'odeur du cuir est aussi excitante et agréable. Depuis lors, chaque fois que possible, je me fessais en portant ces gants.

La tapette pour tapis a été utilisée. Si donné fortement elle fait déjà mal. C'est une douleur assez excitante. Des ustensiles de cuisine tels que spatules ont aussi été testés. Particulièrement une avec le bout en caoutchouc blanc faisait spécialement mal surtout si je visais plusieurs fois le même endroit. Un bout de câble électrique, soit avec la gaine soit comme un martinet est bien douloureux. J'ai aussi essayé plusieurs baguettes et verges, surtout en forêt.

Ce n'est pas facile de se fesser assez fort. La position n'est pas idéale et quand cela faisait trop mal je diminuais automatiquement la sévérité.

Un autre moyen excitant et sévère est l'utilisation d'orties. Une fessée ou un frottement avec des orties est douloureux et le mal ne disparait qu'après de nombreux jours. Se promener avec de jeunes orties dans sa culotte est vraiment spécial.

Durant toutes ces expériences, j'avais la crainte d'être repéré, d'oublier un objet compromettant, que quelqu'un entende le fonctionnement de ces différents instruments. Je devais aussi faire gaffe que personne ne voit de marques. Particulièrement délicat avec les copines.

J'avais aussi associé l'odeur et la vue de gants en cuir avec la sensation d'une bonne fessée. Les gants en cuir noir sont aussi très sexy.

La vue de baguettes, tiges fines, tapette, orties etc..., des ballades en forêt, me ramenaient très souvent à mon fantasme.


Pendant une dizaine d'années, je me suffisais à moi-même, puis une fois ...

suite

Par JeanBer - Publié dans : Les fessées
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Lundi 18 septembre 1 18 /09 /Sep 04:07
auparavant

Peu à peu le sujet m'interpelait, j'aurais bien voulu essayer.
J'imaginais la maîtresse de ma première année d'école me punir avec ses verges. Un bon camarade m'avait dit que quelques années en arrière, cette institutrice avait encore une longue baguette suspendue à l'entrée de sa classe.

Combien ont passé un mauvais moment au vestiaire à attendre, entendre les pas de la maîtresse arriver (sur le carrelage avec des talons cela se remarque) et recevoir les terribles baguettes? Je regrettais de n'avoir pas goûté à ce traitement. J'enviais mes camarades qui, à l'école ou à la maison, avaient pu être corrigés de cette manière.


Ces idées faisaient leur chemin et une fois avec un camarade, dans une petite forêt, nous avons décidé de jouer à la fessée. Nous avons choisi de belles baguettes adaptées pour construire une verge. Puis avons tiré au sort et c'est mon copain qui devait être fessé. Il a baissé son pantalon et sa culotte et je l'ai fouetté. Je me souviens avoir frappé fort et longtemps. Le camarade ne disait rien et subissait.
La fessée terminée, il m'a dit que cela faisait mal. Nous avons convenu que la prochaine fois ce serait mon tour à recevoir les baguettes.


Quelques temps après, j'avais repéré de belles tiges qui me semblaient très flexibles et souples. Elles me donnaient plein d'idées. J'en ai parlé à mon copain et nous avons décidé de rejouer à la fessée. Les baguettes étaient vraiment parfaites, difficiles à casser, flexibles, souples. Nous les avons bien attachées pour en faire une très belle verge.

Cette fois pas de tirage au sort, c'était vraiment à moi d'être "puni". N'ayant jamais reçu une fessée avec de tels instruments, je ne m'attendais pas à ce que je sentirai.
Dans un endroit discret et comportant un lit, j'ai baissé mon pantalon et mon slip. Et me suis mis à plat ventre sur le lit, mes fesses dénudées et bien présentées. J'ai dit à mon camarade de jeu que j'étais prêt.
Il a commencé à abattre les verges plusieurs fois sur mon postérieur. Ce que ça faisait mal. Je n'avais jamais ressenti une douleur aussi forte. C'était intenable.
Je me suis relevé d'un coup en disant que je ne voulais plus jouer, que ça faisait trop mal, que je ne pensais pas que c'était si affreux. Je me suis rhabillé.

Nous avons ensuite défait la verge et dispersé les baguettes.

Plus jamais nous avons reparlé de fessée. Je pensais être guéri pour toujours. Mais…

Par JeanBer - Publié dans : Les fessées
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Vendredi 8 septembre 5 08 /09 /Sep 03:38
auparavant

Dans mon jeune âge, ce n'était pas uniquement à l'école que les verges étaient utilisées.
Mes parents ne m'ont jamais fessé mais plusieurs de mes camarades, à ma connaissance, n'y avaient pas échappé.
 
En allant une fois chez un copain, sa mère m'a amené au balcon pour me montrer la dernière bêtise de son fils. Elle a ouvert la poubelle et m'a montré une verge que le garçon avait cassée. Elle ne l'avait plus trouvée à sa place habituelle.
Il me semble que les tiges étaient d'un arbre fruitier (pommier, poirier?). On les trouve dans les vergers, au printemps après la taille. Ces baguettes me semblaient très méchantes et leur application devait faire très mal. Mon copain passait certainement de mauvais moments.
Devant mon camarade et moi, elle a décidé de rechercher, dans la journée, des baguettes pour refaire la verge et quand le père reviendrait le soir, mon copain sera puni.
Le camarade ne m'a jamais plus reparlé de ce sujet.
 
Une autre fois, un autre pote chez qui j'étais en visite était encore en pyjama et sa mère téléphonait. Mon copain en a profité pour me montrer son zizi. Sa maman s'est excusée au téléphone, a pris les verges accrochées tout proche et lui a couru après.
Elle lui a dénudé le derrière et a commencé à fesser. En entendant les cris et pleurs du copain, je n'ai pas supporté et suis parti.
Ce camarade aussi ne m'a plus jamais parlé de cet incident.

Chez une autre connaissance, c'était un martinet qui était toujours accroché vers la porte de la cuisine.
Dans une autre famille, où la mère était veuve et avait 4 garçons, il était connu dans tout le quartier, qu'ils recevaient régulièrement les verges.
 
A cette époque, j'étais vraiment content de ne pas être puni comme cela. Je trouvais la méthode, trop dure. Je plaignais mes camarades.
Comme plusieurs de mes proches copains recevaient des fessées avec la verge, je pense que cette pratique devait être très courante dans les familles.

Mais c'était comme ça!

Cette fois aussi un petit sondage (QS2).
 
A bientôt …

Par JeanBer - Publié dans : Les fessées
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