Lundi 4 août 1 04 /08 /Août 02:15
auparavant


La dernière fois, dans cette fiction, je vous avais introduit au système "fessé(e)-mâté(e)" de Maîtresse X mais il est temps maintenant de retourner l'enveloppe rouge chez Madame Martinet.

Pas très discrète cette enveloppe A4 colorée qui ne doit pas être pliée. Tout mon service me voit passer. Qu'y-a-t-il dedans? Pourquoi Jean-Bernard la porte-il? J'espère que personne ne connait la réponse. La suite me donnera tort.

C'est presque par hasard que j'ai appris l'existence d'autres personnes qui avaient aussi transporté une enveloppe rouge foncé. Une fois en passant près de mon pote Jean, j'ai surpris une conversation entre Mlle Rosa et lui. Celle-ci, depuis l'épisode où j'avais un peu (beaucoup, passionnément) malmené ses fesses, n'osait plus me parler, comme gênée.

Dans la conversation, Jean disait à Rosa: "T'as vu, Jean-Bernard a aussi dû porter une enveloppe à Maîtresse X" et elle répondit: "Oui, c'est de ma faute". Jean ayant soupçonné que j'avais entendu quelque chose m'envoya un email crypté proposant de se voir au bistrot après le boulot.

Au troquet, mon pote m'avait devancé et était accompagné de Mlle Rosa. Même avec un air gêné et mal à l'aise elle était toujours très belle. Tout de suite elle s'excusa de m'avoir envoyé chez Maîtresse X. Peu à peu je commençais à comprendre le système Martinet.

Rosa et Jean m'expliquent que madame Martinet tenait une vingtaine d'employés sous sa coupe en les ayant envoyé recevoir une fessée insupportable. Comme personne (ou presque) ne voulait retourner chez Maîtresse X, il ne nous restait qu'à obéir aux ordres de notre directrice et ceci sans trop réfléchir. Celle-ci profitait pour compenser son besoin de dominer, de tout contrôler.

un mauvais souvenir me revient à l'esprit: Maîtresse X m'avait montré son assortiment de verges et canes

J'apprends aussi l'existence de radioFM (le nom venait de "fessé-mâté" appris chez Maîtresse X). C'est une sorte de radio couloir utilisée uniquement par les personnes maltraitées par Madame Martinet. Même la directrice ne  pouvait la capter et aucun signe ne montrait le contraire. Mais il y a pire dans le système Martinet.

Un jour un nouvel informaticien, qui avait fait du hacking auparavant, a découvert des adresses IP du domaine privé non documentées. L'administrateur principal ne voulant rien lui dire, il analysa le trafic lié à ces adresses. Ce qu'il découvrit le stupéfia. Il existait dans l'entreprise une vingtaine de webcams télécommandées et reliées au bureau de Mme Martinet. Uniquement elle pouvait visionner des collaborateurs. Les caméras étaient camouflées derrière des vitres peintes comme l'environnement.

Ce jeune informaticien qui n'avait pas été chez Maîtresse X mais se méfiait des caméras, se lia d'amitié avec Rosa qui diffusa l'info des webcams sur radioFM.
Madame Martinet, dans mon cas, avait forcé Mlle Rosa à m'amorcer, ne pas résister et j'étais tombé dans le piège. Pour la directrice, rien de plus facile ensuite de récupérer la baguette vue par la webcam et la placer dans son tiroir. Elle avait certainement aussi vu les seins meurtris et la fessée de ma collègue.
Il faut toujours être très prudent au bureau avec les affaires privées!

Les personnes qui pouvait entendre radioFM voyaient, comme les autres, les pauvres collègues qui transportaient une enveloppe rouge foncé mais connaissaient la signification de ce message. Elles s'arrangeaient ensuite discrètement de leur faire capter RadioFM.

Madame Martinet avait réussi avec son système à contrôler les postes clés de son entreprise. L'administrateur informatique, Georges le secrétaire de direction, Jean, Rosa, moi-même étions ainsi tombé dans sa toile. Jean et Rosa par exemple ont été attrapés à cause d'une malheureuse pipe. Pourtant du moment que Rosa aimait la faire et que Jean ne se dégonflait pas, cela ne regardait pas la directrice. Et ni Rosa, Jean et moi-même ne sommes à des postes clés. Il faudra bien trouver une fois l'occasion de remettre notre directrice en place.


Voilà, je vous en ai raconté beaucoup aujourd'hui.
A bientôt!
Par JeanBer - Publié dans : On peut rêver
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Vendredi 18 juillet 5 18 /07 /Juil 10:12
Mes aïeuls connaissaient surtout les orties pour en faire une soupe. Mais moi, comme vous vous en doutez, c'est surtout leur caractéristique urticante qui m'intéresse. Et quand une très grande envie de fessées punitives m'envahit, l'ortie peut assez vite calmer les ardeurs. Et cela reste quand même une punition.

Bien sûr une sévère correction doit comporter de la sévère fessée. Bienheureux ceux qui sont soumis à une Maîtresse ou à un Maître dans leur couple. Ce n'est malheureusement pas mon cas. Mais j'image très bien ce que peut être excitant la menace permanente d'une correction fessière ou autres punitions. Un mot de travers, un manque d'attention ou une petite impertinence et c'est les culottes baissées assuré.

une Maîtresse-épouse à la maison. Mmmmmh!!

J'imaginerais venir un peu en retard et être accueilli par une paire de gifles sonnantes et amené par les tétons pincés dans le coin en attendant une punition plus conséquente. Une demi-heure ou une heure plus tard j'entendrais des talons aiguilles et ma Maîtresse-épouse, habillée en dominatrice, faisant siffler la cane, la cravache ou les verges. Comme une bonne séance fessée est difficile à cacher à la piscine, il y aurait juste en été où les orties seraient  préférables.

Bref, dans mon cas, été ou autres saisons, une grande envie de sentir des baguettes alunirent sévèrement peut être atténuée par un contact rapproché avec des orties.
Vous savez comme moi que la self fessée n'est pas sévère et en plus nous sommes en été (saison relâche pour les fesses striées).

Alors hier j'ai tenté une chose que je n'avais pas pensée auparavant. Bien dégager le gland et le fouetter avec des orties justes cueillies. Cela m'a provoqué une douleur un peu en anneau sur le bout de mon joystick (pourrait-on le traduire par bâtonnet joyeux?). C'était assez intense mais quelques minutes et l'effet s'atténuait.
L'envie d'un contact rapproché avec cette plante me reprit très vite. Heureusement, comme par hasard, j'avais un petit sachet en plastique transparent. Quelques orties jeunes, bien fraiches dans le petit sachet et ce bonnet improvisé a recouvert mon sexe et mes bijoux de famille. Là, la sensation est autrement douloureuse surtout en malaxant bien le tout pour bien sentir les feuilles orticantes. Mon slip et le pantalon ont repris leur place et je me retrouve à la vue des passants avec mon intimité qui brûle, pique comme visité par un bataillon de fourmis.

Après une heure environ l'effet de cette plante, même frottée contre les chairs sensibles, a beaucoup diminué. Ce bonnet de punition est très rapidement vidé et rangé. Il ne reste plus qu'une sensation de brûlure caractéristique du passage des orties. Pas désagréable du tout. Un tout petit inconvénient, le sachet faisait un peu de bruit en marchant et je ne me suis donc pas trop rapproché d'autres personnes.

Tout cela c'était hier et ce matin j'essaye un petit truc pour garder mon gland bien dégagé dans toutes les phases, repos ou excité, de mon joystick.
Il suffit de mettre un élastique à la base du gland avec une couronne de 4-5 trombones et l'extrémité est toujours à découvert. C'est un peu désagréable, ce système qui ne se fait pas oublier en marchant mais il servira certainement pour mon prochain contact avec des orties. J'essayerai d'enfiler des tiges urticantes dans les trombones et assurer ainsi une meilleure répartition des tiges et feuilles piquantes. Le petit bonnet en plastique gardera le tout en place et mon sexe sera assuré de bonnes sensations.

Il y a bien d'autres endroits que je devrais essayer de présenter aux orties. Cette plante peut impressionner toutes les parties du corps. Des tétons jusqu'aux pieds.
Ce sera pour une autre fois. Et si je pense à l'appareil photo, je pourrais agrémenter un article avec des images vécues.

les petites puni-ortie-tions ne valent pas une sévère Maîtresse

Une toute petite chose encore. N'oubliez pas de passer par le lien contact ou les commentaires si vous avez des expériences ou des conseils urticants à partager.
Déjà un grand merci.

A une prochaine visite!
Par JeanBer - Publié dans : Au jour le jour
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Dimanche 13 juillet 7 13 /07 /Juil 16:52
auparavant


La fois précédente, dans cette fiction, vous m'aviez laissé dans la baignoire, pas tout à fait essuyé, et Maîtresse X qui commençait à me punir pour un peu de flotte par terre.

Et, comme après le premier coup de baguette noire, je ne me relevais pas assez vite, elle attrapa mes tétons, les pinça et les tira vers le haut. Ceux qui connaissent se seraient aussi retrouvés debout. Mes fesses tremblantes étaient à nouveau à portée de sa terrible cane synthétique noire. Un coup sur chaque fesse, un peu moins fort que le premier, et je suis autorisé à terminer l'essuyage.

"Maintenant, sors de la baignoire et essuie l'eau par terre". Vous pensez bien que penché vers la tache de flotte, Maîtresse X n'a pas manqué de rejouer de la baguette. Concentrez-vous dans ces conditions, facile à dire. Comment une personne a-t-elle pu fabriquer une chose si douloureuse, car cette tige synthétique ne peut servir qu'à fouetter. Elle ne présente aucun inconvénient, ne s'use pas, ne demande pas de force à l'utilisation et sa matière, sa souplesse, sa flexibilité assure au soumis (ou à la soumise) des douleurs fessières extrêmes. Pourquoi ai-je succombé à Mlle Rosa?

La Maîtresse est enfin satisfaite et peut débuter le programme correctif. En premier elle m'installe un bracelet de cuir, muni d'une boucle métallique, à chaque poignet et cheville. Ma condition de soumis se poursuit par un collier et une laisse. Ainsi habillé, elle me dirige à la laisse dans la salle des châtiments corporels. Celle-ci est sombre rouge.

elle peut tenir un siège avec sa réserve de canes

C'est un peu comme une salle de fitness, sauf que ce n'est pas les muscles que Maîtresse X va renforcer mais bien mon obéissance à Mme Martinet. La Dominatrice n'oubliera pas non plus ce que j'ai osé faire subir à Mlle Rosa. C'est fou où un petit moment d'égarement peut m'amener, dans une salle remplie d'engins de punition. Des supports divers en cuir noir recouvert de serviettes éponges. En plus de ces immobilisateurs, j'aperçois aussi des baguettes, verges, fouets, martinets, cravaches, verges, bref le kit de la parfaite Maîtresse.
J'allais oublier le trépied avec un appareil photo numérique faisant office de caméra. La carte mémoire SD confiée par ma directrice était prête à témoigner des désagréments demandés.

La Dominatrice installa un petit masque sur ses yeux car elle ne voulait pas être reconnue sur les images. Elle enclencha ensuite la caméra improvisée et dirigée vers une table. C'est vers cet endroit que je fus tiré. Je reçois l'ordre de me pencher dessus et assez vite Maîtresse X essaye différents moyens. Je ne suis pas autorisé à les voir me fustiger. Les 2 coups (un sur chaque fesse) de chaque instrument font plus mal les uns que les autres. La Maîtresse arrête enfin la caméra et vise un autre endroit de la "salle de fitness".

Elle me dirige ensuite vers un support de cuir très confortable. Genre de fauteuil d'immobilisation où je ne dois pas m'assoir mais me mettre à genoux et ensuite à plat ventre. Commence alors, de la part de la Maîtresse, l'immobilisation par des lanières aux chevilles, sous les genoux, aux cuisses, sur le dos et aux poignets. Et pour assurer la tranquillité, Maîtresse X m'installe un bâillon-boule. Vous vous doutez bien, je n'en mène pas large. Les fesses déjà douloureuses, les tétons qui démangent. Et ce support qui ne me laissera pas me reposer. Le temps qu'elle enclenche la prise de vues et le bruit de ses hauts talons aiguille se rapproche. Je sens le premier coup pas trop fort de ce qui me semble à nouveau la baguette synthétique.

un bâillon-boule pour ne pas ameuter les voisins

Aucun mystère la dessous. Maîtresse X m'explique qu'elle doit terminer le travail bâclé dans la baignoire et ceci par ma faute. Mais cette fois elle n'a aucun souci pour m'appliquer les 6 coups avec la grande sévérité prévue. Vous dire que cela fait extrêmement mal ne sert à rien car je l'avais déjà dit dans la baignoire. Je préfère garder mes forces pour supporter l'insupportable.

Les 6 coups reçus sans pouvoir bouger et crier me semblent suffire pour la faute commise avec Mlle Rosa mais Maîtresse X ne semble pas satisfaite. Un cocktail de différents instruments, toujours insupportables, me charcute les fesses. Mais que faire d'autre que de rester en place et laisser fesser. Des fessées comme celles qu'on voit dans les vidéos spécialisées mais sur mes fesses à moi et sans anesthésie. Comment une femme peut-elle être si sévère, faire si mal, sans lui avoir fait quelque chose? Maîtresse X me traite comme si elle avait un compte à régler directement avec moi. Elle n'est pas fâchée mais son traitement n'en est pas moins hyper douloureux.

Je ne me fais pas trop d'illusions quand elle me détache du support. En me menant à la laisse, je dois marcher à quatre pattes vers une espèce de potence. La laisse me tire debout. La suite se passera les bras écartés et attachés à une barre. Idem pour les jambes. Mes fesses sont en feu ce qui ne semble pas impressionner la Correctrice. Maîtresse X (elle ne m'a toujours pas dit son nom) ordonne de ne pas bouger pendant qu'elle parfait mon dressage.

le fouet ressemblait à ceux utilisé chez OWK

Cette fois je peux voir les moyens utilisés. Un fouet, une cane anglaise et une verge en rotin. Un morceau de percussions. Chaque instrument fait un son différent divisé en 3 parties: le rapide passage dans l'air en direction de mes fesses, l'alunissage brutal et mon ahhh sous le bâillon-boule. Après un moment cette musique s'arrête.

La Maîtresse si crainte se met devant moi et me regarde fermement de ses yeux sévères. Je suis entièrement à sa merci. "Tu commences à comprendre de respecter les femmes! Mlle Rosa ne t'avait rien fait et tu l'as humiliée, sévèrement fessée." Sans le bâillon j'aurais pu répondre "oui Maîtresse mais elle m'avait provoqué".

le deuxième membre du trio de châtiement

Je ne pense pas que ma tourmenteuse désirait entendre des excuses. En me regardant de son regard très sévère: "Tu fais moins le malin, sans défenses, devant moi ta Maîtresse sans pitié". Joignant le geste à la parole elle m'empoigne les tétons et les tire vers le haut. Je suis sur la pointe des pieds mais elle continue à tirer. Je n'ai d'autres choix que de faire ahhh à en perdre le souffle. Si elle poursuit son supplice elle va me les arracher les tétons.

Mais la Dominatrice en vraie professionnelle sait ne pas aller trop loin et me relâche d'un coup. Ce que j'aimerais pouvoir frotter les tétons si douloureux! Mais pas le temps de penser à moi. Une paire de gifles sonnantes me ramène à la réalité. Le temps à la Maîtresse de repasser derrière moi et l'entracte est terminé. Le concert de percussions recommence, semblant sans fin. La verge, la cane et le fouet sont infatigables.

la forte douleur de la verge n'est pas à négliger

Le cocktail de ces trois ingrédients subi avec courage et résignation et je suis libéré de ma position en X.
Ouf, enfin!

Ne pensez pas que je suis soulagé. La Maîtresse ne m'a pas dit qu'elle me libérait mais de rester à 4 pattes à ses pieds. Tout en jouant sévèrement d'une cane flexible, sur mon derrière déjà saturé, elle explique sa manière pour mâter, dresser, punir les clients qui s'adressent (ou sont forcés à s'adresser) à elle.
- Elle ne laisse rien passer, je l'ai constaté quand j'avais giclé en me douchant.
- Elle est très sévère, au-delà du supportable de chacun.
- Elle teste ensuite, sans immobiliser, des instruments de fessées qu'elle estime nécessaires.
- Elle immobilise fermement le patient et le punit très sévèrement.
Quand elle estime le soumis en partie dressé et mâté elle le soumet, dans la position du X debout, au renforcement des bonnes dispositions acquises.
Elle explique sa méthode de "fessé(e)-mâté(e)" tout en vérifiant qu'elle a atteint son but de manière durable (très rares sont les clients non-volontaires qui sonnent à nouveau chez elle).

Après s'être assurée que le traitement fessier à été efficace chez moi aussi, elle me libère enfin de ses contraintes et me permet de reprendre une douche pour éteindre mes fesses. Maîtresse X me remet l'enveloppe rouge cachetée en "X" à la cire avec ses appréciations sur mon comportement et la mémoire SD de mes exploits.

Ouf, j'ai enfin mérité mes 3 jours de congé. Ils ne seront pas de trop pour que mon derrière puisse se refaire une santé.


Suite à cette séance de châtiments corporels subie virtuellement, je pense avoir une idée plus précise de la signification de l'abréviation SM.
SADO, Maîtresse X n'a rien à envier à ses collègues d'OWK par exemple. Elle avait assez vite repéré mon côté douillet, mes faiblesse, les endroits de mon corps où elle pouvait me faire souffrir. Et elle en profitait. Elle voyait la peur dans mes yeux quand elle empoignait le fouet, les verges ou la cane. Elle était consciente de sa supériorité. Elle aimait dominer, commander, humilier. Et comme cela ne suffisait pas elle m'immobilisait pour les fessées les plus sévères. Pour jouer au chat et à la souris, elle connaissait.
Il faut être vraiment sadique pour continuer à fouetter pour le seul plaisir de voir souffrir. Ou bien Maîtresse X le faisait uniquement par conscience professionnelle suite aux demandes des commanditaires. En tous cas Madame Martinet avait choisi une excellente adresse pour assoir son pouvoir.
MASO, il faut l'être pour se présenter chez une telle Maîtresse. Dans cette fiction, je ne le suis pas du tout mais ma directrice avait des arguments que je n'ai pu contrer.
Dans la vraie vie c'est une question que je me pose souvent: suis-je vraiment maso? Choisir un sujet bandant (les fessées), des instruments qui m'excitent (verges, canes, baguettes etc..) et demander à une Maîtresse très sévère de me faire souffrir comme si mérité pour une faute très grave. Cela y ressemble terriblement: être maso.

Chez Maîtresse X, le rôle du chat elle se l'était approprié avec peut-être même sa chatte qui était excitée. Je dis peut-être car je le suppose. Pendant qu'elle me fessait, je n'avais pas osé, au lieu de faire ahhh, ouhhh, lui demander si me fouetter sévèrement lui donnait une moule mouillée. Vous le lui auriez demandé?
Par contre de mon côté, dans le rôle de la souris, je puis vous assurer que mon joystick était pratiquement inexistant.
Cela me rappelle la formule célèbre d'un amateur de fessées: "Les sévères fessées punitives, c'est bandant avant et après mais pendant c'est pendant".
Les connaisseuses et connaisseurs peuvent peut-être me le confirmer. Dès qu'un seuil de sévérité est franchi, l'excitation sexuelle tombe et fait place à de la pure douleur.


Voilà, que voulez-vous encore savoir?
Je vous le dirai la prochaine fois.

Par JeanBer - Publié dans : On peut rêver
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Mercredi 25 juin 3 25 /06 /Juin 05:05
auparavant


Ouf! J'ai retrouvé un peu d'entrain pour continuer cette série. Vous vous souvenez certainement que j'avais dû vous laisser suite aux instructions supplémentaires concernant une très sévère punition que je devais recevoir dans cette fiction le lendemain. Je n'arrivais vraiment plus à me concentrer tant la trouille, l'appréhension du lendemain m'accaparaient.
   
La correction fessière promise par Mme Martinet s'est bien déroulée, comme habituellement, selon Maîtresse X et très mal passée à mon avis. Je dois d'ailleurs rester debout pour écrire, tant mes fesses sont encore affreusement douloureuses. Je ne savais pas que les fessées que je voyais avec plaisir en vidéo pouvait être si insupportables. La forte douleur de mes tétons commence à s'apaiser mais ils me démangent encore beaucoup. Ce n'est pas possible d'expliquer l'inexplicable mais comme visiteurs de ce blog, vous attendez des explications.

Maîtresse X y est membre

Donc j'ai facilement trouvé l'adresse indiquée (je l'avais auparavant repérée avec Google maps). C'est, arrivé au 4ème étage devant la porte où était simplement écrit "Bienvenue", que j'ai pensé tout abandonner. Je me sentais vraiment bizarre avec une enveloppe rouge à quelques courts instants d'une séance qui était sûrement douloureuse. Une fessée, certainement aux instruments, devait être très pénible à recevoir.

Je me remémorais les réactions, vues dans les vidéos, d'hommes semblant habitués et qui se tortillaient de douleur et ne pouvaient s'empêcher de se plaindre. Les corrections les plus sévères se passaient avec le puni attaché à un support. La Maîtresse leur appliquait alors avec grande sévérité et sur les fesses nues déjà fortement marquées et colorées, des coups de cane, de fouet, cravache, claquoir. C'était deux mondes séparés par un moyen de correction corporelle. Une Maîtresse décontractée, même souriante, moqueuse d'un côté et de l'autre un soumis qui souffrait le martyr. Comment peut-on en arriver là par plaisir?

une des amies de Maîtresse X

Et moi qui était là sans plaisir et pour faute professionnelle (de manière virtuelle bien sûr comme dans une fiction, mais quand même à quelques instants de la correction). C'est enfin, la gorge sèche, tout tremblant et après plusieurs minutes que j'ai osé appuyer sur le bouton de la sonnette. J'ai entendu une faible sonnerie mais aucun bruit de pas. Si Maîtresse X pouvait-être absente? Après un instant qui me parut être très long et comme je n'osais pas me représenter chez Mme Martinet sans la carte mémoire SD attestant de ma correction, j'ai re-appuyé sur le bouton. Comme je n'entendais toujours aucun bruit sauf la sonnette chétive, je me suis retourné et ai appelé l'ascenseur comme un peu soulagé.

C'est à ce moment que la porte s'ouvrit brusquement et qu'une voix autoritaire me rappela. "Viens immédiatement ici Jean-Bernard". Sans réfléchir ou chercher à résister je suis retourné vers la porte marquée "Bienvenue". Maîtresse X m'a alors attrapé par les cheveux et tiré à l'intérieur tout en refermant la porte. "Tu pensais échapper aux fessées que je te réserve". Une paire de gifles sonnantes plus tard, "Tu te fous de moi? Tu as bien 5 minutes de retard, tu te permets de sonner 2 fois puis tu appelles l'ascenseur. Regarde-moi bien, tu te crois où?" Je bégaie des réponses et des excuses. Ca commence bien, la première sonnerie était, et j'en suis sûr, seulement à 3 minutes de retard sur ma montre.

une décoration du hall d'entrée chez Maîtresse X

Je suis tremblant et commence à paniquer. Maîtresse X ne semble vraiment pas commode. "Tu te doutes bien que je t'observe depuis 16h et me demande si tu as le culot d'échapper à ta correction. Tu vas comprendre comment on respecte une Maîtresse comme moi." Elle m'arrache presque l'enveloppe, l'ouvre et lit les recommandations de Mme Martinet. J'ai un instant de calme où j'aperçois que Maîtresse X est habillée sexy mais tient à la main une méchante cane en rotin comme j'en ai vu souvent dans les films d'éducation anglaise.

J'essaye de rassembler mes souvenirs pour vous décrire ma future tourmenteuse. Un visage très sévère, ne laissant apparaître aucune possibilité d'échapper à une séance corsée. Un ensemble minirobe cuir très courte, bustier bien rempli et longs gants en simili cuir noir brillant comme je les trouvais hyper excitants dans mes visionnements. Des collants bruns foncé et des bottines noires et brillantes à talons hauts. Une sacrée allure!

Tout à coup elle dit sèchement de me déshabiller. Je commence vraiment à avoir peur mais n'ose désobéir. Tout nu, elle ordonne de me mettre à quatre pattes devant elle, pas sur les genoux mais sur les pieds et les mains. Je ne vois que ces bottines dont les pointes me retiennent un peu les mains. Pourvu qu'elle ne se mette pas sur la pointe des pieds. Je vois aussi le bout de la cane menaçante qu'elle tapote légèrement contre sa jambe.

De sa voix autoritaire elle reprend: "Les recommandations de ta patronne sont claires: très graves fautes donc sévérité maximum. Tu vas comprendre ce que peuvent ressentir des fesses nues quand on les frappe fortement avec une baguette. Tu ne t'étais sûrement pas rendu compte ce que ça fait mal quand tu t'acharnais sur Mlle Rosa? Et ce n'est pas tout, tu verras, j'ai aussi des fouets, canes anglaises, cravaches, verges etc.. Tu vas voir ce que sont des fessées insupportables que tu devras supporter. Va immédiatement dans la baignoire et douche-toi, proprement mais rapidement. Exécution!"

Comme j'ai eu un instant pour réagir, elle se pencha, m'empoigna les tétons, me tira debout et m'emmena vers la salle de bain. Je ne sais pas chez vous mais chez moi, dans la vie réelle et dans la fiction, je n'aime pas que l'on me pince les tétons. Ce que ça fait mal! Et Maîtresse X n'y allait pas de main morte. Elle connaissait ce point faible de certainement la plupart des soumis. Je comprenais vraiment le cri de douleur de Rosa quand je m'étais occupé du bout de ses seins.

Tout tremblant, je me douche. L'eau est agréable mais la propriétaire de ces lieux ne le semble pas du tout et tout à fait capable de me faire passer un très mauvais moment. Comment vais-je supporter tout ce qu'elle voudra me faire subir? Je suis si nerveux que je gicle un peu en dehors de la baignoire. Je n'ai pas fini de m'essuyer que Maîtresse X est de retour pour me stresser quand elle aperçoit la tache d'eau par terre. Elle n'hésite pas longtemps: "Mets-toi debout les mains sur la tête et attends-moi, je vais t'apprendre à mouiller la salle de bain de ta Maîtresse".

une autre sévère amie de Maîtresse X

Elle revient rapidement avec ce qui me semble être une baguette synthétique très flexible, pas trop longue. Etant droitière elle me pousse un peu à droite et ordonne de me mettre sur la pointe des pieds, les mains sur la tête, de bien présenter mes fesses en arrière et surtout ne pas bouger. Le premier coup arrive rapidement, c'est affreux ce que c'est douloureux. Je m'enfonce dans la baignoire en me tenant les fesses des 2 mains.

Vous ne pouvez pas savoir, mes lecteurs et surtout mes lectrices, ce qu'une petite baguette synthétique de rien du tout, comme celle que tient ma Maîtresse, peut faire mal! "Jean-Bernard, t'ai-je autorisé à quitter ta position ?". "Cela fait trop mal Maîtresse X, c'est insupportable, pitié, je ne veux pas continuer". "T'ai-je demandé si ça fait mal, cela je le sais, je veux que tu te remettes en position. Compris!". "Oui, oui Madame". "Appelle-moi toujours Maîtresse X!  Compris? Debout en place!"

l'affreuse et hyper douloureuse cane synthétique

Je n'avais reçu qu'un coup et je n'en peux déjà plus. Que faire?
Une chose que je suis en tous cas autorisé à faire c'est de vous laisser patienter jusqu'à la prochaine fois.

A bientôt pour la suite de cette fiction-fessée!

Par JeanBer - Publié dans : On peut rêver
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Mardi 10 juin 2 10 /06 /Juin 13:51
Depuis quelques temps le lien "contact", dans le pied de la page, ne fonctionnait plus. Par contre le même lien, mais plus petit et résidant tout au fond, amenait correctement les visiteurs à laisser un message.

Une question d'URL qui avait changé dans le petit contact et que j'ai mis à jour dans le plus grand. Et voilà que cela fonctionne à nouveau.

Il me faudra prendre plus souvent un moment pour vérifier les différents liens. Et pour que ce genre de problème ne se reproduise plus j'en parlerai à une sévère Maîtresse. En attendant vous pouvez toujours laisser un message ou un commentaire suggérant la sévérité et avec quels instruments la Dominatrice pourrait m'appliquer une grande correction pour cette négligence.

avec cette Maîtresse, je n'aurais certainement pas négligé mon blog

A une prochaine
JeanBer
Par JeanBer - Publié dans : Soucis et joies de blogger
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