Lundi 2 juin 1 02 /06 /Juin 08:30
auparavant


Je vous avais quitté quand, dans cette fiction, c’était le lendemain du jour où j’avais fessé Mlle Rosa. Elle avait heureusement retrouvé son sourire habituel et moi j’allai bientôt le perdre.

Mon humeur changea quand je ne savais plus exactement ce que j’avais fait de la baguette utilisée le jour précédent sur les fesses dénudées de Rosa. Je ne me rappelais pas l'avoir prise avec moi ni l'avoir détruite et éliminée. Où pouvait-elle bien être? Je ne pouvais demander si quelqu'un l'avait vue. Ce point m'embêtait. On n'est pas toujours assez prudent. Mlle Rosa avait-elle à voir avec cette disparition?

la disparition de la baguette m'occupait plus l'esprit que des images comme celle-ci

Je n'ai pas pu penser plus longtemps à ce mystère car le téléphone sonna et Mme Martinet me donna l'ordre de passer immédiatement à son bureau. Il n'y avait qu'à dire "Oui madame la directrice". En allant à cette convocation j'eus l'impression que Rosa n'osait pas me regarder. Avait-elle quelque chose à se reprocher?

Dès que j'eus sonné à la porte de la directrice, celle-ci m'ouvrit, me fit entrer et avant que j'ai pu dire un mot, elle m'avait appliqué une paire de gifles sonnantes de sa main gantée de cuir noir. Mme Martinet, habillée en tailleur strict, collant foncé, hauts talons et gants de cuir, savait recevoir. Tout alla ensuite très vite. Elle m'empoigna par les cheveux, m'amena vers son bureau et ouvrit le tiroir. Il y avait une baguette.

pas le temps de penser à une scène pareille car la baguette me préoccupait toujours

Mais était-ce bien la baguette avec laquelle j'avais strié les fesses de Rosa et alors que faisait-elle dans le bureau de la directrice? L'explication ne tarda pas. Mme la directrice l'avait simplement elle-même changé de tiroir. Elle me sermonna comme je ne l'avais encore jamais été. Elle avait trouvé inadmissible mon comportement de punisseur de la veille et comptait bien ne pas en rester là.

Madame la directrice ne pouvait tolérer mon comportement. Mlle Rosa avait été humiliée quand je lui avais écarté sa fente, elle avait eu très mal aux tétons, était à nouveau humiliée de devoir séparer ses fesses. Et comme si cela ne suffisait pas, ma baguette s'était encore acharnée sur son derrière sensibilisé par ma fessée manuelle.

Comme elle me considérait en bon élément et ne voulait pas se séparer de ma collaboration, elle décida de me punir. J'imaginais déjà la voir prendre une cravache et me martyriser les fesses. Au lieu de cela elle s'assit à son ordi, compléta minutieusement un formulaire, l'imprima, le signa et le mis avec une carte mémoire SD dans une enveloppe A4 rouge foncé. Après avoir fermé l'enveloppe, elle la cacheta à la cire avec une marque "PM". Je n'osais pas lui demander d'explication. Elle me donna ensuite la missive en m'expliquant qu'il ne fallait pas la plier et que c'était des instructions pour ma punition. Je devrai me présenter chez une certaine Maîtresse X considérée comme très sévère et intransigeante. Pour me mettre l'eau à la bouche, elle m'informa que la fessée de Mlle Rosa n'était rien par rapport à celles qui m'attendent.

j'essayais d'imaginer Maîtresse X avec beaucoup d'appréhension

J'ai bien essayé de m'y opposer mais rien n'y fit. Je n'avais pas le choix. Je vous le répète mais dans cette fiction, je ne suis pas habitué à être fouetté sévèrement. En la quittant elle me dit encore que je recevrai des informations supplémentaires et qu'il faudra lui ramener la carte SD après la correction comme preuve de mon passage chez Maîtresse X.

Comme rédacteur de cette fiction, je vous dois ici une petite explication concernant Maîtresse X. X était son nom de Maîtresse avec l'entreprise car elle voulait rester incognito, discrète. Sur la qualité de son travail je ne peux vous en apprendre grand-chose car je ne l'ai jamais croisé. Mais l'enveloppe A4 commence à m'inquiéter. Je ne connais pas son contenu et ai l'interdiction de l'ouvrir.

En rejoignant ma place de travail, plusieurs collègues m'ont fait une observation sur la belle enveloppe rouge foncé. J'avais même l'impression que certains se doutaient de quelque chose. En tous cas Mlle Rosa n'osait plus me regarder.

serai-je attaché ainsi?

Les 2 nuits suivantes, je n'ai presque pas dormi. J'appréhendais beaucoup de me faire fouetter. Maîtresse X devait connaitre d'autres techniques que les fessées à la main. Par des photos et des vidéos, j'avais vu comment certaines Maîtresses peuvent être sévères. Certaines ne se gênaient pas d'appliquer fortement des canes anglaises, cravaches, verges et ceci toujours sur les fesses nues. Elles ne se préoccupaient pas des réactions du soumis. S'il les gênait, elles les attachaient et même leur fixaient un bâillon-boule. La séance se terminait rarement sans les fesses fortement rougies, striées. Et les bruits d'une telle séance sont impressionnants même excitants comme voyeur. Les ordres de la fouetteuse, les sifflements des instruments de châtiment, les ahhh, aie, ouh la la, les pleurs parfois.

Je ne savais pas quand cela se passerait ni comment je supporterai. Au travail, j'avais de la peine à me concentrer. Déjà 4 jours que Mme Martinet m'avait convoqué. M'avait-elle oublié? Et pourtant ce que Madame la directrice disait se passait toujours. Si je n'avais pas succombé à la "provocation" de Mlle Rosa, je serais en train de travailler sans souci du lendemain. Je commençais à me résigner car Mlle Rosa avait aussi souffert quand je lui avais strié ses belles fesses si désirables. Depuis quelques jours je ne voyais même plus les belles femmes que je croisais en entreprise ou dans la rue. Seule la correction promise me hantait l'esprit.

Maîtresse X aura-t-elle une assistante pour me corriger?

Malheureusement Madame Martinet ne m'avait pas perdu de vue et se rappela à mon souvenir le lundi suivant. Un email sécurisé (OpenPGP, Enigmail et Thunderbird vous connaissez certainement ?) intitulé "Instructions supplémentaires" et provenant de Mme la directrice me surpris. J'ai du m'y prendre à plusieurs fois pour introduire la bonne phrase secrète tant mon cœur battait et l'appréhension me submergeait. Le corps du message disait ceci:

"Jean-Bernard, vous vous rendrez sans faute demain pour 16:00 et avec l'enveloppe rouge foncé non pliée à cette adresse (suivait les coordonnées de Maîtresse X dans une rue commerçante au centre de Genève). N'oubliez pas de redemander la carte SD sous peine de retourner pour une nouvelle séance. Vous prendrez ensuite de 3 jours de congé pour vous retaper. Excellente fessée!"


Désolé chers lectrices et lecteurs mais mes pensées sont tellement prises par la séance-punition que je dois recevoir demain que je reprendrai cette fiction la prochaine fois.

 A bientôt
Par JeanBer - Publié dans : On peut rêver
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Jeudi 15 mai 4 15 /05 /Mai 08:20
auparavant

La fois précédente, dans cette fiction, Mlle Rosa a été décrite. Et comme vous pouvez certainement le comprendre je me suis pris dans un engrenage de sans gêne vis-à-vis de cette belle personne. Une petite claque sur les fesses de temps en temps ne fait pas de mal. Mais une idée plus osée avait émergé de mon imagination.

J’avais remarqué que, comme Mlle Rosa papotait et popotinait aussi souvent avec ses collègues, elle accumulait des retards dans son travail et restait ainsi parfois le soir pour le terminer. Comme par hasard, je me suis aussi retrouvé un soir à devoir terminer une tâche. Evidemment, probablement sans s’en rendre compte, elle s’arrangea pour passer près de moi avec sa démarche excitante. Ce soir là elle portait une mini robe enveloppant son corps magnifique. Ses seins oscillaient sans contrainte sous le haut de sa robe, elle ne portait visiblement pas de soutien-gorge. Il suffirait certainement de détacher deux petits boutons et ses magnifiques seins se retrouvaient à l'air libre. Un vrai appel à faire une petite bêtise!

Je vous l’avais déjà dit, je ne suis pas de bois, et quand la belle jeune femme passa à portée, j’ai commis l’irréparable. Mlle Rosa s’est retrouvée couchée sur mes genoux. Vous n’êtes pas sur mon blog sans savoir que les fessées m’intéressent. Et j’avais un magnifique derrière à la bonne distance de ma main. Sa jupe retroussée, j’avais ses fesses nues devant moi. Son micro slip ne cachait pas grand-chose. J’aurais pu me contenter de me rincer l’œil.

Mon sang ne fit qu’un tour et j’abatis ma main sur ses globes rebondis. Sentant que la jeune femme appréciait mes intentions, la première claque se transforma en fessée sonnante et rougissante. Un claque en amenant une autre, les magnifiques fesses s’étaient réchauffées et colorées d’un rouge de plus en plus foncé. Rosa appréciait toujours et son string ne pouvait le cacher mais me gênait quand même un peu pour voir entièrement son entre-fesse. Sans trop réfléchir, je lui ai abaissé le string sur ses cuisses.

Et pour améliorer le paysage, je lui ai bien écarté sa fente. Mais Rosa ne m'a pas laissé admirer ses trésors, elle s'est levée d'un coup et mis ses mains en paravent sur son intimité. Plutôt énervé, j'ai profité qu'elle avait les mains occupées pour détacher les deux boutons que j'avais repérés à sa robe et libérer sa magnifique poitrine. Puis, toujours dans mon élan, lui ai pincé les tétons, les ai légèrement tordu et tiré vers le haut en lui ordonnant d'écarter elle-même fortement ses fesses.

La pauvre a poussé un cri qui m'a fait lâcher les extrémités de ses seins. Je pense qu'elle a dû avoir très mal et je ne m'en étais pas rendu compte en serrant ses tétons. Le fait est qu'elle s'est retournée, penchée en avant et, les 2 mains agrandissant sa fente, m'a montré ses trésors les plus personnels. Son sexe humide montrait que la fessée lui avait convenu. Son petit trou du cul me regardait aussi droit dans les yeux.

J’étais toujours plus excité et ce n’est pas mon joystick qui le démentira. Je devais continuer la fessée. Un petit bémol cependant, mes mains étaient douloureuses.

n'ayant pu prendre une photo, cette illustration vous montre un peu le topo

De nouveau une petite parenthèse. Dans ma vraie vie, j'avais bien essayé d'introduire la notion de petites fessées partagées à la main mais ces pratiques sexuelles n'ont jamais passé la rampe chez ma partenaire. Dommage! Je ferme donc la parenthèse et vous raconte la suite de la fessée que j'ai débutée avec Mlle Rosa.

Donc mes mains étaient douloureuses (dans une fessée, le but n'est pas d'avoir mal à la main mais bien de faire souffrir des fesses), mais heureusement que dans ma prévoyance j’avais apporté discrètement ce matin là une baguette fraiche. Une de ces baguettes choisies exprès pour fouetter sévèrement. Une de ces tiges bien droite, souple, flexible, qui siffle magnifiquement en fendant l'air.
Pendant la journée, j’avais aussi dû faire attention quand j’ouvrais le tiroir du bureau tant la baguette était inhabituelle à cette place et pouvait être aperçue.

J'ai rebasculé sur mes genoux la femme dont je réchauffais les fesses. Ses magnifiques seins pointaient vers le sol. Puis j’ai ouvert le tiroir et extrait un objet qui allait lui strier son magnifique derrière. Jamais dans ma vie réelle je n'ai eu l'occasion d'infliger une telle fessée et en plus sur un postérieur de belle femme. Dans cette fiction, je me laisse donc aller à mettre en pratique un de mes phantasmes (fesser sévèrement un derrière féminin).

Dès le premier coup de baguette, Rosa s’est raidie et a cherché à échapper à cette agression. Puis elle s’est contrôlée et ne m’empêchait plus de lui appliquer cette tige prévue pour corriger des fesses certainement plus méritantes que les siennes. Elle ne m’avait rien fait et j’étais en train de la fesser avec une baguette qui devait lui faire vraiment mal. Tout à mon excitation, je ne m’apercevais pas de la sévérité de mes gestes.
Est-ce après 2 ou 3 douzaines de coups que je l’ai relâchée ?

c'est un peu à cela que ressemblait le fessier de Mlle Rosa après le passage de la baguette

La pauvre demoiselle s’est remise sur ses jambes, regarda en pleurant ses fesses maltraitées. La baguette n’avait pas uniquement puni ses fesses mais aussi le haut de ses superbes cuisses. Et comme chacune et chacun le sait, l’extrémité d’une tige à fessée un peu souple et flexible marque aussi fortement la hanche et le côté de la cuisse. Voyant ses larmes couler et l’état de ses chairs, je me suis extrait rapidement de mon excitation. Elle releva ensuite son mini slip et réajusta sa robe.

J’étais vraiment désolé et ne savais pas comment me faire pardonner. Heureusement dans sa gentillesse Mlle Rosa me rassura qu’elle ne ferait pas d’histoire et que l’affaire pourrait en rester là. Elle m’expliqua que le premier coup de baguette l’avait vraiment surpris et qu’elle avait du faire un énorme effort pour ne pas m’empêcher de continuer la fessée. J’ai compris alors qu’elle avait vraiment souffert de la sévérité de ce que je pensais être juste un jeu entre adultes consentants. Elle me le confirma et avoua qu’une fessée à la main l’excitait beaucoup mais pas une correction à la baguette. Un mauvais souvenir semblait lui remonter en mémoire.

Rosa connaissait pourtant mon désir habituel de ne pas blesser, de respecter les autres. Pourquoi ne m’a-t-elle pas stoppé dès le premier coup de baguette ? Elle m’avait avoué qu’elle aimait exciter, provoquer mais ne s’attendait pas à ce que je dispose d’une baguette si cruelle. De mon côté je lui ai dit que je pensais qu’elle apprécierait certainement une bonne fessée à la baguette et j’avais choisi une tige qui pouvait être sévère. Sans en discuter il n’est pas toujours aisé d’être sur la même longueur d’onde (ondulations des fesses pendant la punition).

Je lui ai offert de manger à l’extérieur et lui ai promis de ne plus m’aventurer dans ce domaine érotique. Elle m’a rassuré que c’était pardonné. Elle était aussi soulagée que cet incident s’était passé maintenant sans petit ami actuel. La soirée s’est bien déroulée et aucun de ses détails ne devrait vous intéresser petites coquines et coquins.

Le lendemain, Mlle Rosa, qui portait des pantalons pas trop serrés, évitait comme par réflexe de passer trop près de Jean et de moi-même. C’était son droit, elle ne devait pas se justifier. Elle n’avait pas perdu son sourire. C’est moi qui allai bientôt perdre le mien mais cela c’est un autre article de cette fiction qui le montrera.

A bientôt !

Par JeanBer - Publié dans : On peut rêver
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Mercredi 30 avril 3 30 /04 /Avr 08:13
auparavant


La dernière fois, dans cette fiction, je vous avais donné l’eau à la bouche en vous parlant de Madame Martinet, la directrice.

Dans mon service, il y a aussi, à part quelques collègues classiques, Mlle Rosa notre secrétaire. Il m’est difficile de décrire cette jeune personne, il faut la voir de ses propres yeux. Imaginez une belle femme, la vingtaine, une beauté à couper le souffle, pas farouche, semblant très portée sur les choses.

Un peu petite mais un corps parfait, bien proportionné. Des seins bien ronds légèrement pointant, fermes, bien positionnés. Un bas du dos un peu cambré, un profil excellent légèrement creusé sous le ventre, au début des cuisses. Depuis derrière, ses fesses bien enveloppées d'un jeans serré blanc, noir ou autre, tout lui va à ravir. Des fesses bien rebondies vers l'arrière et le haut. Un espace entre ses cuisses, vers le cul, écartées juste ce qu'il faut pour donner l’envie de la pénétrer en levrette. Un entrejambe très excitant où l’on pourrait facilement y enfiler la main. Un cul de rêve fait pour la baise (l’ai-je déjà dit ?). Si elle fornique aussi bien que son corps est magnifique cela doit être au top.

J’ai oublié de vous parler qu’elle est blonde avec un visage de madone, de sainte nitouche. Très souvent souriante. N’étant pas trop grande, elle équilibre sa taille par des chaussures à talons. Avec un port de reine, cela lui donne une de ces allure qu’il est parfois difficile de se concentrer sur son boulot.

Même la tête penchée sur son ouvrage, on l’entend passer de sa démarche souple. Ces talons fins et hauts ne lui permettent pas d’arriver en silence. Même un sourd ne pourrait échapper à sa présence tant son parfum est adapté à son corps, sa personnalité. Une fragrance légère, qui met immédiatement de bonne humeur. Rien à voir avec un célèbre parfum à numéro et lourd.

Certains jours en pantalons de ville ou en jeans, d’autres en jupe, évidemment mini, montrant ces belles jambes. Un beau brin de fille. Vous la verriez en jupe courte serrée à la taille mettant en valeur les courbes excitantes de son popotin. Vous êtes assuré d’une journée de bonne humeur.

Un de mes collègues, Jean, pas du tout inhibé, s’amuse à lui donner parfois une petite claque sur les fesses. La belle Rosa rouspète. Certainement pour la forme car pourquoi continue-t-elle à passer si près ?  Pourtant la main de mon collègue ne s’agite pas quand madame la directrice passe dans son voisinage. Ce n’est sûrement pas l’envie qui lui manque. Il y a parfois des réflexes qu’il faut savoir maitriser. Il semble même faire partie de ceux qui craignent beaucoup madame Martinet.

comme je n'ai pas osé photographier le beau cul de Mlle Rosa, j'en ai trouvé une assez ressemblante
 
C’est ici que j’interviens plus activement dans cette fiction. Comme la plupart des personnes, dans la réalité de la vraie vie, je ne m’aventure pas dans ce genre de choses. Mais dans une histoire, je peux prendre des libertés correspondant à mon imagination.
L’ambiance provoquée par les vidéos ou images qu’il est autorisé de visionner sur mon PC et la proximité de belles femmes telles que Mlle Rosa ou Madame la directrice n’a pu empêcher ma main de se balader.

Titillé par le parfum de Rosa tandis qu’elle s’entretenait avec un collègue près de moi, je n’ai pu me retenir de lui mettre la main aux fesses quand elle est passée à coté. Comme Jean je ne suis pas de bois. Mlle Rosa ne se vexant ou ne se fâchant que rarement, je n’ai pas été remis à ma place par une gifle mais par un grand sourire presque complice.

Evidemment j’étais pris dans l’engrenage. La belle demoiselle passait aussi plus souvent près de moi comme elle avait pris l’habitude avec mon pote Jean. Venait-elle uniquement pour me provoquer ou attendait-elle à nouveau une petite claque sur les fesses ? Mon esprit de déduction a penché pour la deuxième possibilité. Seule la présence de Mme Martinet ou de personnes étrangères au service m’empêchait de me détourner de mon travail.

Après des mois de ce petit manège, une idée germa dans mon imagination. Dans la vie réelle cette idée serait restée dans mes petits neurones. Mais dans une fiction pourquoi ne la mettrai-je pas en pratique ?

La prochaine fois je vous raconterai où une petite idée de rien du tout m’amena. Cette petite idée qui n’aurait pu provoquer qu’un renflement au sommet de mon pantalon.

A bientôt !

Par JeanBer - Publié dans : On peut rêver
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Jeudi 17 avril 4 17 /04 /Avr 08:05
Le printemps aidant, j’ai à nouveau envie de partir dans une fiction. Partir dans son imagination mais aussi en y jouant un rôle actif et même passif. Donc cette histoire se passe dans une entreprise de l’audio-visuel où je viens d’être engagé comme employé.

Assez vite je me suis aperçu d’une ambiance de travail particulière. Tous les employés travaillaient à la perfection, sans stress apparent. Le règlement de l’entreprise est même très permissif. Tous ont une demi-heure de pause le matin et idem l’après-midi. Ces moments peuvent être utilisés pour aller boire un café ou autres, pour discuter de la pluie et du beau temps, se reposer ou carrément visionner des images, diaporamas ou vidéos sur son PC. La matière ne manque pas avec tous les e-mails non professionnels qui circulent.

Du moment que le travail était bien fait, dans les règles et les temps, la liberté des collaboratrices et collaborateurs était très grande. C’est ce qui permet aussi d’avoir un très bon rendement, des clients satisfaits. En plus du travail plaisant, les salaires octroyés sont au dessus de la moyenne de la branche.

Où les choses sont un peu particulières c’est que le matériel de loisir multimédia pouvait aussi être du genre coquin. Même assez corsé du genre vidéo de baises, images de bondage, streaming en provenance de DsK (pour les "non au parfum" lire ma fiction "Coco t'as bien fait" ou CTBF). Evidemment comme toute la matière de ce blog, le domaine est strictement limité aux activités d’adultes consentants (se référer à l’en-tête des pages de mon blog).
Pour assurer le respect strict de ce point, tous les navigateurs internet et lecteurs multimédia devaient passer par un proxy qui filtre certains contenus. L’équipe informatique avait reçu l’ordre, en plus d’assurer un filtrage adéquat de surveiller les fichiers.

Tout ce beau monde est dirigé de main de maître par une directrice, madame Martinet. Cette très belle femme, la quarantaine, mène son entreprise au doigt et à l’œil. Une partie du personnel semble même la craindre énormément. Comme si elle les menait à la baguette. Il faut dire que je ne dirais pas non, comme amateurs de fessées, si la baguette était réelle. Je pense que certains de mes collègues, féminins ou masculins, sont certainement passés aussi par ce genre d’idées.

Mme Martinet, la directrice, ne s'habillait que dans les boutiques de luxe

Madame Martinet, dans son tailleur strict, pourrait  très bien faire l’affaire. Elle est belle, désirable, sexy et en même temps a un air très sévère. Pas uniquement l’air, elle donne les ordres de manière sèche, ferme qui n’admet pas la contestation, elle pouvait même être cinglante. Des bruits couraient qu’elle gifle parfois. Bref, comme une véritable Maîtresse de correction corporelle comme on les aime. Je me mets même parfois à rêver qu’elle possède des instruments tels que canes, martinets, verges, fouets et qu’elle les utilise pour diriger l’entreprise.
Une fois comme j'étais concentré en pensée sur mon blog, j'ai même risqué de la saluer par "Bonjour Maîtresse".

Je vous dois ici une petite parenthèse. Dans la vraie vie, j'aime être fessé, même sévèrement aux instruments. Mais dans cette fiction, je ne connais que les fessées érotiques à la main entre partenaires amoureux. Ma compagne aime donner et aussi recevoir (encore une grande différence avec ma vie réelle). Donc dans cette fiction, je ne peux que rêver de fessées à la baguette ou autres. Je ne suis pas prêt à franchir le pas. Les châtiments corporels que je vois dans les vidéos me semblent beaucoup trop sévères pour moi (toujours au contraire de ma vraie vie). Je ferme cette parenthèse et continue à vous parler de Mme Martinet, notre directrice.

D’abord son nom, il n’a rien à voir avec un quelconque objet de désir. Ensuite, vous la verriez devant vous, vous ne pourriez-vous empêcher de penser qu’elle a une bouche de baiseuse (mon imagination refait un tour ;-). Quand elle sourit, rarement, cela aide un peu plus à la voir ainsi. Et ces jambes, longues, parfaites, vous m’en direz des nouvelles.
Le beau visage de madame Patricia Martinet comporte une bouche de baiseuse (oups je me répète), assez souvent des lunettes de soleil noires (pourtant elle a de magnifiques yeux légèrement en amandes). Elle porte aussi de longs cheveux roux foncés, allant dans le dos.

Habillée souvent d’une veste et mini-jupe noire avec des chaussures fines à hauts talons, des bas-collant bruns foncé. Notre directrice est toujours très chic et strict, et dès que l’air fraîchi un peu cette très belle femme porte volontiers aussi des gants en cuir noirs.

Mme Patricia Martinet savait attirer les regards

Même avec des bottes brunes à talons et un jeans bien serré rempli par son derrière proportionné à sa grande taille, le charme opère encore. Vous la verriez, en marchant derrière elle, les 2 globes de ses fesses se mouvant à tour de rôle. Vous savez du genre de ces beaux culs dont on ne peut quitter le regard même parfois à en attraper un torticolis. De ces derrières qu'il serait bon de toucher, soupeser, claquer. Pas plus que mes collègues je ne me risquerais à ces gestes, parfois qu’il lui viendrait l’idée de se retourner et appliquer une paire de gifles sonnantes à l’insolent subordonné ou pire, lui prendrait l’idée de se séparer de notre collaboration.
Je ne peux quitter cette description sans vous parler de sa poitrine très bien faite, ni trop grand ni trop petite. De ces seins fiers de l’effet qu’ils produisent.
Comment fait-elle à son âge pour se maintenir aussi en formes ?

Environ 1 fois par mois, elle se promène en inspection dans les bureaux avec Georges, son secrétaire de direction. A cette occasion elle est habillée en cavalière sans bombe ni cravache (dommage) mais avec des pantalons idoines et des bottes noires bien cirées. Elle ne doit certainement pas utiliser cet ensemble pour monter son cheval.


Mais arrivé ici, je dois vous laisser. La prochaine fois je vous présenterai la secrétaire de notre service.

A bientôt

Par JeanBer - Publié dans : On peut rêver
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Mardi 1 avril 2 01 /04 /Avr 08:29
Au début du mois, l’envie de fessées m’avait un peu abandonné.
Mais maintenant les sensations, assez douloureuses, de bonnes verges sur mes fesses dénudées ne me déplairaient pas. C’est vraiment des verges faites de rotin ou de baguettes flexibles du genre tiges de noisetier qui me feraient le plus plaisir.

On ne se refait pas !
La séance de châtiments fessiers à la cane anglaise dégustée en octobre passé m’a montré que la sévérité peut être assez grande. Un cocktail corsé de fessées à la cane et aux verges ne me ferait pas peur. Bien au contraire !


La verge de rotin m’avait une fois impressionnée. La Maîtresse, qui me semblait pouvoir être très sévère, m’avait installé une barre entre les chevilles et debout j’avais les poignets attachés vers le haut. Si elle voulait vraiment me faire souffrir elle le pouvait sans que je puisse l’éviter. Dès les premiers coups de verges, qui ne me semblaient pas appliqué très fortement, je lui avais demandé d’arrêter car cela me faisait vraiment mal.
Maintenant je suis prêt à goûter à nouveau de la verge en rotin mais de manière beaucoup plus sévère et sur une durée bien plus longue.


la verge de rotin peut faire partie d'une sévère punition corporelle

Les verges faites de tiges trouvées en forêt me font aussi beaucoup fantasmer.
Une fois à la Roche sur Foron, j’avais eu l’occasion de déguster à une heure d’intervalle deux types de verges.

Celle faite de brindilles très fines allant dans tous les sens.
Avis aux amateurs, a-t-elle un nom précis ?
Donc ce modèle je l’avais trouvé très piquant, la Maîtresse l’avait appliqué vigoureusement et assez longtemps. C’était douloureux sur le moment mais après un instant c’était devenu plus un chauffage de fesses qu’une punition.
Evidemment après moins d’une heure j’avais à nouveau envie de fessée mais je n’aurais plus voulu avec la même verge car ce modèle a tendance à égratigner.

L’autre type de verge était celle faite d’une demi-douzaine de baguettes pas trop fines et le plus droit possible.
Re-avis aux passionnés, comment s’appelle-t-elle ? (Manks birch ?)
Etonnement j’avais trouvé cette fessée moins douloureuse qu’avec l’autre type de verge.
M’étais-je habitué ou les baguettes étaient-elles mal choisies ?

des baguettes bien droites pour confectionnner des verges

Et pourtant, lors d’une expérience étant encore plus jeune, j’avais trouvé ce dernier type de verges très douloureux. Quelques coups appliqués fortement m’avaient refroidi pour quelques temps.


Donc si une verge de rotin n’est pas disponible, je me rabattrais sur le modèle utilisé sur l’Ile de Man. 4 baguettes bien droites de 0.8mm de diamètre, d’environ 1m de long.

Y-a-t-il devant son écran une ou un spécialiste de ce genre d’instrument ? Je suis partant pour des renseignements sur la sévérité, l’arbre idéal pour y retirer quelques baguettes, si le fait de les faire tremper change quelque chose, etc..

Et avec une Maîtresse décidée et expérimentée cela devrait convenir pour me faire passer un très mauvais moment. Les limites seraient de ne pas me blesser et que les marques disparaissent dans les 2 à 3 semaines. Le niveau de douleur ne devrait pas entrer en compte. Une vraie Maîtresse devrait arriver à punir le plus fort possible dans les limites définies. Un savant dosage qui demande une bonne maîtrise des fessées.


Comme toujours, je tenterai de passer de l’imagination à la pratique.
Et vous tiendrai évidemment au parfum !
Par JeanBer - Publié dans : Au jour le jour
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