On peut rêver

Jeudi 31 décembre 4 31 /12 /Déc 23:55
Et bien sûr de bonnes et douloureuses fessées pour les membres de la communauté des Pratiquant Adulte de la Fessée (PAF).

Je dois vous l'avouer, je ne fais plus partie de cette association imaginée. Ce n'est pas par choix personnel mais à cause de mon exclusion par le comité formé surtout de Maîtresses professionnelles très sévères. Lors de leur dernière réunion, elles ont décidé de faire de l'ordre dans ce club et je remplissais les critères pour être exclus. Si je ne les avais pas traitées de maîtresses de théâtre avec leur tenue de latex avec cuissardes et tapettes en plastique utilisées habituellement pour dépoussièrer des tapis, elles m'auraient laissé un délai de quelques semaines pour me mettre en conformité avec le règlement qu'elles avaient imposé à la communauté. Je les trouve trop sévères dans l'application des statuts. Mais comme elles exercent souvent leur métier avec grande sévérité et autorité, cela déborde aussi sur leur fonction de garantes de la bonne marche de la PAF. Mais ce que j'ignorais c'est que leur tapette en plastique n'est qu'un ornement pour les séances de comité pour rappeler que l'association n'oublie pas les membres qui pratiquent les fessées domestiques. Je n'avais pas saisi auparavant leur humour domestique ;-)

Donc pour en revenir au règlement de la PAF, il stipule que les membres ne pratiquant plus de fessées en donneur et / ou en receveur pendant 2 ans et n'ayant pas non-plus pratiqué de self punition (avec par exemple tapette pour tapis ou orties) pendant une année seront exclus de la communauté des Pratiquant Adulte de la Fessée.

Pas de doute, je rentre tout à fait dans ces critères et ma moquerie sur les tapettes en plastique ne m'a même pas donné la possibilité d'un petit délai avant l'exclusion. Pourtant ce n'est pas l'envie de fessées qui me manque. Ce désir est intact.
Je m'étais pourtant organisé deux expéditions punitives chez une très sévère Maîtresse qui ne m'aurait pas traité légèrement avec une simple tapette à mouche. Pour les 2 fois, des éléments indépendants de ma volonté ont fait capoter ces projets (celles et ceux qui me suivent sur ce blog auront lu les articles concernés).
Cet été, j'aurais pu m'infliger une puni-orties-tion mais là c'est vraiment par pure paresse que les feuilles orticantes n'ont pas punies mes fesses et toutes les parties aux alentours.

Voilà, par méconnaissance approfondie du règlement de la PAF, je m'en retrouve à l'extérieur. Une Maîtresse du comité (appelée Maîtresse Certitude) m'avait même dit que si, au lieu de sa tapette, elle avait une canne, cravache de dressage ou fouet, elle m'aurait fustigé les fesses de manière exemplaire. Et dans ce cas je réintégrais immédiatement la communauté. Cette super et sexy Maîtresse blonde m'avait pourtant appliqué une de ces paires de gifles dont je me souviendrai. Mais les gifles seules ne font pas partie du champ de l'association. Dommage!


une-bonne-cannee.png Image tirée d'une très chouette vidéo où de belles fesses apprécient la canne.


Mais à y réfléchir 2 minutes, cela n'est pas grave. Si l'occasion se présente je suis libre de recevoir à nouveau des fessées et pourrais réintégrer le club intéressé par les fesses rougies et striées.
Après une exclusion, le règlement est strict. Il faut absolument subir une séance fessée chez une Maîtresse professionnelle très sévère. Les fesses candidates à une réinsertion, doivent subir le fouet, la canne, les verges, et cela de manière extrêmement punitive. Heureusement que je prévois de subir avec plaisir ces conditions en envisageant d'autres tourments que des tapes érotiques.

Voilà, si la malchance ne s'acharne pas sur moi, je pourrais vous annoncer fièrement à moyen terme ma qualité renouvelée de membre de la PAF.

Maintenant je voulais vous diriger vers une excitante série de 3 vidéos, comme illustrée par l'image ci-dessus. Vous aller sur le site où le hamster fait du x et ensuite vous introduisez gentiment dans leur champ de recherche "cherry red ass" et vous voilà prêts à vous rincer l'œil.


Pour cette fin d'année, il y a aussi eu beaucoup d'autres bonnes choses à apprécier et aucune raison que l'année qui débute n'apporte pas aussi son lot de bonheur.
Il n'y a pas que les fessées dans la vie!


Alors je vous souhaite à toutes et à tous une très Bonne Nouvelle Année 2010
Par JeanBer - Publié dans : On peut rêver
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Mardi 20 janvier 2 20 /01 /Jan 08:43
Je viens de visionner une vidéo de fessées (évidemment) et j'aimerais vous en donner envie.

Cela se passe dans un appartement, une femme en minirobe, des lunettes, un air sévère tient une longue baguette à la main. Elle est derrière une jeune femme penchée en avant avec les coudes sur une chaise. Elle lui baisse la culotte. Les personnages sont en place et prêts pour de la fessée comme on les aime.

La femme sévère, que l'on peut appeler sans autre la Maîtresse, montre la belle baguette à la future punie. Puis le premier coup est appliqué. L'instrument siffle bien en l'air. Après 4 coups, comme la baguette a touché une partie autre que les fesses à punir, la Maîtresse déplace un peu la chaise. Il serait dommage de dépenser de l'énergie autrement que pour appliquer sévèrement la baguette sur le derrière de la jeune femme à corriger.
Comme l'instrument s'est en partie cassé, la Fesseuse raccourcit la baguette pour la suite. Il reste quand même une bonne longueur pour la sévérité prévue. Le coup suivant le montre car la jeune punie se manifeste toujours par un ahh de douleur.

De la très excitante fessée. Un gros plan sur les fesses montre en relief que la punition est sévère. Un gros plan sur la baguette me fait penser à du noisetier ou une tige droite un peu similaire.
La Maîtresse ose fesser, pourtant elle doit savoir qu'avec une telle baguette appliquée sévèrement sur des fesses nues, cela doit faire mal. Elle fait simplement bien son travail de correction. Après une vingtaine d'alunissages à pleine vitesse, la jeune fustigée peut remonter sa culotte et rebaisser sa robe.

Puis elle doit laver la vaisselle sous la surveillance de la Maîtresse. Mais, comme on peut s'en douter, la sévère femme n'est pas satisfaite. Et dans un tiroir il a des spatules en bois.
La jeune femme mérite d'être punie à nouveau. Ce sera sur les genoux de sa "bienfaitrice" et à la main. Le nombre de coups est proportionnel à la vaisselle mal lavée. Puis la spatule avec un trou remplace la main. Et les cuisses sont aussi la cible des attentions de la Maîtresse. Cela semble plus douloureux qu'avec la main sur les fesses. Je vous l'avais dit, la sévère femme sait punir.
Puis debout vers l'évier et ses culottes au niveau des chevilles, la jeune femme reçoit encore de la spatule sans trou. Cette fessée est petite mais sévère. La jeune punie ne peut s'empêcher de verser quelques larmes. C'est ici que se termine cette excitante vidéo de plus de 13 minutes.

 Je me mettrais bien à la place de la jeune punie pour connaître cette sévère Maîtresse. Voir ces fessées donne une furieuse envie d'avoir les fesses (mal)traîtées.
Mais que les lectrices et lecteurs de ce blog me signalent s'ils n'envient pas les personnages de cette histoire.

Encore une petite chose à ne pas oublier, la vidéo en question est visible sur l'excellent blog "Le monde de la fessée" (dans mes liens) en date du 6 août 2008.

N'hésitez pas, comme les autres fois, à laisser votre empreinte sous forme de commentaire ou par le formulaire Contact. Vos liens pointant vers de cuisants clips sont aussi les bienvenus.
Par JeanBer - Publié dans : On peut rêver
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Mercredi 3 septembre 3 03 /09 /Sep 07:26
auparavant


Le chef du personnel a repris la direction car la directrice, n'étant plus crainte, avait démissionné. Elle a aménagé son ancienne ferme pour exercer en tant que Maîtresse Tricia avec des conseils professionnels de Princesse Christine de DsK (s'informer dans ma fiction "Coco t'as bien fait" ou CTBF). Le nouveau directeur continuait comme auparavant à être un client régulier de l’ancienne directrice. Contrairement au secrétaire de direction Georges, le fait de se faire monter comme un cheval l'excitait au plus haut point.
Vous vous souvenez certainement qu'au début de cette fiction je me demandais comment Madame Martinet maintenait si bien ses formes. C'est bien sûr en faisant régulièrement de l'équitation animale et humaine.

La nouvelle Maîtresse Tricia ne faisait pas beaucoup de concurrence à Madame X. Celle-ci lui refilait même des clients-montures car elle ne pouvait s'installer un manège dans son donjon. Mais, entre nous, il parait que cette nouvelle dominatrice, que j'appellerais "maîtresse de théâtre", ne fait pas le poids par rapport à Maîtresse X. Madame Patricia Martinet s'en aperçut et décida de se diversifier en montant un club de fitness.

Ce centre eut vite du succès. Le club n'accepte que des membres. Un membre peut être actif, passif ou même actif et passif. Le personnel du fitness est composé d'anciennes BAFfeuses de la BAF (CTBF) qui ont suivi une petite formation en physio. Ce lieu de santé est ouvert du lundi au jeudi et est réservé aux membres actifs. Le vendredi, j'appellerais plutôt ce lieu un fitspanking car utilisé par les membres passifs. Ces passionnés, des deux sexes et complètement nus, ne viennent pas spécialement pour activer leurs muscles mais pour passivement recevoir des fessées.

D'ailleurs le vendredi les instruments de musculation étaient utilisés autrement. Les vélos, par exemple, n'avaient plus de selle pour permettre des fesses bien accessibles. Le personnel est habillé en Maîtresse et utilise généreusement la cravache, le martinet, la cane, la baguette, la corde à sauter synthétique ou la tapette. Ne croyez toutefois pas que le vendredi c'est pour les mauviettes. Au contraire, les fessées y sont bien réelles et cuisantes. Parfois des concours de fouettage permettent de gagner une visite chez Maîtresse X.

Pour pimenter un peu ce train-train, une salle de cette ancienne ferme a été adaptée pour les anniversaires. Elle est équipée d'un authentique support ayant servi le siècle passé pour immobiliser des punis qui devaient recevoir les verges. Donc les jours d'anniversaires, que Maîtresse Tricia appelle birchday, les membres passifs ou même actifs peuvent fêter leur nouvelle année en recevant un nombre de coups de verge correspondant à leur âge. Happy birchday to you…..!

un autre Martinet trouvé chez Diablotinne

Quelques mots aussi concernant les caméras, si utiles à Patricia Martinet. Elles ne servent plus maintenant que comme antivol pour la nuit et les weekends.

Une autre explication découverte par hasard. Après le départ de madame Martinet, son ordinateur fut utilisé par le nouveau directeur, anciennement chef du personnel, et l'ordi de celui-ci atterrit chez le jeune informaticien. Comme ancien hacker amateur, il tomba dans cet ordi sur des fichiers de sauvegarde du système TrueCrypt utilisé par l'ancienne directrice pour contrôler l'entreprise. En essayant plusieurs mots de passe et avec l'aide de son amie Rosa, il réussi à pénétrer dans le système Martinet. Le sésame était "RadioFM" et Rosa lui parla de cette radio couloir particulière.

Comme il ne croyait pas au hasard il se demanda comment madame Martinet pouvait utiliser ce nom spécifique. Il découvrit dans les notes de la perverse directrice qu'elle captait RadioFM par le relais de son chef du personnel. Celui-ci avait tellement apprécié les fessées, pourtant extrêmement sévères, de Maîtresse X qu'il supplia sa patronne de le condamner régulièrement à visiter cette punisseuse. En échange il joua le traitre comme relais du réseau RadioFM et accepta, avec enthousiasme, de servir de monture dans le manège de sa bienfaitrice.

Le système Martinet était complètement tombé. Le nouveau directeur, qui ne s'intéressait qu'à être soumis, dirigeait l'entreprise avec douceur et tact. Tout le personnel travaillait à la perfection comme auparavant mais sans crainte ou presque. Les personnes qui ne jouaient vraiment pas le jeu étaient quand même envoyées en visite chez Maîtresse X. Mais discrètement et comme dernière possibilité. On ne change pas complètement un système qui fonctionne.


Comme bloggeur de ce blog, je peux vous confier que dans les faits, pour les questions importantes, le nouveau directeur agissait comme tampon entre Maîtresse Tricia et nous. Cet homme mou est plus à l'aise comme cheval que comme responsable d'une société audio-visuel.
J'ai encore appris que le domestique de Madame Martinet s'appelait aussi Georges et qu'il était aussi dressé pour l'équitation. C'était un peu comme un Georges cloné.

Bref, il ne faut pas toujours s'occuper de la vie privée des gens. Oh juste une toute dernière petite info: Mlle Rosa et le jeune informaticien se marièrent, furent très heureux et n'eurent pas beaucoup de fessées ;-)

A bientôt pour de nouvelles aventures.
JeanBer


PS: Pour les lectrices et les lecteurs ayant tout bien lu, s'il manque une explication ou si vous trouvez une incohérence, n'hésitez pas à m'en faire part. Les remarques sont les bienvenues!
Par JeanBer - Publié dans : On peut rêver
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Jeudi 21 août 4 21 /08 /Août 07:21
auparavant


Un petit conseil, pour les lectrices ou lecteurs qui arrivent directement sur cette page, il vaut mieux commencer par le début de cette fiction. Pour les autres qui ont tout compris vous pouvez continuer ici.

Vous connaissez certainement M. Missmaker. Il s'occupe, comme vous l'avez peut-être deviné, d'organiser des concours de Miss. Contrairement à peut-être d'autre organisateur ou organisatrice, il n'exige pas que les candidates aient un passé sans photos coquines qu'un salopard pouvait diffuser sur Internet. Seul comptait la beauté, l'intelligence, le charisme d'une future miss. C'est d'ailleurs le coté sérieux mais aussi décomplexé de notre entreprise qui lui a donné envie de conclure un contrat avec nous.

La première fois que le contrat devait être signé avec M. Missmaker, Madame Martinet avait demandé à son secrétaire de direction de servir des boissons. Bien que Georges, le secrétaire, était beau gosse, même un peu efféminé, M. Missmaker n'était pas arrivé à être de bonne humeur et n'avait pas finalisé le contrat.

Pour avoir plus de chance la prochaine fois, la directrice avait pensé demander à sa nièce Florence de servir. Mlle Florence, pour ce faire, avait dû s'exercer à porter des chaussures à hauts talons aiguille. Habituellement elle préférait les basquettes mais après une semaine d'entrainement elle arrivait presque convenablement à marcher d'une hauteur de 10cm plus grande.

Le grand jour arriva, M. Missmaker semblait d'excellente humeur. Il accepta de signer le contrat malgré un petit contretemps. Mlle Florence, sans doute un peu nerveuse, s'était encoublée avec ses talons bien trop hauts pour elle et avait renversé du café sur la chemise de l'organisateur de concours de miss. Il n'en avait pas été trop contrarié mais madame Martinet n'avait pas apprécié, mais pas du tout. Sitôt M. Missmaker reparti, elle compléta un formulaire pour Maîtresse X.

Madame Martinet avait pris un grand risque en ordonnant la punition de Florence

Georges trouvait injuste d'envoyer Mlle Florence se faire fesser de manière si affreuse pour un simple déséquilibre. Il en avait marre du système Martinet. Lui-même n'avait jamais dû aller chez Maîtresse X mais recevait aussi sa part. Chaque fois que la directrice en avait envie, elle venait travailler en costume de cavalière et il devait l'accompagner dans les bureaux. Il savait aussi que ce jour là, il devait se rendre au domicile de Madame Martinet une heure après le départ de la directrice.

Ce qui se passerait chez la directrice lui était classique, il devait se déshabiller complètement, s'enfoncer une queue de cheval artificielle dans le cul, mettre aux mains et aux pieds des sabots fabriqués exprès puis appeler sa patronne. Celle-ci lui fixait une selle sur le dos et c'est parti pour des tours dans le manège privé de madame. Georges était assez solide pour porter cette grande femme sur son dos mais il ne voulait plus recevoir la cravache et trouvait cette pratique très humiliante.

des seins en cloche qui avaient donné des idées à Maîtresse X

C'est en voyant Mlle Florence en pleur que Georges a décidé de me parler. J'avais aussi aperçu la nièce de la directrice avec son enveloppe rouge mais contrairement à Georges je ne m'étais pas apitoyé sur Mlle Florence car je la trouvais souvent prétentieuse. Ce n'était pas l'envie qui me manquait de lui strier les fesses avec les verges. Une virée chez Maîtresse X ne pouvait lui faire du mal.

Donc Georges m'envoie un email sécurisé m'invitant à discuter discrètement avec lui. Finalement nous nous retrouvons aussi avec mon pote Jean au bistrot du coin. La solution fut vite trouvée et le lendemain matin Madame Martinet se retrouva bâillonnée et menottée dans son bureau. Pour ajouter de l'effet rien de tel que de lui baisser encore son jeans et sa culotte et de l'obliger, à genoux sur son bureau, à mettre les mains sur la tête.

Je vous l'avais dit au début de cette fiction, Madame Martinet a un superbe derrière. Mais je n'aurais jamais imaginé pouvoir un jour voir ses fesses nues. Je vous explique pas, elles sont à la hauteur de mon imagination, de vraies fesses à fessées. D'ailleurs de punition il en sera question car madame la directrice est obligée, sous peine de plaintes pour mobbing fessié, de compléter un formulaire à son nom et de visiter Maîtresse X.

Madame Patricia Martinet a même profité, pour se soulager la conscience, d'avouer qu'étant secrètement et dans son coin amoureuse de Mlle Rosa, elle ne supportait pas de la voir tourner autour de Jean et de moi. Pour cette raison nous devions être punis. La gâterie faite à Jean avait aussi poussé notre secrétaire chez Maîtresse X.

La suite est normale. Certains employés l'ont vu passer avec une missive rouge foncé. Maîtresse X, malgré les ordres oraux de Madame Patricia Martinet de ne pas la toucher, l'a traitée comme une cliente ordinaire et les magnifiques fesses de notre directrice-mobbeuse avaient maintenant une couleur d'enveloppe.

le martinet va certainement signifier quelque chose à notre directrice

Etant le bloggeur de ce blog, je crois savoir que Maîtresse X aime vraiment dominer, fouetter, punir sévèrement. Et châtier un beau mâle ou une belle plante comme la directrice devait certainement beaucoup lui plaire. J'arrive facilement imaginer comment devaient se tortiller, pendant les fessées, les magnifiques globes de notre supérieure. Vous vous souvenez probablement de sa description physique faite dans le premier épisode de cette série. Maîtresse X n'a pas dû se lasser pour fustiger ces belles choses.

Elle a aussi introduit Pat (comme la Dominatrice appelait notre directrice pendant les punitions) à un jeu plutôt humiliant et pénible nerveusement. Le jeu du "carillon soumis" se pratique entre une Maîtresse de châtiments corporels et une ou un soumis à quatre pattes véritable (sur les mains et les pieds). Maîtresse X, comme toute Domina qui se respecte, possède évidemment des pincettes à seins munis d'une clochette. Les tétons de Pat ont donc été décorés.

Et pour ne pas rendre la tâche trop facile à la personne en correction, Maîtresse X lui met aussi un bandeau pour les yeux et fixe une barre de bois de 75cm de long entre les attaches des chevilles. Un autre avantage de cette barre est que la personne humiliée ne peut cacher ses trésors. Le sexe rasé de Madame Patricia Martinet n'a donc plus eu aucun secret pour sa tourmenteuse.

Mais revenons au carillon soumis. La dominatrice ne se contente pas de contempler le tableau, elle joue aussi un rôle actif ou plutôt c'est sa baguette qui travaille. Une tige synthétique, fine, ultra flexible d'environ 1m de long. Chaque application, même légère, de cet instrument de châtiment laisse une fine marque rouge et provoque une forte douleur aigue. C'est un moyen de correction idéal pour ne pas fatiguer inutilement une Maîtresse.

les tétons avec clochette se trouvent aussi dans la réalité

Le but du jeu est de promener dans le donjon la monture à sonnette de manière silencieusement (sauf évidemment le sifflement de la baguette). Pat, comme d'autres joueurs auparavant, a très vite compris les règles.
Pas de bruit (ni par clochettes ni cris ou pleurs). Un coup de baguette sur la fesse gauche pour aller à gauche (à droite cela serait trop facile) et sur l'autre globe pour diriger à droite. La pointe de la baguette dans le trou du cul pour aller en avant et une tapette sur le sexe pour s'arrêter. C'est des commandes simples qu'il suffit de respecter et tout se passera bien. Avez-vous déjà essayé avec un bandeau sur les yeux et une Maîtresse décidée à vous faire fauter?

Pat, pas mieux que d'autres auparavant, n'a réussi à gagner à ce jeu et elle a dû subir son gage. Immobilisée sur un support idoine, c'est 25 coups de cravache sur chaque fesse qui lui ont rappelé les règles du jeu.

Voilà vous en savez autant que moi.

Tiens, à propos du jeu du carillon, il faudra que j'en parle à une sévère Maîtresse (pas dans une fiction mais dans la vie réelle). Vous serez tenus au courant en temps utile!

A la prochaine!

Par JeanBer - Publié dans : On peut rêver
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Lundi 4 août 1 04 /08 /Août 02:15
auparavant


La dernière fois, dans cette fiction, je vous avais introduit au système "fessé(e)-mâté(e)" de Maîtresse X mais il est temps maintenant de retourner l'enveloppe rouge chez Madame Martinet.

Pas très discrète cette enveloppe A4 colorée qui ne doit pas être pliée. Tout mon service me voit passer. Qu'y-a-t-il dedans? Pourquoi Jean-Bernard la porte-il? J'espère que personne ne connait la réponse. La suite me donnera tort.

C'est presque par hasard que j'ai appris l'existence d'autres personnes qui avaient aussi transporté une enveloppe rouge foncé. Une fois en passant près de mon pote Jean, j'ai surpris une conversation entre Mlle Rosa et lui. Celle-ci, depuis l'épisode où j'avais un peu (beaucoup, passionnément) malmené ses fesses, n'osait plus me parler, comme gênée.

Dans la conversation, Jean disait à Rosa: "T'as vu, Jean-Bernard a aussi dû porter une enveloppe à Maîtresse X" et elle répondit: "Oui, c'est de ma faute". Jean ayant soupçonné que j'avais entendu quelque chose m'envoya un email crypté proposant de se voir au bistrot après le boulot.

Au troquet, mon pote m'avait devancé et était accompagné de Mlle Rosa. Même avec un air gêné et mal à l'aise elle était toujours très belle. Tout de suite elle s'excusa de m'avoir envoyé chez Maîtresse X. Peu à peu je commençais à comprendre le système Martinet.

Rosa et Jean m'expliquent que madame Martinet tenait une vingtaine d'employés sous sa coupe en les ayant envoyé recevoir une fessée insupportable. Comme personne (ou presque) ne voulait retourner chez Maîtresse X, il ne nous restait qu'à obéir aux ordres de notre directrice et ceci sans trop réfléchir. Celle-ci profitait pour compenser son besoin de dominer, de tout contrôler.

un mauvais souvenir me revient à l'esprit: Maîtresse X m'avait montré son assortiment de verges et canes

J'apprends aussi l'existence de radioFM (le nom venait de "fessé-mâté" appris chez Maîtresse X). C'est une sorte de radio couloir utilisée uniquement par les personnes maltraitées par Madame Martinet. Même la directrice ne  pouvait la capter et aucun signe ne montrait le contraire. Mais il y a pire dans le système Martinet.

Un jour un nouvel informaticien, qui avait fait du hacking auparavant, a découvert des adresses IP du domaine privé non documentées. L'administrateur principal ne voulant rien lui dire, il analysa le trafic lié à ces adresses. Ce qu'il découvrit le stupéfia. Il existait dans l'entreprise une vingtaine de webcams télécommandées et reliées au bureau de Mme Martinet. Uniquement elle pouvait visionner des collaborateurs. Les caméras étaient camouflées derrière des vitres peintes comme l'environnement.

Ce jeune informaticien qui n'avait pas été chez Maîtresse X mais se méfiait des caméras, se lia d'amitié avec Rosa qui diffusa l'info des webcams sur radioFM.
Madame Martinet, dans mon cas, avait forcé Mlle Rosa à m'amorcer, ne pas résister et j'étais tombé dans le piège. Pour la directrice, rien de plus facile ensuite de récupérer la baguette vue par la webcam et la placer dans son tiroir. Elle avait certainement aussi vu les seins meurtris et la fessée de ma collègue.
Il faut toujours être très prudent au bureau avec les affaires privées!

Les personnes qui pouvait entendre radioFM voyaient, comme les autres, les pauvres collègues qui transportaient une enveloppe rouge foncé mais connaissaient la signification de ce message. Elles s'arrangeaient ensuite discrètement de leur faire capter RadioFM.

Madame Martinet avait réussi avec son système à contrôler les postes clés de son entreprise. L'administrateur informatique, Georges le secrétaire de direction, Jean, Rosa, moi-même étions ainsi tombé dans sa toile. Jean et Rosa par exemple ont été attrapés à cause d'une malheureuse pipe. Pourtant du moment que Rosa aimait la faire et que Jean ne se dégonflait pas, cela ne regardait pas la directrice. Et ni Rosa, Jean et moi-même ne sommes à des postes clés. Il faudra bien trouver une fois l'occasion de remettre notre directrice en place.


Voilà, je vous en ai raconté beaucoup aujourd'hui.
A bientôt!
Par JeanBer - Publié dans : On peut rêver
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