Mercredi 30 avril 3 30 /04 /Avr 08:13
auparavant


La dernière fois, dans cette fiction, je vous avais donné l’eau à la bouche en vous parlant de Madame Martinet, la directrice.

Dans mon service, il y a aussi, à part quelques collègues classiques, Mlle Rosa notre secrétaire. Il m’est difficile de décrire cette jeune personne, il faut la voir de ses propres yeux. Imaginez une belle femme, la vingtaine, une beauté à couper le souffle, pas farouche, semblant très portée sur les choses.

Un peu petite mais un corps parfait, bien proportionné. Des seins bien ronds légèrement pointant, fermes, bien positionnés. Un bas du dos un peu cambré, un profil excellent légèrement creusé sous le ventre, au début des cuisses. Depuis derrière, ses fesses bien enveloppées d'un jeans serré blanc, noir ou autre, tout lui va à ravir. Des fesses bien rebondies vers l'arrière et le haut. Un espace entre ses cuisses, vers le cul, écartées juste ce qu'il faut pour donner l’envie de la pénétrer en levrette. Un entrejambe très excitant où l’on pourrait facilement y enfiler la main. Un cul de rêve fait pour la baise (l’ai-je déjà dit ?). Si elle fornique aussi bien que son corps est magnifique cela doit être au top.

J’ai oublié de vous parler qu’elle est blonde avec un visage de madone, de sainte nitouche. Très souvent souriante. N’étant pas trop grande, elle équilibre sa taille par des chaussures à talons. Avec un port de reine, cela lui donne une de ces allure qu’il est parfois difficile de se concentrer sur son boulot.

Même la tête penchée sur son ouvrage, on l’entend passer de sa démarche souple. Ces talons fins et hauts ne lui permettent pas d’arriver en silence. Même un sourd ne pourrait échapper à sa présence tant son parfum est adapté à son corps, sa personnalité. Une fragrance légère, qui met immédiatement de bonne humeur. Rien à voir avec un célèbre parfum à numéro et lourd.

Certains jours en pantalons de ville ou en jeans, d’autres en jupe, évidemment mini, montrant ces belles jambes. Un beau brin de fille. Vous la verriez en jupe courte serrée à la taille mettant en valeur les courbes excitantes de son popotin. Vous êtes assuré d’une journée de bonne humeur.

Un de mes collègues, Jean, pas du tout inhibé, s’amuse à lui donner parfois une petite claque sur les fesses. La belle Rosa rouspète. Certainement pour la forme car pourquoi continue-t-elle à passer si près ?  Pourtant la main de mon collègue ne s’agite pas quand madame la directrice passe dans son voisinage. Ce n’est sûrement pas l’envie qui lui manque. Il y a parfois des réflexes qu’il faut savoir maitriser. Il semble même faire partie de ceux qui craignent beaucoup madame Martinet.

comme je n'ai pas osé photographier le beau cul de Mlle Rosa, j'en ai trouvé une assez ressemblante
 
C’est ici que j’interviens plus activement dans cette fiction. Comme la plupart des personnes, dans la réalité de la vraie vie, je ne m’aventure pas dans ce genre de choses. Mais dans une histoire, je peux prendre des libertés correspondant à mon imagination.
L’ambiance provoquée par les vidéos ou images qu’il est autorisé de visionner sur mon PC et la proximité de belles femmes telles que Mlle Rosa ou Madame la directrice n’a pu empêcher ma main de se balader.

Titillé par le parfum de Rosa tandis qu’elle s’entretenait avec un collègue près de moi, je n’ai pu me retenir de lui mettre la main aux fesses quand elle est passée à coté. Comme Jean je ne suis pas de bois. Mlle Rosa ne se vexant ou ne se fâchant que rarement, je n’ai pas été remis à ma place par une gifle mais par un grand sourire presque complice.

Evidemment j’étais pris dans l’engrenage. La belle demoiselle passait aussi plus souvent près de moi comme elle avait pris l’habitude avec mon pote Jean. Venait-elle uniquement pour me provoquer ou attendait-elle à nouveau une petite claque sur les fesses ? Mon esprit de déduction a penché pour la deuxième possibilité. Seule la présence de Mme Martinet ou de personnes étrangères au service m’empêchait de me détourner de mon travail.

Après des mois de ce petit manège, une idée germa dans mon imagination. Dans la vie réelle cette idée serait restée dans mes petits neurones. Mais dans une fiction pourquoi ne la mettrai-je pas en pratique ?

La prochaine fois je vous raconterai où une petite idée de rien du tout m’amena. Cette petite idée qui n’aurait pu provoquer qu’un renflement au sommet de mon pantalon.

A bientôt !

Par JeanBer - Publié dans : On peut rêver
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