Ces dernier temps, j'ai négligé la pratique. Les souvenirs ne suffisent plus; j'ai de plus en plus ce besoin de sentir à nouveau l'effet impressionnant de baguettes et verges sur mes fesses dénudées.
J'entends déjà le bruit des talons de la Maîtresse qui s'approche puis le bruit caractéristique des verges pendant qu'elles fustigent. J'imagine aussi mon derrière obligé de se tortiller sous les coups....


Bref, hier j'ai repéré de bonnes baguettes dans une forêt voisine.
Il y avait du bouleau blanc (birch) pour une véritable verge, avec de fines tiges allant de tous les cotés promettant leur cuisante contribution. Cet instrument est très piquant.

Un arbuste a aussi attiré mon attention. Il doit s'agir de chevrefeuille. En tous cas, les baguettes étaient extrèmement flexibles et se cassaient très difficilement. Les feuilles étaient douces sur le dessus. Parfait pour construire une verge différentes mais de grande sévérité.

J'y ai trouvé des tiges un peu rouges, longues et fines pour taquiner. Elles semblent se casser facilement donc je prévois quelques unes en réserve.

Une baguette de noisetier qui produit une douleur différente mais vive et localisée. Elle sera pour le dressage et devrait compléter l'ensemble d'instruments que je compte apporter à ma Maîtresse.

J'espère que le choix et la qualité de ces moyens de correction lui plaira. Quant à moi, je dois m'attendre à une séance fessée de grande tenue.


Les différents essais sur la flexibilité et la facilité de casser ces fines baguettes ont aussi laissé une odeur de bois vert sur mes doigts. Elle est associé à de cuisants souvenirs.

Vivement la prochaine rencontre avec la Maîtresse!