Mardi 6 novembre 2 06 /11 /Nov 08:26
auparavant


Il y a deux mois, après la première partie de cette aventure arrivée encore le siècle passé, je vous tenais au courant de la séance fessée que j'allais connaître chez Maîtresse Iris. Comme le contact avec la cane était prévu pour le début octobre 2007, je voulais partager cette correction avec vous le plus vite possible. Un article était même pratiquement du direct.


Et maintenant, avec mes fesses à nouveaux blanches et sans stries, je peux à nouveau me pencher sur  la suite de mon aventure fessière de 1999 à Bex.

Donc, dans la partie précédente, je vous avais laissé quand j’attendais ma future tourmenteuse, tout nu dans la salle des corrections à quelques instants des premières fessées.

Après une attente, que je trouve toujours assez longue et stressante, j'entends des pas et une discussion dans la salle d'entrée. La Domina doit avoir terminé la lecture de ma lettre et peut-être même en parler avec sa collègue. Je me demande ce qu'elles peuvent penser à ce moment. Des pas se rapprochent de la porte de mon local. Mon cœur bat un peu plus vite.

qu'ont-elles pensé de moi les 2 Maîtresses?

La porte s'ouvre, la Maîtresse apparaît avec les verges à la main. C'est impressionnant ! C'est toujours impressionnant ce moment où je suis nu et la Fesseuse, armée de baguettes et habillée en Dominatrice souvent sexy, va s'occuper sérieusement de moi.
Celles et ceux qui connaissent peuvent confirmer.


Elle s'adresse à moi et veut me suspendre, je lui rappelle que je ne le voulais pas comme écrit dans la lettre. Elle me montre alors la cage et m'ordonne d'y entrer. Elle me lie les mains avec des menottes qu'elle accroche à un gros élastique que j’ai apporté et qui sert normalement à fixer des bagages. L'autre crochet de l’élastique est fixé au sommet de la cage.

Aussitôt, elle veut me fouetter le dos avec la verge, ce que je ne veux pas. Elle vérifie dans la lettre que je l'avais bien écrit. Elle m'installe une pincette à chaque tétons et me donne quelques coups de verges sur les fesses et ferme la porte de la cage.

Elle se met alors à me gronder en fonction des fautes que j'ai avouées dans la lettre. Elle m'explique qu'elle devra sévèrement me punir pour ces manquements. Je sens un peu les pincettes, elles ne serrent encore pas trop fort mais font un peu mal.

Après un moment, elle veut me libérer et cherche la clé des menottes. Elle ne la trouve plus, je commence à ne pas être trop à l'aise. Je ne voudrais pas que d'autres personnes étrangères au salon de punitions doivent me libérer. Je pense déjà à un serrurier ou autre professionnel.
L'a-t-elle fait pour me faire peur ou était-ce réel? Après un moment elle retrouve le sésame dans ses affaires et me permet de sortir de ma prison. Ouf!


La Maîtresse joue un peu avec mes pincettes, cela devient vite désagréable. Puis elle me met un bandeau sur les yeux et je dois lui décrire son habillement. Pour chaque faute, je suis punis: quelques coups sur les fesses, gifle, grondement.

J'arrive alors pour décrire ses chaussures et je lui dis des pantoufles à hauts talons. Ce qu'elle ne trouve pas juste et me le fait remarquer. J'essaye de trouver d'autres mots. Encore faux.
Elle m'enlève alors les pincettes brusquement et me pince les tétons avec ses doigts. Ce qu'elle fait mal.
Je n'arrive toujours pas à trouver le nom exact de ses chaussures. Après un moment de torture, elle m'enlève le bandeau et me dit qu'elle porte des mules. OK c'était le mot juste (ne comptez pas sur moi pour être précis dans ce vocabulaire).

ses chaussures s'appelaient simplement "des mules"

Je dois ensuite me mettre à quatre pattes, les fesses bien poussées vers l'arrière. Ma fente est ainsi bien dégagée. Je commence à comprendre le pourquoi du comment quand elle me frotte la raie avec les orties. Elle pense me faire mal, mais cette partie, normalement sensible, est déjà habituée aux orties et celle-ci commencent à ne plus être fraiches.
 
Elle continue alors par différentes fessées avec les baguettes apportées. Elle utilise aussi un peu le gros élastique comme fouet. Ce n'est pas trop douloureux mais je désirais quand même que cela finisse. Les tétons me faisaient mal et elle le savait car elle s'en occupait régulièrement.

Elle me fait mettre un préservatif et me laisse me branler tout en continuant à me fesser pas trop fort. Quand j'ai joui, je lui demande d'arrêter de fesser car cela n'est plus du tout excitant. Elle ne me fouette plus et me propose d’aller me doucher après avoir ramassé toutes les brindilles et petites baguettes cassées et tombées par terre (une bonne fessée avec des verges se voit aussi sur le sol).


La séance est déjà finie. Je ressors de l’appartement et à ce moment repense aux deux femmes qui m’avaient vu aller me faire fouetter. Elles ne sont plus là. Ont-elles entendu ma punition? M’observent-elles par le judas? Il est vrai que je ne m’attarde pas et avance rapidement vers ma voiture. Je jette un coup d’œil derrière moi, personne ne semble s’occuper de moi. Je rentre dans le véhicule et démarre.

Cette Maîtresse était vraiment très chouette et je n'ai plus qu'une envie c'est d'y retourner avec de nouvelles verges. J'avais aussi oublié de reprendre l'élastique avec lequel elle m'avait lié dans la cage. Elle n'a pas été trop sévère cette fois, on ne se connaît pas encore assez bien à ce qu’elle m’a dit. Pour la prochaine fois, je lui demanderai bien plus de sévérité.


A y repenser maintenant, en écrivant l’article, j’aurais dû demander aux deux voisines si je pouvais les déranger. Si c’était bien là que travaillait une fouetteuse (je ne pense pas que c’était un secret) et leur dire que j’avais un peu peur car j’étais attendu pour recevoir de vraies fessées. J’aurais même pu questionner si la Maîtresse est sévère et si l'on entend les punitions de l’extérieur. C’est toujours des choses que l’on pense trop tard et que l’on regrette par la suite.

Il est vrai que juste avant de sonner chez une Maîtresse je suis tendu, je n’ai pas envie de trop plaisanter. Lors d’une prochaine visite punitive je veux y penser. Si personne n’est dans le couloir, je pourrais même sonner à une fausse adresse et si une personne adulte répond, demander où travaille la Maîtresse. Je l’ai noté dans un petit coin de mon PC et vous tiendrai au courant si j’ai pu le faire.

En tous cas, à la place des deux voisines, je profiterais de la proximité d’une fouetteuse pour écouter les corrections et observer les visiteurs. Mais je ne ferais pas moi-même appel aux se(r)vices de ma sévère voisine. Un peu de discrétion ne fait pas de mal !


Comme il y a eu une deuxième visite chez cette Domina je vous en ferai part dans la troisième partie.
A bientôt

Par JeanBer - Publié dans : Les fessées
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Retour à l'accueil

Calendrier

Mai 2024
L M M J V S D
    1 2 3 4 5
6 7 8 9 10 11 12
13 14 15 16 17 18 19
20 21 22 23 24 25 26
27 28 29 30 31    
<< < > >>

Recherche

Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés