Mercredi 25 juin 3 25 /06 /Juin 05:05
auparavant


Ouf! J'ai retrouvé un peu d'entrain pour continuer cette série. Vous vous souvenez certainement que j'avais dû vous laisser suite aux instructions supplémentaires concernant une très sévère punition que je devais recevoir dans cette fiction le lendemain. Je n'arrivais vraiment plus à me concentrer tant la trouille, l'appréhension du lendemain m'accaparaient.
   
La correction fessière promise par Mme Martinet s'est bien déroulée, comme habituellement, selon Maîtresse X et très mal passée à mon avis. Je dois d'ailleurs rester debout pour écrire, tant mes fesses sont encore affreusement douloureuses. Je ne savais pas que les fessées que je voyais avec plaisir en vidéo pouvait être si insupportables. La forte douleur de mes tétons commence à s'apaiser mais ils me démangent encore beaucoup. Ce n'est pas possible d'expliquer l'inexplicable mais comme visiteurs de ce blog, vous attendez des explications.

Maîtresse X y est membre

Donc j'ai facilement trouvé l'adresse indiquée (je l'avais auparavant repérée avec Google maps). C'est, arrivé au 4ème étage devant la porte où était simplement écrit "Bienvenue", que j'ai pensé tout abandonner. Je me sentais vraiment bizarre avec une enveloppe rouge à quelques courts instants d'une séance qui était sûrement douloureuse. Une fessée, certainement aux instruments, devait être très pénible à recevoir.

Je me remémorais les réactions, vues dans les vidéos, d'hommes semblant habitués et qui se tortillaient de douleur et ne pouvaient s'empêcher de se plaindre. Les corrections les plus sévères se passaient avec le puni attaché à un support. La Maîtresse leur appliquait alors avec grande sévérité et sur les fesses nues déjà fortement marquées et colorées, des coups de cane, de fouet, cravache, claquoir. C'était deux mondes séparés par un moyen de correction corporelle. Une Maîtresse décontractée, même souriante, moqueuse d'un côté et de l'autre un soumis qui souffrait le martyr. Comment peut-on en arriver là par plaisir?

une des amies de Maîtresse X

Et moi qui était là sans plaisir et pour faute professionnelle (de manière virtuelle bien sûr comme dans une fiction, mais quand même à quelques instants de la correction). C'est enfin, la gorge sèche, tout tremblant et après plusieurs minutes que j'ai osé appuyer sur le bouton de la sonnette. J'ai entendu une faible sonnerie mais aucun bruit de pas. Si Maîtresse X pouvait-être absente? Après un instant qui me parut être très long et comme je n'osais pas me représenter chez Mme Martinet sans la carte mémoire SD attestant de ma correction, j'ai re-appuyé sur le bouton. Comme je n'entendais toujours aucun bruit sauf la sonnette chétive, je me suis retourné et ai appelé l'ascenseur comme un peu soulagé.

C'est à ce moment que la porte s'ouvrit brusquement et qu'une voix autoritaire me rappela. "Viens immédiatement ici Jean-Bernard". Sans réfléchir ou chercher à résister je suis retourné vers la porte marquée "Bienvenue". Maîtresse X m'a alors attrapé par les cheveux et tiré à l'intérieur tout en refermant la porte. "Tu pensais échapper aux fessées que je te réserve". Une paire de gifles sonnantes plus tard, "Tu te fous de moi? Tu as bien 5 minutes de retard, tu te permets de sonner 2 fois puis tu appelles l'ascenseur. Regarde-moi bien, tu te crois où?" Je bégaie des réponses et des excuses. Ca commence bien, la première sonnerie était, et j'en suis sûr, seulement à 3 minutes de retard sur ma montre.

une décoration du hall d'entrée chez Maîtresse X

Je suis tremblant et commence à paniquer. Maîtresse X ne semble vraiment pas commode. "Tu te doutes bien que je t'observe depuis 16h et me demande si tu as le culot d'échapper à ta correction. Tu vas comprendre comment on respecte une Maîtresse comme moi." Elle m'arrache presque l'enveloppe, l'ouvre et lit les recommandations de Mme Martinet. J'ai un instant de calme où j'aperçois que Maîtresse X est habillée sexy mais tient à la main une méchante cane en rotin comme j'en ai vu souvent dans les films d'éducation anglaise.

J'essaye de rassembler mes souvenirs pour vous décrire ma future tourmenteuse. Un visage très sévère, ne laissant apparaître aucune possibilité d'échapper à une séance corsée. Un ensemble minirobe cuir très courte, bustier bien rempli et longs gants en simili cuir noir brillant comme je les trouvais hyper excitants dans mes visionnements. Des collants bruns foncé et des bottines noires et brillantes à talons hauts. Une sacrée allure!

Tout à coup elle dit sèchement de me déshabiller. Je commence vraiment à avoir peur mais n'ose désobéir. Tout nu, elle ordonne de me mettre à quatre pattes devant elle, pas sur les genoux mais sur les pieds et les mains. Je ne vois que ces bottines dont les pointes me retiennent un peu les mains. Pourvu qu'elle ne se mette pas sur la pointe des pieds. Je vois aussi le bout de la cane menaçante qu'elle tapote légèrement contre sa jambe.

De sa voix autoritaire elle reprend: "Les recommandations de ta patronne sont claires: très graves fautes donc sévérité maximum. Tu vas comprendre ce que peuvent ressentir des fesses nues quand on les frappe fortement avec une baguette. Tu ne t'étais sûrement pas rendu compte ce que ça fait mal quand tu t'acharnais sur Mlle Rosa? Et ce n'est pas tout, tu verras, j'ai aussi des fouets, canes anglaises, cravaches, verges etc.. Tu vas voir ce que sont des fessées insupportables que tu devras supporter. Va immédiatement dans la baignoire et douche-toi, proprement mais rapidement. Exécution!"

Comme j'ai eu un instant pour réagir, elle se pencha, m'empoigna les tétons, me tira debout et m'emmena vers la salle de bain. Je ne sais pas chez vous mais chez moi, dans la vie réelle et dans la fiction, je n'aime pas que l'on me pince les tétons. Ce que ça fait mal! Et Maîtresse X n'y allait pas de main morte. Elle connaissait ce point faible de certainement la plupart des soumis. Je comprenais vraiment le cri de douleur de Rosa quand je m'étais occupé du bout de ses seins.

Tout tremblant, je me douche. L'eau est agréable mais la propriétaire de ces lieux ne le semble pas du tout et tout à fait capable de me faire passer un très mauvais moment. Comment vais-je supporter tout ce qu'elle voudra me faire subir? Je suis si nerveux que je gicle un peu en dehors de la baignoire. Je n'ai pas fini de m'essuyer que Maîtresse X est de retour pour me stresser quand elle aperçoit la tache d'eau par terre. Elle n'hésite pas longtemps: "Mets-toi debout les mains sur la tête et attends-moi, je vais t'apprendre à mouiller la salle de bain de ta Maîtresse".

une autre sévère amie de Maîtresse X

Elle revient rapidement avec ce qui me semble être une baguette synthétique très flexible, pas trop longue. Etant droitière elle me pousse un peu à droite et ordonne de me mettre sur la pointe des pieds, les mains sur la tête, de bien présenter mes fesses en arrière et surtout ne pas bouger. Le premier coup arrive rapidement, c'est affreux ce que c'est douloureux. Je m'enfonce dans la baignoire en me tenant les fesses des 2 mains.

Vous ne pouvez pas savoir, mes lecteurs et surtout mes lectrices, ce qu'une petite baguette synthétique de rien du tout, comme celle que tient ma Maîtresse, peut faire mal! "Jean-Bernard, t'ai-je autorisé à quitter ta position ?". "Cela fait trop mal Maîtresse X, c'est insupportable, pitié, je ne veux pas continuer". "T'ai-je demandé si ça fait mal, cela je le sais, je veux que tu te remettes en position. Compris!". "Oui, oui Madame". "Appelle-moi toujours Maîtresse X!  Compris? Debout en place!"

l'affreuse et hyper douloureuse cane synthétique

Je n'avais reçu qu'un coup et je n'en peux déjà plus. Que faire?
Une chose que je suis en tous cas autorisé à faire c'est de vous laisser patienter jusqu'à la prochaine fois.

A bientôt pour la suite de cette fiction-fessée!

Par JeanBer - Publié dans : On peut rêver
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