Vendredi 10 août 5 10 /08 /Août 16:43
Bonjour Maîtresse, j'ai été convoqué pour être interrogé sur la fiction Coco t'as bien fait. Eh bien me voilà!

Princesse Christine : "Pour commencer jeanber, tu vas m'appeler Princesse Christine. Tu te mets aussi à genoux devant-moi avec les mains derrière la tête. Compris?"

JeanBer : "Oui Cri-cri" (grand sourire)
Slap, slap, slap, slap (2 paires de gifles bien envoyées)
Elle a un de ces parfum super agréable, je ne connais pas la marque mais c’est du genre à ne plus vous lâcher et vous mettre de super bonne humeur.

PC : "Ce n'est qu'un début, je sais mâter les garçons difficiles. Compris?"

JB : "Oui, oui, Princesse Christine"

PC : "Voilà qui est mieux. Ne bouge pas, je dois sortir deux minutes"

JB : "Oui Princesse Christine"
Toc toc toc toc … (le bruit excitant des talons de cette très belle Maîtresse qui s’éloigne de moi). Elle est habillée très sexy, des bottes à bouts pointus et hauts talons fins, des pantalons noirs arrivant aux genoux, un haut assez décolleté, le tout en cuir brillant. Un vrai délice pour les yeux.

une des cannes de correction que Princesse Christine ramène

Toc toc toc toc. La voilà qui revient avec des instruments de punition, en plus de sa cravache de dressage qu'elle avait déjà auparavant, elle ramène une verge de rotin, 2 cannes assez fines et un martinet en cuir de section ronde (c'est une connaisseuse, elle sait que ces fines lanières sont moins freinées par l’air et sont donc plus douloureuses en frappant les fesses).
Avec ce qu’elle a ramené, j’ai intérêt à bien respecter ses instructions.

le martinet d'une connaisseuse

PC : "jeanber, merci de m'accorder cette interview pour mon magazine
<<L'Echo des Fessées>>. Tu viens de terminer cette fiction centrée sur le magnifique travail effectué par la BAF, comment te sens-tu ?"

JB : "Ayant publié le dernier article de cette fiction, je me sens un peu nu"

PC : "Tu vas très vite être véritablement nu si tu ne te tiens pas bien droit devant moi"

JB : "Oui Maîtresse"

PC : "Je t'avais dit de m'appeler Princesse Christine. Tiens pour t'apprendre"
Crack, crack, crack, … (elle m'applique 5 – 6 coups de cravache sur mes fesses heureusement couvertes par les pantalons).

JB : "Aie, aie ce que vous frappez fort Princesse Christine"

PC : "C'est normal, je ne suis pas une Maîtresse de théâtre. Reprenons ton interview. Tu t'es bien amusé en écrivant cette histoire. J'ai même l'impression que parfois tu règles des comptes avec certaines personnes en leur imposant des fessées, des corrections, des châtiments"

JB : "Oui, tu, oups, vous avez un peu raison"

PC : "Comme tu as de la peine à te comporter avec moi comme avec une personne supérieure, tu vas te déshabiller complètement"

JB : "Oui cricri, oui Princesse Christine"
Je me dénude complètement comme ordonné par cette Maîtresse. Elle empoigne alors la verge de rotin et me donne une dizaine de coups vraiment très fort, birch, birch, birch, … sur mes fesses sans protection. Elle est vraiment sans pitié.

JB : "Aie, aie, aaaah ! Vous me faites trop mal Princesse Christine"

PC : "C'est bien ce que je désire. Revenons sur ton histoire, tu me disais qu'il était vrai que tu faisais fouetter des personnes précises"

JB : "Oui Princesse Christine, la plupart des personnages de ma fiction ont une existence dans la réalité. Certaines personnes ont le même prénom, d'autres pas, pour certaines autres c'est surtout la fonction, qui m'intéressait. Avec vous par exemple, vous avez une réalité chez OWK"

PC : "Oui beaucoup de personnes me confondent avec la Maîtresse d'OWK. Revenons à la fiction. Tu as plutôt tendance à punir des femmes. Pourquoi?"

JB : "C'est tout simple. Etant un homme sans aucune attirance pour le même sexe, il m'est plus facile d'imaginer des fessées pour des femmes, de les mettre à nu. Mais les hommes dans ma fiction sont aussi punis comme ils le méritent"

PC : "Tu es parfois très sévère avec tes personnages"

JB : "Faut pas exagérer. Je me moque parfois aussi de l'application trop stricte des règlements. Ceux-ci sont évidemment prévus pour être respectés mais sans empêcher de les adapter quand la situation le demande. Il est vrai aussi que la sévérité des punitions est grande. C'est ce que je demande pour moi à une Maîtresse mais à l'intérieur de limites (voir ici). Une correction, quand on a fauté, doit être sévère, douloureuse. Autrement ce n'est pas sérieux. Je conçois la fessée plutôt comme de type punitive. Ce doit être une punition et pas un amusement. Bien sûr dans la réalité, c'est entre adultes qui sont d'accord de jouer à la fessée punitive. Vous me comprenez ?"

PC : "Alors c'est violent"

JB : "Non Princesse Christine, je ne l'assimile pas à de la violence. Les corrections ne doivent pas blesser, à part peut-être sa fierté. Ce n'est pas de la méchanceté mais uniquement un moyen d'améliorer une personne, une situation. Dans la réalité je conçois, pour moi-même, des fessées moins intenses, moins concentrées. C'est un avantage de la fiction, de pouvoir fesser souvent, sévèrement, avec des instruments différents sans s'inquiéter de l'état des fesses. Pour la plupart de mes personnages non habitués aux fessées, la sévérité des punitions n'est pas réaliste. De plus, dans la réalité, une organisation telle que la BAF qui 'soustrait' brièvement des personnes pour les fesser car elles trichent, aurait vite des ennuis"

PC : "Il  est vrai qu'à te voir tu n'as pas l'air méchant"

JB : "Exactement Maîtresse Christine, je .. "
Switch, switch, switch  (elle m’applique sévèrement trois coups de canne)

JB : "Vous me faîtes mal"

PC : "Je t'avais ordonné de m'appeler Princesse Christine, compris?"

JB : "Excusez-moi Princesse Christine. Je m’oublie en expliquant la fiction mais vous avez raison"

PC : "Bien sûr que j'ai raison. En tant que Femme, Maîtresse, Princesse, je suis supérieure au sexe dit fort et en particulier à toi. J'en ai maté de plus coriace, crois-moi jeanber "
Clac, clac, clac, clac, clac, clac, clac, clac, clac, clac, clac, clac, clac, clac, clac, clac, clac, clac, clac, clac, clac, clac, clac, clac, clac… (une série de claques puis elle se frotte la main)

JB : "aiiiiiie ! Vous me faites très mal Princesse Christine!"

PC : "Tu exagères jeanber, c’était certainement plus douloureux pour moi ces claques à la main. La prochaine fois que tu mérites, le martinet fera mieux l’affaire. Et te faire mal, c'est ce que je veux si tu ne me respectes pas à ma juste valeur. Il faudra te le mettre dans ta petite tête d’être inférieur"
Encore une qui pète plus haut que son cul. Qu’elle est prétentieuse cette Maîtresse !

JB : "Oui Princesse Christine"

PC : "Penche-toi en avant et baise mes bottes, esclave. Et ne te relève pas avant que je te l’autorise. Compris ?"

JB : "Bien Maîtresse Christine"
Je me mets en avant, mes fesses se tendent et s’ouvrent un peu. C’est excitant de lui montrer ainsi mon cul. Pendant que je lui baise ses chaussures sexy, je sens aussi la bonne odeur du cuir.
Hmm ! C’est bon. Je m’applique à lui montrer sa supériorité quand…

un bon moment quand ...

PC : "Baise mes chaussures mieux que ça ! Exécution !"
Birch, birch, birch, birch, birch, birch, birch, birch, birch, … …

JB : "Ah, ah, aaah !  Vous me faîtes mal Princesse Christine"  (la sal… en profite que j’ai les fesses bien positionnées pour me fouetter avec la verge en rotin et je n’ose pas me relever et y échapper. Les extrémités des fines tiges m’atteignent de plein fouet sur les cuisses. Et cela est très douloureux)
Après une douzaine de fois, les méchantes baguettes souples et flexibles me laissent tranquille.

PC : "Tu peux te relever, boy. Ne touche pas tes parties fustigées et remets tes mains sur la nuque. Compris mec ?" (elle n’a pas besoin de m’engueuler ni de crier comme ça, je ne suis pas sourd)

JB : "Oui Princesse Christine. Merci de m’améliorer Princesse Christine"
Voilà je suis de nouveau bien droit, les mains derrière la tête et à genoux devant la sévère Maîtresse.

elle doit le savoir pour me fustiger si sévèrement

Je dois encore lever un genou après l’autre pour qu’elle puisse enfiler la verge en dessous. La position devient d’un coup beaucoup moins confortable. Tout le poids du corps repose sur les tiges en rotin sous les genoux. Les orteils de mes pieds ne servent qu’à maintenir l’équilibre.
Il faut bien avouer que dans cette position, les verges sont quand même moins douloureuses que sur mes cuisses.
J’espère tenir assez longtemps dans cette position pour satisfaire la très sévère Maîtresse. Elle n’a pas l’air commode cette prétentieuse.

PC : "Grâce à ce petit inconvénient, tu devrais te souvenir plus facilement du respect que tu me dois. Tu ne représentes pas grand-chose pour moi à part des parties à fesser. Alors concentre-toi et ne me déçois pas. Compris esclave ?"  (elle me l’a de nouveau dit sur un ton irrité).

JB : "Oui, oui Princesse Christine. J’ai compris"  (je dois vraiment faire gaffe et me concentrer car cette interview commence à être très pénible physiquement)

PC : "Bien, revenons à ce que tu m'expliquais"

JB : "Je vous disais que je ne suis pas méchant. Je pense même être trop gentil. Mais parfois il est nécessaire de pousser une grande bouellée (gueuler bien fort) quand d'autres poussent le bouchon un peu trop loin"

PC : "C'est comme moi avec les baguettes, si tu exagères ou me manques de respect, je dois sévir"

JB : "Oui Princesse Christine vous me l’avez montré et je vous remercie encore de me corriger si je le mérite"

PC : "Quand je fustige un être inférieur comme toi c’est toujours mérité et tu ne te rends pas compte du travail et de l’énergie qu’il me faut pour remettre les hommes dans le droit chemin"

JB : "Je vous comprends Princesse Christine"  (son doctorat en fesséologie lui est monté à la tête, ça lui passera certainement)

PC : "Merci à toi de me comprendre et de m’accorder cette interview"

JB : "Je vous en prie Princesse Christine, le plaisir est pour moi"  (je n’ose pas dire à cette angoisse que les tiges sous mes genoux sont toujours plus désagréables, que j’ai envie de frotter mes fesses et cuisses car elles se souviennent des instruments de la Maîtresse. Mais mes petits soucis d’interviewé ne doivent pas compter à cette très importante personne)


Voilà, je continuerai à vous raconter cette interview fiction une autre fois

A bientôt
Par JeanBer - Publié dans : On peut rêver
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