Les fessées

Vendredi 16 novembre 5 16 /11 /Nov 08:35
auparavant


La première fois la Maîtresse de Bex m'avait plu, quoique pas assez sévère, et la deuxième fois s'est passée à la fin novembre 1999.

Comme souvent, j'avais apporté des baguettes et verges ainsi qu'une lettre comportant mes fautes et bêtises ainsi que le règlement et les limites. Les orties ne s'étaient pas invitées à la séance. J'avais confirmé le rendez-vous par téléphone et demandé, pour la première fois, de m’accueillir en me giflant et me grondant immédiatement.

comment de douces tiges deviennent de ...

Il faut vous dire que juste avant d'appuyer sur le bouton de la sonnette, je n'étais pas trop fier. J'allais être giflé et brusqué directement et ensuite envoyé me déshabiller pour déguster de très sévères fessées (comme demandé au téléphone et dans ma lettre). La porte s'ouvre et je suis reçu comme mérité. Ma tête sonne, ce n'était pas une gifle de théâtre. Je lui donne mon enveloppe, mon sac de baguettes et suis envoyé me déshabiller et l'attendre dans la salle de correction.

Je revois le gros élastique accroché dans la cage, il n'y a pas eu de changement dans ce donjon. Je me déshabille et commence à m'impatienter. L'attente est pénible et je devrais être fessé plus sévèrement que la première fois. J'espère quand même qu'elle ne fera pas trop mal. Ecrire "très sévère" dans une lettre est excitant. Au moment de la rédaction tout est possible: dépasser mes limites, ne pas tenir compte de moi, me corriger pour de vrai, de manière réaliste, ne pas accepter mes plaintes, me punir si je bouge ou essaie d'éviter les coups de baguettes.
Mais sur place, à quelques minutes ou même quelques secondes de la première application des verges sur les fesses nues, c'est vraiment autre chose. Cela fout la trouille, fait peur. Et cela n'est souvent rien en comparaison du moment après ce premier coup quand la Maîtresse a montré qu'elle fouette vraiment fort. Et je le sais, de ma première séance chez elle, qu'elle peut être sévère.

La Maîtresse arrive enfin. Elle est accompagnée par une collègue. Que me réservent-elles?

Elle commence à me brusquer, me gronder, me gifle encore une fois. La lecture de ma lettre lui a donné de bonnes raisons pour me punir. Sa collègue lit les fautes et dit à la Maîtresse combien de coups de baguette elle doit m'appliquer. La Domina fesse fort, heureusement que la collègue n'est pas trop sévère dans le nombre de coups que je mérite. Après avoir passé en revue les différentes bêtises, mes fesses chauffent déjà pas mal. Une baguette bien appliquée fait toujours mal. La collègue sort de la pièce et je reste seul avec ma sévère fouetteuse.

Elle commence à se moquer de moi: pourquoi j'aime être fessé, que je suis maso, qu'elle n'aimerait pas recevoir les verges, que c'est pas normal d'avoir plaisir d'avoir mal aux fesses etc.. Elle me dit aussi qu’elle se souvient de moi la première fois car elle s’était piquée à la main avec les orties quand elle me les frottait dans la fente entre mes fesses. Puis elle m'ordonne de me pencher sur la longue table.


Je la vois prendre un claquoir et revenir vers moi. Elle commence à frapper mes fesses fortement et rapidement. Cela fait très mal, je me plains et bouge mes fesses, essaye d'éviter les coups. Elle me gronde et m'ordonne de ne pas du tout bouger mon derrière. La raquette recommence à fouetter. Cela est très douloureux, j'ai vraiment de la peine à ne pas bouger. C'est très pénible et elle ne semble pas vouloir s'arrêter. Elle continue et encore, et encore.


Enfin elle ne fesse plus et je peux bouger et toucher mes fesses. Elles sont très douloureuses. Je sens la chaleur de la correction. Elle n'y a pas été de main morte. C'est une vraie Maîtresse qui sait et ose fouetter. Il me fallait cela, je l'avais cherché et mérité. J'aimerais bien que la punition se termine mais elle ne semble pas de cet avis.
A y penser maintenant, elle avait raison de continuer les fessées. Mais sur le moment j’en avais vraiment assez et ne savais pas comment je pourrai supporter encore des fessées si sévères appliquées par cette Maîtresse décidée.

Elle annonce que mon derrière est bien préparé et sensible pour recevoir la fessées aux verges. Je dois me mettre à plat ventre sur la table et elle m'attache les poignets et les chevilles avec des cordes synthétiques. Je ne fais pas le malin. Les attaches sont solides, je n'arriverais pas à me défaire de ces liens. Me voilà entièrement à sa merci. La Domina sort de la pièce et me laisse gamberger et l'attendre. Les verges sont à coté de moi, je les vois menaçantes, méchantes, comme dans une bonne photo. Elles sont réelles.

Mes fesses sont déjà douloureuses, sans protection, immobilisées, à portée de baguettes spécialement choisies pour punir sévèrement. Lorsque je confectionne les verges, je ne suis pas très conscient que c'est pour mon derrière à moi. Je les prépare donc avec soin, en pensant qu'elles doivent faire le plus mal possible. Une verge comme j'aimerais avoir à disposition si je devais corriger pour de vrai, de manière réaliste.

...  féroces verges pour sévères fessées

Tous les éléments sont réunis pour une très grande fessée: une Maîtresse décidée qui devrait être très sévère (comme demandé dans la lettre), des fesses dénudées, dégagées, immobilisées, sensibilisées, bien accessibles et une verge véritable confectionnée pour fustiger correctement et sans merci. Le tout avec mon accord écrit dans la lettre.

Voilà, je n'ai plus qu'à attendre le premier coup et les suivants selon le bon vouloir de la fouetteuse. Ce que je ressens ou peux dire ne comptera pas. J'ai vraiment peur, ne suis pas fier de me retrouver dans cette situation, position. C'est irréaliste. Et pourtant c'est bien réel. Et ça devrait faire très mal. Connaissez-vous la sensation d'une fessée à la verge sur des fesses dénudées, déjà douloureuses et rouges? Eh bien cela va m'arriver dans peu de temps.

J’entends des pas (avec des talons hauts fins on entend mieux), la porte s'ouvre et la Maîtresse entre. Elle me parle de me punir comme je le mérite, que j’ai fait de grandes bêtises et qu'elle va me faire comprendre avec les verges. Elle s'approche de moi. Ce qu'elle est sexy avec des bottes à haut talons et des gants en cuir brun (je préfère en noir mais elle n'en avait pas à disposition). Dès qu'elle empoigne la verge, je ne vois plus le coté sexy mais m'attend à avoir très mal aux fesses.

Le premier coup arrive très vite, bien appliqué. Elle fait mal, elle est toujours sévère. Je me tortille mais ne peux pas beaucoup bouger. La verge recommence son va et vient punitif. C'est très douloureux. Elle ne me laisse pas le temps de récupérer. Vingt, trente coups. Quand va-t-elle s'arrêter? Je n'en veux plus de la fessée mais je ne peux rien y faire. Elle continue à me fouetter. Arrivé à 36 elle s'arrête, sort de la pièce avec la verge à la main et me laisse en paix. Ouf! Ce que ça fait du bien quand cela s'arrête.

Quelques minutes après, la Maîtresse revient avec les verges. Elle s'approche de moi et me redonne encore 6 coups bien appuyés. Aie, Aie, Aie! Elle est dure et sans merci cette Domina. Enfin elle me détache et je peux me rhabiller.

C'était vraiment une très sévère séance et de grande qualité. J'ai déjà l'envie d'y retourner. Mais le besoin de fessée est éteint pour le moment. On verra cela plus tard.


Deux ans plus tard, ne pouvant plus l'atteindre par téléphone, j'y suis repassé. C'était un homme, noir, habillé en femme, qui m'a reçu. Je lui ai demandé si la Maîtresse était là. Il m'a répondu qu'elle ne travaillait plus ici, qu'il ne savait pas où et qu'il pouvait aussi me fesser. Etre fessé par un homme, même habillé en femme, ne m'intéresse pas du tout.

C'est tellement meilleur quand c'est une Maîtresse femme et sexy qui me corrige sévèrement!

A bientôt pour d’autres articles.
Par JeanBer - Publié dans : Les fessées
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Mardi 6 novembre 2 06 /11 /Nov 08:26
auparavant


Il y a deux mois, après la première partie de cette aventure arrivée encore le siècle passé, je vous tenais au courant de la séance fessée que j'allais connaître chez Maîtresse Iris. Comme le contact avec la cane était prévu pour le début octobre 2007, je voulais partager cette correction avec vous le plus vite possible. Un article était même pratiquement du direct.


Et maintenant, avec mes fesses à nouveaux blanches et sans stries, je peux à nouveau me pencher sur  la suite de mon aventure fessière de 1999 à Bex.

Donc, dans la partie précédente, je vous avais laissé quand j’attendais ma future tourmenteuse, tout nu dans la salle des corrections à quelques instants des premières fessées.

Après une attente, que je trouve toujours assez longue et stressante, j'entends des pas et une discussion dans la salle d'entrée. La Domina doit avoir terminé la lecture de ma lettre et peut-être même en parler avec sa collègue. Je me demande ce qu'elles peuvent penser à ce moment. Des pas se rapprochent de la porte de mon local. Mon cœur bat un peu plus vite.

qu'ont-elles pensé de moi les 2 Maîtresses?

La porte s'ouvre, la Maîtresse apparaît avec les verges à la main. C'est impressionnant ! C'est toujours impressionnant ce moment où je suis nu et la Fesseuse, armée de baguettes et habillée en Dominatrice souvent sexy, va s'occuper sérieusement de moi.
Celles et ceux qui connaissent peuvent confirmer.


Elle s'adresse à moi et veut me suspendre, je lui rappelle que je ne le voulais pas comme écrit dans la lettre. Elle me montre alors la cage et m'ordonne d'y entrer. Elle me lie les mains avec des menottes qu'elle accroche à un gros élastique que j’ai apporté et qui sert normalement à fixer des bagages. L'autre crochet de l’élastique est fixé au sommet de la cage.

Aussitôt, elle veut me fouetter le dos avec la verge, ce que je ne veux pas. Elle vérifie dans la lettre que je l'avais bien écrit. Elle m'installe une pincette à chaque tétons et me donne quelques coups de verges sur les fesses et ferme la porte de la cage.

Elle se met alors à me gronder en fonction des fautes que j'ai avouées dans la lettre. Elle m'explique qu'elle devra sévèrement me punir pour ces manquements. Je sens un peu les pincettes, elles ne serrent encore pas trop fort mais font un peu mal.

Après un moment, elle veut me libérer et cherche la clé des menottes. Elle ne la trouve plus, je commence à ne pas être trop à l'aise. Je ne voudrais pas que d'autres personnes étrangères au salon de punitions doivent me libérer. Je pense déjà à un serrurier ou autre professionnel.
L'a-t-elle fait pour me faire peur ou était-ce réel? Après un moment elle retrouve le sésame dans ses affaires et me permet de sortir de ma prison. Ouf!


La Maîtresse joue un peu avec mes pincettes, cela devient vite désagréable. Puis elle me met un bandeau sur les yeux et je dois lui décrire son habillement. Pour chaque faute, je suis punis: quelques coups sur les fesses, gifle, grondement.

J'arrive alors pour décrire ses chaussures et je lui dis des pantoufles à hauts talons. Ce qu'elle ne trouve pas juste et me le fait remarquer. J'essaye de trouver d'autres mots. Encore faux.
Elle m'enlève alors les pincettes brusquement et me pince les tétons avec ses doigts. Ce qu'elle fait mal.
Je n'arrive toujours pas à trouver le nom exact de ses chaussures. Après un moment de torture, elle m'enlève le bandeau et me dit qu'elle porte des mules. OK c'était le mot juste (ne comptez pas sur moi pour être précis dans ce vocabulaire).

ses chaussures s'appelaient simplement "des mules"

Je dois ensuite me mettre à quatre pattes, les fesses bien poussées vers l'arrière. Ma fente est ainsi bien dégagée. Je commence à comprendre le pourquoi du comment quand elle me frotte la raie avec les orties. Elle pense me faire mal, mais cette partie, normalement sensible, est déjà habituée aux orties et celle-ci commencent à ne plus être fraiches.
 
Elle continue alors par différentes fessées avec les baguettes apportées. Elle utilise aussi un peu le gros élastique comme fouet. Ce n'est pas trop douloureux mais je désirais quand même que cela finisse. Les tétons me faisaient mal et elle le savait car elle s'en occupait régulièrement.

Elle me fait mettre un préservatif et me laisse me branler tout en continuant à me fesser pas trop fort. Quand j'ai joui, je lui demande d'arrêter de fesser car cela n'est plus du tout excitant. Elle ne me fouette plus et me propose d’aller me doucher après avoir ramassé toutes les brindilles et petites baguettes cassées et tombées par terre (une bonne fessée avec des verges se voit aussi sur le sol).


La séance est déjà finie. Je ressors de l’appartement et à ce moment repense aux deux femmes qui m’avaient vu aller me faire fouetter. Elles ne sont plus là. Ont-elles entendu ma punition? M’observent-elles par le judas? Il est vrai que je ne m’attarde pas et avance rapidement vers ma voiture. Je jette un coup d’œil derrière moi, personne ne semble s’occuper de moi. Je rentre dans le véhicule et démarre.

Cette Maîtresse était vraiment très chouette et je n'ai plus qu'une envie c'est d'y retourner avec de nouvelles verges. J'avais aussi oublié de reprendre l'élastique avec lequel elle m'avait lié dans la cage. Elle n'a pas été trop sévère cette fois, on ne se connaît pas encore assez bien à ce qu’elle m’a dit. Pour la prochaine fois, je lui demanderai bien plus de sévérité.


A y repenser maintenant, en écrivant l’article, j’aurais dû demander aux deux voisines si je pouvais les déranger. Si c’était bien là que travaillait une fouetteuse (je ne pense pas que c’était un secret) et leur dire que j’avais un peu peur car j’étais attendu pour recevoir de vraies fessées. J’aurais même pu questionner si la Maîtresse est sévère et si l'on entend les punitions de l’extérieur. C’est toujours des choses que l’on pense trop tard et que l’on regrette par la suite.

Il est vrai que juste avant de sonner chez une Maîtresse je suis tendu, je n’ai pas envie de trop plaisanter. Lors d’une prochaine visite punitive je veux y penser. Si personne n’est dans le couloir, je pourrais même sonner à une fausse adresse et si une personne adulte répond, demander où travaille la Maîtresse. Je l’ai noté dans un petit coin de mon PC et vous tiendrai au courant si j’ai pu le faire.

En tous cas, à la place des deux voisines, je profiterais de la proximité d’une fouetteuse pour écouter les corrections et observer les visiteurs. Mais je ne ferais pas moi-même appel aux se(r)vices de ma sévère voisine. Un peu de discrétion ne fait pas de mal !


Comme il y a eu une deuxième visite chez cette Domina je vous en ferai part dans la troisième partie.
A bientôt

Par JeanBer - Publié dans : Les fessées
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Mercredi 31 octobre 3 31 /10 /Oct 04:48
auparavant


La dernière fois, je vous avais laissé après que Maîtresse Iris m'avait attaché sur un support agréable.

une position très confortable mais idéale pour une cannée

La maîtresse me demande si je suis bien ainsi puis à l'aide d'une cane, elle commence à fesser. Ouhh ça fait mal ! Je ne peux m'empêcher de faire ahhh. Elle fouette avec des séries de coups assez rapides. Estimant certainement que je me manifeste un peu trop bruyamment, elle m'installe un bâillon-boule. Puis change de cane et recommence à punir mes fesses. Il me semble qu'elle fesse encore plus sévèrement, ce doit être la cane en rotin très flexible. Aie, aie, aie ce qu'elle fait mal ! Elle vise bien, sait où c'est efficace. Si elle voulait me faire avouer quelque chose elle ne s'y prendrait pas autrement.

le bâillon-boule empêche de donner mon avis

Elle rechange d'instrument et je sens des picotements dans les fesses. Je l'apprendrai vers la fin de la séance, c'était une raquette garnie d'un treillis métallique prévue pour infliger des décharges électriques. C'est une sensation encore juste supportable mais il ne faudrait pas plus fort.

Une petite pause et une cane recommence son travail. La douleur n'a rien à voir avec la baguette essayée ce matin. La cane fait simplement mal à très mal. Maîtresse Iris le sait certainement et me le demande. A cause du bâillon, je ne peux que hocher de la tête et faire un petit râle. Je dois aussi régulièrement remercier. Le passage sur ce support m'a valu, je pense, entre 30 à 40 coups de cane. J'essayais un peu au début de compter mais la sévérité des fessées empêchait de me concentrer sur ce point secondaire.


La séance se passe normalement : la Maîtresse fouette fort avec un instrument douloureux et moi j'ai de la peine à supporter.

la douloureuse cane ne me ménage pas. Maîtresse Iris est à son affaire

Enfin elle me libère de ce bloc de correction mais ce n'est pas fini. La Dominatrice a décidé de me faire coucher sur le dos sur une espèce de lit étroit comportant un carcan (ou une guillotine comme écrit sur son site web). Elle a placé un linge éponge sur ce meuble et je m'allonge dessus. La sensation de confort est moins grande qu'à l'emplacement précédent. C'est un peu comme un lit sans matelas, un grossier grillage métallique s'incruste dans mon dos malgré le linge.

Elle entrouvre la guillotine et je dois y mettre mon cou et les poignets. Elle abaisse ce panneau demi troué et je me retrouve à nouveau complètement à sa merci. C'est assez impressionnant d'avoir la tête et les poignets immobilisés par ce carcan en bois.

La Maîtresse ordonne de lever mes jambes. C'est une position excitante, je trouve, pour recevoir des fessées. C'est d'ailleurs ce qu'elle entreprend avec les différentes canes à sa disposition. Les plus grandes font toujours mal et la plus légère est utilisée pour taquiner, sans trop de douleurs, ma poitrine et mon sexe.

une autre position commode pour fesser sévèrement

Une fois libéré de la guillotine, je suis dirigé vers un support en croix (un montant vertical et un autre plus petit et horizontal vers le sommet). Elle m'attache les poignets aux 2 extrémités du bras horizontal, me fait bien écarté les jambes et fixe un écarteur entre mes chevilles. Elle aperçoit l'élastique fixé aux anneaux de mon sexe, le tire vers le haut et l'attache à mon collier de soumis.

Ce support est aussi un engin impressionnant. Mon derrière et ma tête peuvent un peu se mouvoir. Je suis à nouveau complètement sous la coupe de ma Dominatrice et elle va en profiter. Mes fesses sont à une hauteur commode pour fustiger très sévèrement. La cane ne se prive pas pour effectuer de vigoureux va et vient venant infliger d'importantes douleurs à mon postérieur. Un flash, c'est ma tourmenteuse qui immortalise.

Je ne peux à nouveau m'empêcher de manifester malgré mon bâillon. Je bouge aussi beaucoup mon cul d'avant en arrière (bon pour améliorer la souplesse). Cette partie, située entre les points d'attache des extrémités de mes membres peut se mouvoir le plus et ne s'en prive pas. C'est des réactions automatiques à « l'acharnement » de ma Fouetteuse. Je dois reconnaitre qu'elle exécute très bien sa tâche.

Mais ce qu'elle peut être douloureuse la cane flexible !
Combien de coups ai-je reçu dans cette position ? 30, 40 ? La Maîtresse fesse rapidement et fortement. Je n'arrive pas à tenir mes comptes. Mais ce n'est pas la préoccupation la plus importante. Maîtresse Iris ne m'a pas exigé de les compter.
Vient enfin la libération. Cela soulage d'être à nouveau maître de ses mouvements.


Cette maîtrise est de courte durée car un ordre m'oblige à me mettre à genoux, la tête dans le sac plastique posé sur un siège et comportant les orties de décoration. Je suis content qu'elles sont fanées et ainsi inoffensives. Ce qui n'est pas le cas de ce qui me fustige les fesses.

Evidemment la cane est à nouveau en fonction. Maîtresse Iris, qui a enfilé de longs gants en latex brillant noir, manie le moyen de correction de sa main experte. Ce qu'elle fouette fort. Elle est infatigable. La sévérité des fessées n'a pas faibli. La cane de rotin extrêmement flexible me laboure les chairs très sensibles de ma place à fessée.
Logique! Pour un amateur de ces sensations, le derrière est aussi prévu pour réceptionner les arrivées rapides de la baguette.

D'innombrables coups plus tard, elle relâche un peu la pression en jouant avec son pied (et sa chaussure à talon impressionnant) à l'endroit où mes jambes se rejoignent. En un mot, avec mes boules. C'est excitant, ne fait pas mal, fait oublier que je pourrais encore recevoir de très méchants coups de cane.

à part le maniement de la cane, la Dominatrice sait aussi jouer avec mes boules

Un ouf de soulagement très court car je dois me mettre à genoux mais avec les coudes par terre et la tête au ras du sol. Une position excitante avec les fesses tendues vers le haut.
La Maîtresse ne me laisse pas y penser car elle utilise une de ses chaussures pour me marcher un peu sur la main avec le plat mais aussi avec le talon haut et fin. Pas de quoi fouetter un chat, la Dominatrice n'appuie pas très fort. C'est même intéressant d'être dominé ainsi. J'en oublie qu'elle a toujours la terrible cane à la main magnifiquement sexy en latex noir brillant.

de longs gants noirs très excitants

Les chaussures bougent un peu et viennent me fixer les poignets contre le sol. Le grand espace entre le talon haut et le plat de la chaussure forme une parfaite bride de domination. Encore une forme d'immobilisation dans la panoplie de la parfaite Dominatrice. Et si je lève un peu les yeux je vois les jambes de Maîtresse Iris gainées de bas résille. Si mes mains n'étaient pas clouées au sol j'oserais une petite remontée autour de ses gambettes sexys.

pendant qu'elle me bride les poignets, elle continue à me fustiger avec la cane

Maîtresse Iris a-t-elle senti cette envie d'impertinence? De toute façon elle bascule son poignet et la cane flexible se fait à nouveau remarquer. Cette fois la Fesseuse fouette dans le sens vertical. Les coups étaient très sévères car 2 jours après je voyais encore bien les lignes verticales qui striaient mon postérieur et le haut des cuisses.

Les coups de cane me semblent toujours interminables. La responsable des punitions les répartit bien sur les surfaces disponibles. Quelques dizaines de coups plus tard, la très professionnelle et sévère Maîtresse Iris me demande si ça été et me laisse me relever. Elle m'enlève le bâillon.


Je suis bien content que cette aventure fessière se termine. Les fesses sont douloureuses, marquées, striées. Mais il y a un grand soulagement et une fierté d'avoir traversé cette pénible épreuve.

Je me mets à lui poser des questions. La première c'est la sévérité estimée par elle. Elle me répond que c'était « moyen » et qu'elle applique aussi la cane beaucoup plus fortement. Concernant la durée des marques avec une sévérité « haute », elle me parle de 1 à 2 mois.
Une autre interrogation a été sur ce qu'elle ressent quand elle punit sévèrement un soumis. Elle m'a simplement dit qu'elle ne cherchait pas à faire souffrir mais à faire plaisir.
J'ai aussi parlé d'autres petites choses pas très importantes pour les lectrices et lecteurs de ce blog.

elle était une excellente Dominatrice !


Après une petite douche, je me rhabille, vérifie de n'avoir rien oublié et quitte cette magnifique Maîtresse d'éducation anglaise.  

Je suis vraiment reconnaissant à Maîtresse Iris de m'avoir fait passer un moment aussi intense !

Plusieurs témoignages et histoires de personnes connaissant la cane disaient bien que cet instrument de châtiment était leur préféré. Je peux vraiment comprendre ces amateurs de vraies fessées. Pour la manière dont je conçois les fessées, c'est-à-dire du genre punitif, la cane peut faire très mal, peut être utilisée de manière précise, localisée. Elle permet une large gamme de sévérité. Et au contraire de baguettes fines ou verges elle n'écorche pas la peau des fesses. Le postérieur ne doit pas être abimé pour réussir une fessée.

Mais je ne laisserai pas n'importe qui m'étriller les fesses avec une cane flexible. Il faut une main experte, expérimentée. Et la maitrise de mon Hôtesse temporaire a été parfaite.


Quelques heures plus tard, j'avais de nouveau envie de fixer un RV avec Maîtresse Iris. La gamme de « désagréments » qu'elle m'a fait connaitre, l'absence de temps mort, l'ameublement de son donjon, les canes anglaises dans sa main experte m'ont convaincu. Ne pas oublier aussi qu'elle est sérieuse (au contraire d'autres manieuses de cravache, même une très connue, qui n'avaient pas respecté un rendez-vous), que son donjon est très propre, que l'on se douche avant et après.

J'avais rencontré une professionnelle de grande classe.


Une autre fois, je ...  Mais ce sera une autre histoire.


N'oubliez pas de me transmettre vos commentaires avant de continuer à surfer !

A bientôt !
Par JeanBer - Publié dans : Les fessées
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Mardi 23 octobre 2 23 /10 /Oct 05:16
auparavant


La dernière fois, je vous avais laissé sur votre faim.
C’était un peu avant le début de la très sévère éducation anglaise à la cane que j’ai supporté par ma faute au début octobre.

C’était un moment où je n’étais plus tout à fait moi-même et heureusement que la Maîtresse avait pris le commandement des opérations.
La seule chose que je devais penser (au cas où la Correctrice l’oubliait) c’était de donner une lettre.


Cette fameuse lettre recommandait de la fermeté et de la sévérité car j’avais souvent pensé que les Dominatrices étaient trop sympas et pas assez strictes quand elles me fessaient.

Les fessées ne sont pas pour moi des parties de rigolades mais au contraire des moments très douloureux où la Maîtresse doit utiliser son autorité naturelle, sa force de caractère (aidée fortement par une baguette) pour imposer sa volonté.

Je ne suis pas chez une telle personne pour devoir réfléchir ou influencer la séance. Cette personne doit me pousser à bout contre ma volonté immédiate.
Je suis là pour dénuder au moins mes fesses et le haut des cuisses et les présenter à la disposition de la Dominatrice.

Pour la suite, je ne dois pas réfléchir. La Fesseuse sait qu’elle peut utiliser divers instruments pour les appliquer fortement sur mon postérieur.

Vous me direz que cela fait mal !
Eh bien oui, cela fait mal. Je dirais même plus, avec ces moyens et de la sévérité, cela peut être très douloureux.
Je pense la même chose que vous quand je vois un tel instrument dans les mains d’une Maîtresse déterminée.
Je pense aussi la même chose quand je me promène en forêt et vois une tige bien droite. Une de ces baguettes qui pourrait être appliquée sur mes fesses par une femme sexy et autoritaire. 

Que ça fasse mal, que je ne le supporte pas, où est le problème ? A mon sens ce que j’appelle une Fessée punitive doit être de ce niveau, ne doit pas être agréable à ressentir.
C’est même normal que ce n’est pas un simple massage, le fait d’empoigner fermement par une extrémité une cane ou autre moyen similaire et de diriger à bonne vitesse l’autre extrémité vers la peau de fesses bien dégagées. Ce traitement ne peut que faire mal à très mal. C’est physique.
Et quand cette action est répétée plusieurs fois et toujours aussi fortement, cela devient une véritable et sévère fessée punitive.

La coloration du derrière fustigé montre que la correction progresse normalement. Le cul et les jambes qui se tortillent et les plaintes de la personne punie confirment la qualité du travail effectué par la Fouetteuse.

La fin de ce mal traitement ne dépend que de la personne qui applique la fessée et d’elle seule. C’est elle qui décide de prolonger un peu si la personne fustigée ne s’est pas bien tenue, a trop bougé ou s’est plainte un peu trop.
Mais ce serait du sadisme pur s’il n’y avait pas eu entente préalable.

Si la Maîtresse, qui ne me connait pas encore, commence trop gentiment et si le fait de le lui faire comprendre (en lui sortant une ou plusieurs fois la langue par exemple), augmente bien la sévérité, la séance n’est pas gâchée. C’est même un petit jeu excitant du début.

Mais une « dominatrice » qui ne comprend pas, qui n’arrive pas à fouetter fortement car elle préfère la douceur ou est trop sensible ne devrait pas se lancer dans cette activité mais s’occuper de massages ou faire du théâtre.


la Maîtresse fait connaissance avec mon appareil photo


Pour en revenir à l’endroit où je me trouvais le 8 octobre un peu après 16 :00, du moment que j’avais donné la lettre, je n’avais plus à réfléchir. J’avais pris toutes les précautions possibles pour assurer une séance fessée punitive comme je la conçois. Deux précautions valent mieux qu’une : une Maîtresse connue pour être sévère et qui me l’a confirmé et une lettre demandant de la grande sévérité et l’obligation pour moi de subir jusqu’au bout la correction prévue par cette Dominatrice.
Je ne risquais plus rien sauf repartir avec les fesses très douloureuses.

La séance fut bien au-delà de mes espérances mais aussi au-delà de ce que je pensais possible de pouvoir supporter. L’autorité naturelle de cette Maîtresse est telle que je n’avais aucun autre choix.


Donc Maîtresse Iris me demande de me déshabiller, de laisser mes affaires sur une chaise à l’entrée. Puis elle accepte sans hésiter de faire des photos et je lui montre comment utiliser l’appareil. Je lui montre les orties qui ornent mes cuisses et mon sexe et elle ordonne de les mettre dans un sachet.

Je me retrouve tout nu et mets les feuilles fanées dans un sac plastique. Le seul habit qu’elle m’autorise à garder est le harnais du sexe composé de deux anneaux et d’un grand élastique.

Après m’être douché, j’hésite un moment puis me dirige vers Maîtresse Iris qui m’attend dans le donjon. Je lui dis que je n’ai pas été sage mais que je ne recommencerai plus mon mauvais comportement (tu parles !!).

Elle avait lu ma lettre de sévérité, m’a posé encore quelques questions puis a commencé à me gifler et me pincer les tétons. Ce qu’elle faisait mal ! La correction avait commencé.

Elle m’installe alors un anneau large en cuir à l’extrémité de chaque membre et un collier autour du cou avec une laisse. Ces bandes de cuir comportent des anneaux métalliques prévus pour fixer à un support ou autre moyen d’immobilisation. Tout ce matériel est confortable, ne gêne pas du tout mais permettra de m’attacher durant les punitions.

Ensuite elle ordonne de m’assoir sur une espèce de fauteuil où elle commence à me bonder avec une corde puis baisse le dossier du siège, ce qui tend un peu la corde. Je ne peux pas beaucoup bouger et ne peux rien faire pour éviter ses traitements.


rien à faire pour échapper aux traitements de Maîtresse Iris

Elle me met une pincette à chaque téton et joue avec ces accessoires ce qui se répercute sur le bout des seins et me fait dire ahhh. Avec une légère baguette, elle me tapote les seins et le sexe. Je me plains mais elle me dit que c’est elle qui commande et fait ce qu’elle veut. Comme je parle un peu trop à son goût, elle me remet à l’ordre. Après un moment de cette mise en condition, elle me libère.


L’étape suivant se passera sur un support très agréable, confortable. Je dois me mettre à genoux sur la partie basse, les jambes un peu écartées. Je dois alors me pencher en avant en enfilant le sexe dans une ouverture prévue pour cela. Puis à plat ventre sur la partie supérieure horizontale, je dois mettre les bras en bas le long des pieds de ce meuble construit exprès pour punir (je n’ai aucun doute là-dessus). Elle me passe deux lanières croisées sur le dos et les tend. La taille est aussi entourée d’une bande. Maîtresse Iris fait de même sur les cuisses, sous les genoux et aux mollets. Elle termine l’immobilisation en fixant les 4 anneaux des membres aux montants du support.


La position sur ce meuble est tellement confortable que je n’hésite pas à attendre ainsi avant de poursuivre le récit la prochaine fois. Je vous montrerai ce support et plein d'autres vues de la séance Fessées.

A bientôt!


PS:
Maîtresse Iris, si vous me lisez, n'oubliez pas de corriger, pas les fesses, mais les inexactitudes et les oublis de ce récit. Le vécu et le ressenti depuis chaque côté de la cane n'est évidemment pas le même.
Merci, chère Maîtresse, pour vos commentaires!

Par JeanBer - Publié dans : Les fessées
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Mardi 16 octobre 2 16 /10 /Oct 08:06
auparavant


Dans le dernier article, je vous avais annoncé que je revenais d'une sévère séance fessée à la cane et vous avais promis de raconter cette journée particulière.


Si ça vous intéresse petits curieux, mes tétons ne font plus mal au toucher mais la position assise me rappelle encore parfois qu'il s'agissait de la cane que maniait en experte Maîtresse Iris. Et dans un miroir, mes fesses sont encore marquées de tâches foncées et striées, révélatrices, sans erreur possible, d'une sérieuse fessée.
J'attendrai encore un peu pour me rendre à la piscine.

C'est bien cela actuellement ma plus grande préoccupation. Ne pas révéler visuellement cette punition fessière. Car pour les très fortes douleurs qu'a connues mon postérieur ce ne sont plus qu'un souvenir excitant.

Les traces, visibles pendant plusieurs semaines, laissées par une cuisante fessée, sont vraiment un gros problème pour un amateur de ce genre de sensations fortes comme moi.

Autrement il n'y a pratiquement que des avantages : préparation bandante, calme après la tempête, déstresse, douleur très supportable très peu de temps après, souvenirs excitants, envie de recommencer. Et pour un bloggeur, du vrai vécu à raconter.


Donc le matin du 8 octobre, jour prévu pour enfin dire « Bonjour Maîtresse », je me suis dirigé vers Genève. En chemin j'ai fait une petite halte pour sentir l'effet d'une verge sur mes fesses nues.

tiens une tige bien droite qui ferait une bonne baguette à fessée !

En effet dans un endroit pourvu de verges potentielles et à l'abri des regards, je me suis administré un « self-spanking ».

la baguette dont j'ai enlevé les aspérités est prête pour faire connaissance avec mes fesses


je me suis appliqué à fesser fortement car un bout de la baguette s'est cassé

La douleur sur le moment m'a paru tout à fait supportable puis elle a disparu dans les minutes suivantes. L'effet visuel de l'application sérieuse de cet instrument apparait rapidement.

une simple tige peut déjà laisser de jolies lignes

Vers 10 :45 j'arrive enfin à atteindre ma Maîtresse au téléphone pour qu'elle me confirme le RV de 16 :00. Le vendredi 5 octobre, quand j'avais laissé un message sur son répondeur, j'avais confirmé ma volonté de me faire punir par elle avec la cane et lui avais dit que je rappellerai lundi.

Une étape était franchie, la sévère séance aura lieu dans quelques heures.


Arrivé à Genève, j'ai profité d'un moment pour repérer en réel l'endroit où je serai fustigé en milieu d'après-midi. C'est au bout d'une longue rue très animée en plein dans la ville, pas très loin du Pont du Mont-Blanc et du Jet d'eau. Ce n'était pas un exploit de trouver le lieu précis car j'étais passé quelques jours avant par Google Maps.

Le temps était magnifique et le ciel n'annonçait pas l'ouragan qu'allaient connaitre mes fesses dans quelques heures.

Après avoir déjeuné et le ventre un peu serré, je me suis vraiment concentré pour mon rendez-vous « punition corporelle ».


Vers 14 :30, au Bois de la Bâtie, j'ai trouvé de longues orties.

des extrémités anti-re-cul pour mon orifice anal

J'ai enfilé quelques extrémités de tiges dans mon trou du cul et les autres brins ont été tenus par l'élastique associé aux 2 anneaux rouges installés sur mon sexe.

pas facile de se photographier la queue improvisée

Cette dizaine de tiges feuillues et urticantes piquaient beaucoup, surtout les cuisses jusqu'aux genoux et tout ce qui se trouve à l'intérieur-avant de mon slip.

une verdure envahissante

J'ai aussi fait attention de ne pas piquer les fesses car elles, sont promises aux sévères fessées (la cane sur les petites cloques d'une ortiée risque de blesser).
 
Et impossible de manipuler ce matériel sans ressentir aussi quelques piques sur les mains. Je vous assure que ce n'est vraiment pas agréable. Vous vous rappelez certainement avoir dû vivement retirer votre main après avoir touché, sans faire exprès, quelques feuilles vertes découpées en dents de scie.

J'avais la sensation d'une armée de fourmis envahissant mes pantalons pour attaquer mon joystick, les boules et l'intérieur des cuisses. Des picotements continus qui ont duré bien 36 heures (après ce temps il restait quelques points rouges répartis aux endroits où les orties étaient les plus actives).


C'est avec cette couche culotte particulière que j'ai rejoint ma voiture garée au quai E. Ansermet près de la Jonction. Les forts picotements m'ont accompagné jusqu'au parking du Mont-Blanc.
Cet endroit est très pratique pour la visite prévue et à 15:30 j'y parquais ma voiture. J'ai alors vidé mes poches en ne gardant que le strict nécessaire pour mon expédition punitive, ai pris l'enveloppe contenant mes limites et la sévérité prévue il y a plusieurs semaines et ai quitté le véhicule. Puis avec une bonne dose de courage et un zest d'inconscience je me suis retrouvé à l'air libre, marchant lentement vers l'endroit où attendait Maîtresse Iris.

Je me rapprochais de ma Dominatrice, d'un pas un peu mal assuré et me sentant aussi un peu tremblotant. J'espérais ne pas avoir d'imprévus en chemin ou rencontrer une connaissance. Je me disais aussi que les inconnus que je croisais ne pouvaient se douter que j'allais à un rendez-vous « Fessées ». Peut-être que ces personnes m'auraient dissuadé d'y aller ou plus improbablement encouragé.

Suis passé ensuite à hauteur du Jet d'eau puis un peu plus loin LE bâtiment, repéré le matin même, était toujours là.

J'ai ensuite appréhendé pendant presque 10 minutes au bas de l'immeuble. Il faisait toujours beau, quelques vagues nuages étaient visibles. Puis j'ai pénétré dans la maison et suis monté à pieds les marches qui me séparaient encore du lieu de ma très sévère punition. J'étais quand même un peu tendu, n'avais pas trop envie de sourire.

Arrivé 5 minutes trop tôt au bon étage, j'ai encore vu un monsieur qui ouvrait la porte située en face du donjon. Que pensait cette personne? Elle devait bien savoir ce qui se passait en face, devait bien deviner ce que je faisais à cet endroit. Mais cela ne l'intéressait certainement pas. Qui sait ?


Voilà arrivé le moment de la grande décision. Je peux encore stopper tout le processus et repartir en n'ayant plus aucun contact avec la Correctrice. Je peux encore retourner dans le groupe de personnes pas du tout intéressées à recevoir des fessées.

Mais dans mon cas ce serait aussi une forme de lâcheté, une impression de gâchis si je m'arrête. Certainement que je risquerai de regretter de ne pas avoir continué pour connaitre à nouveau les affronts fessiers d'une telle correction. Il y a aussi une certaine fierté à respecter l'intention, décrite dans ce blog depuis plusieurs semaines, de me faire fustiger très correctement (je passerais pour une mauviette à vos yeux).

Le souci de ne pas poser un lapin à la Maîtresse, qui me semble à même de fouetter comme j'en rêve depuis quelques temps, compte aussi.

Tous ces éléments m'ont poussé, un peu comme un condamné, vers la porte de mon futur châtiment corporel.

Je vais enfin franchir le point de non retour. Une bonne respiration et mon cerveau ordonne à mon index d'appliquer une légère pression sur un petit bouton. La ligne de non retour est presque franchie, je ne me rappelle pas le son de la sonnerie mais ai regardé le judas. Après un temps qui m'a paru long, la porte s'ouvre.


La Maîtresse tant imaginée était derrière la porte, non visible de l'extérieur. Je vais traverser le point crucial, la ligne de non retour, la frontière entre les gens « normaux » et les possesseurs de fesses à fustiger. Je pénètre dans l'appartement, vois enfin la fameuse Dominatrice et dit « Bonjour Maîtresse, je suis Jean-Bernard pour être sévèrement fessé ».

La porte se referme et c'est l'instant précis où je ne peux plus repartir sans connaître le feu au cul. Je suis pris à mon propre piège.

Elle m'accueille gentiment, je lui donne le règlement et l'enveloppe puis ..


Vous pensiez, petites voyeuses et grands voyeurs, que j'allais déjà me faire fouetter dans cet article. Et bien non ! Je vous raconterai la prochaine fois les détails de cette solide fustigée.

A bientôt si vous voulez savoir comment se passe une séance fessée entre adultes consentants.


Par JeanBer - Publié dans : Les fessées
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