Vendredi 14 septembre 5 14 /09 /Sep 08:25
auparavant


Remarque : j’ai pondu cet article avant le premier contact avec ma future et bien réelle Maîtresse d’éducation anglaise.


Vous vous souvenez certainement de l’ordre imaginaire que m’avait donné la Princesse Christine lors de l’email virtuel à la fin de cet article.;-)
Elle peut maintenant facilement consulter mon blog, suite à l’amélioration de la liaison Internet que je lui avais faite lors de mon week-end chez elle en Verginie. Et ainsi elle n’avait pas apprécié, mais pas du tout, le ton peu respectueux utilisé pour rapporter dans mon blog l’interview – fiction d’août. Ne pouvant venir me corriger elle-même, elle avait exigé que je subisse une très sévère et réelle séance fessée jusqu'à fin novembre 2007.

Je n’ose pas lui désobéir et ai donc commencé à imaginer ma future fessée punitive en condition réaliste (comme devrait être corrigé réellement, et certainement l’est parfois, un élève difficile, impertinent, qui a de très mauvais comportements).

peut-être une telle verge m'échauffera et sensibilisera les fesses

Vous le pensez certainement aussi. Une vraie correction avec des fessées punitives peut être excitante dans sa préparation, peut aussi bien faire bander ou exciter en y pensant par après.
 
Mais pendant une séance punitive, cela ne doit être ni excitant ni bandant.
La correction doit obligatoirement être un très mauvais et sévère moment à passer. Elle doit être plus douloureuse que le supportable. Elle doit, dès les premiers coups, donner fortement envie de demander moins de sévérité, même de tout stopper. Elle doit, dès le début, faire craindre la Maîtresse, donner de l’appréhension et de la trouille pour la suite. Elle doit, dès le commencement, créer un peu de panique chez le fustigé (ou la fustigée) car il ne sait pas comment il va arriver à supporter l’insupportable.
Evidemment la Fesseuse ne doit pas être interrompue dans son travail (sauf cas de force majeure) et doit donc tourmenter les fesses nues qui connaitront différentes phases (rougissement, marques des coups de baguettes ou cane, chaleur, grande douleur).
L’avis de la personne punie ne doit pas compter. Seule la Maîtresse est compétente pour décider de la sévérité et de la fin du fessestival.

Bien sûr, la sévérité ressentie d’une séance fessée dépend de ce que la personne fustigée supporte. Pour ma part, je trouve que mes dernières punitions sur les fesses auraient pu être bien plus cinglantes. J’ai l’impression que je suis prêt pour un feu d’artifice bien plus intense.


Pour en revenir au titre de cet article, j’image cette séance, imposée virtuellement par la Princesse Christine et prévue pour se passer réellement dans les 3 mois, comme une étape supplémentaire dans ma recherche de véritables et sévères fessées.

Comme j’écrirai une lettre (et aussi parlerai avec la Maîtresse prévue) pour demander de la sévérité et en révélant aussi ma déception des fouettées précédentes (reçues chez d’autres Dominas), je peux supposer être obligé de passer cette fois par des fouettées plus insupportables.
Et si la Maîtresse, qui ne me connait pas, ne commence pas de manière stricte (comme je l’aurais imaginé), il me reste à le lui faire comprendre. Une manière qui a souvent fonctionné est de tirer la langue en refusant d’obéir à la Fesseuse. La première fois que je l’avais fait, elle avait l’air très fâchée et m’avais appliqué une bonne correction avec les méchantes verges que je lui avais apporté. Mes fesses avaient bien chauffé et je la vois encore maintenant m’appliquer consciencieusement et fortement la verge flexible (composée de fines tiges et brindilles de noisetier) qui se courbait avant d’alunir à toute vitesse sur mon derrière dénudé.

cette fois, je ne devrai pas échapper à LA cane appliquée très sévèrement


Dans cet article je ne vous parle pas de la préparation mais de comment j’imagine ma future fouettée.

Il y a bien sûr l’excitation d’avant (appel téléphonique, RV, lettre de présentation). L’arrivée chez la Maîtresse (l’appréhension plus grande que d’habitude, la vue du bâtiment, de la porte de l’endroit où je serai mal traité, l’hésitation au moment d’appuyer sur la sonnette, le point de non retour quand la Maîtresse ouvre la porte).
Pouvoir enfin dire « Bonjour Maîtresse » avant d’entrer et me laisser aller aux ordres et aux traitements de faveur de la Domina.
Et à la fin, le soulagement d’en avoir terminé avec les terribles corrections.

La partie des fouettées, je la vois comme un très mauvais moment, comme un incendie au cul qui ne veut pas s’éteindre. Seule la Maîtresse-pompière décidera du moment de l’extinction des feux.

Je l’imagine comme quelque chose de très désagréable, pénible, que je ne peux pas influencer, où je ne dois pas réfléchir, où je dois simplement obéir aux injonctions de la Maîtresse, à commencer par me dénuder complètement et présenter mes fesses sans défenses. Un moment où je dois supporter de terribles coups de baguettes ou cane sans rien dire (sauf peut-être remercier).

Il y aurait une phase de présentation, ajustement de sévérité. Puis une partie où je suis dressé et où je dois avouer un comportement réel que je dois améliorer (je consulte trop de sites érotiques et de fessées mais elle ne devrait pas arriver à me faire changer ce comportement;-)).
Je me vois ensuite immobilisé, engueulé et condamné (à un certain nombre de coups avec tels instruments) pour mes mauvaises habitudes et pour d’autres choses qui ne lui auront peut-être pas plu chez moi.
Elle m’explique alors qu’elle doit punir de manière exemplaire et que ce sera très pénible, me montre les moyens qu’elle va utiliser. Puis elle me laisse méditer et appréhender un moment sur ce qui va m’arriver.

Et enfin l’exécution de la sentence, la sévère cannée. Je ne pense pas arriver à imaginer ce que cela sera car je ne l’ai certainement jamais ressenti. Un moment interminable de douleur insupportable infligé par une Domina décidée et habituée à faire souffrir ses visiteurs. Et le fait de me voir me tortiller, grimacer, chercher à éviter la cane, m’entendre me plaindre, peut-être crier, pleurer, lui confirmera que la correction se déroule comme prévu.


Quand même un peu drôle l’occupation d’une Domina d'éducation anglaise!
Des personnes (un tout petit peu masos, bien sûr) s’adressent à elle pour qu’elle les fasse souffrir en appliquant de sévères coups de cane sur leurs fesses. Souvent elle les attache, les immobilise avec un support idoine et des lanières. Les personnes sont ainsi complètement à sa merci et ne peuvent échapper ou influencer la suite du traitement de faveur. La Maîtresse peut ressentir un sentiment de puissance, de domination (les soumis sont quand même là pour cela).
Et quand elle voit que les fustigés ont très mal, au lieu de les ménager, elle utilise son savoir faire et ses instruments pour continue à les torturer et à leur faire passer un très mauvais et pénible moment.

Habituellement quand on voit une personne qui souffre, on cherche à l’aider, à la réconforter. Si on est la cause des souffrances, on est désolé, on s’excuse parfois, on cherche à réparer l’offense.
 
Eh bien une Maîtresse d’éducation anglaise fait juste le contraire. Elle la gifle, lui pince les tétons, la fesse. Si la personne qu’elle éduque ne supporte pas le traitement, cela signifie que la séance se passe bien. Si la personne en punition se plaint un peu trop, elle mérite un supplément de baguette et de dressage. 
Et pourtant la personne soumise ne lui a rien fait. C'est de la violence, du châtiment corporel gratuit (ehh! Pas tout à fait ;-).

auparavant l'usage des verges était plus courant


Cela me rappelle, il y a plusieurs dizaines d’années, les mères ou maîtresses d’école qui utilisaient des baguettes ou une verge fraiche pour fesser les garçons désobéissants.
Que pouvaient-elles penser, quel était leur état d’esprit quand elles fustigeaient ?

Peut-être un peu la même chose qu’une Domina fesseuse, le sentiment du devoir accompli, de bien faire ce que l’on estime nécessaire. Je pense aussi qu’il peut y avoir parfois un petit plaisir sadique d’infliger des souffrances à un subordonné.

Tiens cela pourrait être la matière d’un article : le point de vue de véritables et sévères Maîtresses (qui ne sont pas des actrices de théâtre). Que pensent-elles au moment de fustiger véritablement et ainsi faire souffrir grandement une personne à leur merci ?

Les vraies Maîtresses, vous pouvez insérer sans hésitation votre grain de sel.


Il faut de tout pour faire un monde !
Qu’en pensez-vous, mes visiteuses et visiteurs ?


Par JeanBer - Publié dans : Les fessées
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